Les conspirationnistes détestent Wikipedia. Ils tentent, avec obstination d'y glisser leurs récits. Et bénéficier ainsi du gage d’autorité sans pareil qu’apporte Wikipédia. Celle-ci est devenue leur bête noire pour au moins trois raisons. @conspiration
1. Wikipédia au travers de ses règles (neutralité, vérifiabilité, primauté des sources secondaires), de procédures et dispositifs divers, se montre, au final, assez efficace pour détecter les énoncés complotistes et les écarter, à l’issue parfois de laborieuses guerres d’édition
Feb 19, 2021 • 14 tweets • 3 min read
On connaissait, via des fuites, les grandes lignes de l’audit (alors confidentiel) du pilotage interministériel » de la crise sanitaire commandé au General Lizurey par Edouard Philippe. La commission d’enquête du Sénat avait exigé qu’il lui soit communiqué. @vincentglad
Le rapport est en ligne, depuis quelques semaines : sa publication est largement passée inaperçue. C'est dommage. 67 pages. Le rapport est sévère. @godefroy_b@thieulin gouvernement.fr/sites/default/…
Oct 21, 2020 • 16 tweets • 5 min read
1) En Europe, les programmes de traçage sont sous tension. Voire au bord de la rupture.
Face à l’afflux de nouveaux cas, le traçage perd du terrain @vincentglad@godefroy_b@thieulin
2)La liste des cas-contact à appeler sous 24 heures s’allonge de jour en jour L’objectif de joindre 75 % des cas-contacts dans les 24 heures s'éloigne. Certains pays s’efforcent de renforcer les effectifs (France, Allemagne). Ou font appel à l’armée.
Oct 18, 2020 • 11 tweets • 4 min read
1) Un nombre croissant de voix se font entendre pour abandonner le traçage prospectif (pratiqué en Europe) et passer au traçage rétrospectif (mis en œuvre au japon et en Corée). @vincentglad@FLAHAUT@godefroy_b@thieulin2) Pour des raisons différentes mais complémentaires. Pour identifier les événements supercontaminants. Pour repérer les individus superpropagateurs. Parce que le traçage prospectif ne peut pas faire face quand quand il y a trop de cas. Nous y sommes.
@conspiration@LiseBarneoud@vincentglad@ArianeChemin2) Interrogé sur BFM à propos d’un article du Lancet relatif au traitement à base de chloroquine (une analyse rétrospective s’appuyant sur 96 000 dossiers médicaux), Philippe Douste-Blazy a tenu des propos étranges.