Pierre Rehov đŸ‡șđŸ‡žđŸ‡źđŸ‡± Profile picture
Reporter - Novelist - Filmmaker - Romancier - Réalisateur de documentaires. https://t.co/wukR3AdTR8?
Dec 6 ‱ 7 tweets ‱ 5 min read
How to Fight Back: Strategic Paths to Win the Information War

Let me propose some ways to reverse the tide. Yes, the other side is larger and louder. Yes, it often feels like shouting alone against a mob. But numerical disadvantage has rarely stopped history’s moral revolutions. Remember: J’accuse!—one of the most powerful pro-Jewish texts ever written—was not written by a Jew. Our friends have often shouted louder than we could.
So shed the “whole world is against us” mindset. Self-pity is not a strategy. We have enemies, but we also have powerful allies. Let’s analyze the battlefield and see what can actually be done. (FollowđŸ§”đŸ§”) 1. Who Are the Real Anti-Israel Masses?

The two largest blocs of anti-Israel activism are Muslims and Marxists.
The noise from fringe right-wing pundits (Tucker, Candace, etc.) distracts many people, but they do not fill the streets. Their followers click “like,” not Molotov cocktails. The real street force—riots, marches, intimidation—comes overwhelmingly from Muslims and Marxist radicals.
About Muslims:

As individuals, you cannot influence them. They are soldiers in a broader ideological war fueled by foreign leadership—from Iran to Qatar. Their behavior changes only when their leadership is pressured.

A perfect example: the single, symbolic strike in Doha that jolted Qatar into recalculating its stance—after years of obstinacy and tens of thousands dead in Gaza, Lebanon, and Yemen. When even the general, not just the foot soldiers, felt threatened, the retreat began immediately.

Diplomacy and military leverage can change the Muslim front. Individuals cannot.

About Marxists:

This is where your personal involvement matters, because Marxists—like Islamists—also operate as a military-style hierarchy: foot soldiers, officers, generals.

Let’s start with the soldiers.
Oct 16 ‱ 7 tweets ‱ 4 min read
How the Israeli “ultra-left” nearly tore the nation apart (follow đŸ§”) The Kaplan Force phenomenon, the anti-Netanyahu protest movement and its allied galaxy, represents more than just a simple political contestation: for its detractors, it embodied a systematic strategy of national division, pressure against the State, and — in its excesses — an aggravating factor in the security failures of October 7. Here’s how, according to this reading, the “ultra-left” nearly precipitated Israel into chaos.đŸ§”Image 1. Dividing the State Around the Judicial Reform — A Signal to the Enemy

The Kaplan movement was born in the contestation of the government's judicial reforms (2023), with targeted actions: road blockades, “siege” of the airport, symbolic paralysis — all signs of organized civil disobedience. For its opponents, what was supposed to remain an internal reform became the prism through which the entire society was fragmented. By advocating institutional sedition, especially by insinuating that reservists might refuse to serve, the movement would have sent a catastrophic signal: that of the weakness of national consensus and a potentially disobedient army. Some commentators put it bluntly: “Hamas, seeing Israel implode from within, understood that the ground was ripe for attack.” In other words, this is not just an institutional battle: it is a strategy of destabilization. And when the roots of national trust waver, the enemy has only to drive the nail in.Image
Oct 15 ‱ 7 tweets ‱ 5 min read
Comment l’“ultra-gauche” israĂ©lienne a failli dĂ©chirer la nation ( suivez đŸ§”)

Le phĂ©nomĂšne Kaplan Force, le mouvement de protestation anti-Netanyahu et sa galaxie alliĂ©e, reprĂ©sente plus qu’une simple contestation politique : pour ses dĂ©tracteurs, il a incarnĂ© une stratĂ©gie systĂ©matique de division nationale, de pression contre l’État, et — dans ses excĂšs — un facteur aggravant dans les failles sĂ©curitaires du 7 octobre. Voici comment, selon cette lecture, l’“ultra-gauche” a presque prĂ©cipitĂ© IsraĂ«l dans le chaos. đŸ§”Image 1. Diviser l’État autour de la rĂ©forme judiciaire — un signal Ă  l’ennemi

Le mouvement Kaplan est nĂ© dans la contestation des rĂ©formes judiciaires du gouvernement (2023), avec des actions ciblĂ©es : blocages routiers, “siĂšge” de l’aĂ©roport, paralysie symbolique — autant de signes d’une dĂ©sobĂ©issance civile organisĂ©e.

Pour ses opposants, ce qui devait rester une rĂ©forme interne est devenu le prisme Ă  travers lequel toute la sociĂ©tĂ© a Ă©tĂ© fragmentĂ©e. En prĂŽnant la sĂ©dition institutionnelle, surtout en insinuant que des rĂ©servistes pourraient refuser de servir, le mouvement aurait envoyĂ© un signal catastrophique : celui de la faiblesse du consensus national et d’une armĂ©e potentiellement dĂ©sobĂ©issante. Certains commentateurs le formulent crĂ»ment : “Hamas, voyant IsraĂ«l imploser de l’intĂ©rieur, a compris que le terrain Ă©tait mĂ»r pour attaquer.”

En d’autres termes, ce n’est pas seulement un combat institutionnel : c’est une stratĂ©gie de dĂ©stabilisation. Et quand les racines de la confiance nationale vacillent, l’ennemi n’a plus qu’à enfoncer le clou.Image
Oct 11 ‱ 9 tweets ‱ 7 min read
LES JUIFS MARTYRISÉS EN PALESTINE OTTOMANE : L’HISTOIRE QU’ON VOUS CACHE (thread đŸ§”)

Depuis des dĂ©cennies, une propagande savamment orchestrĂ©e prĂ©tend que la « Palestine » aurait toujours Ă©tĂ© une terre arabe, et que les Juifs n’y seraient que des colons venus d’Europe.
C’est un mensonge, rĂ©pĂ©tĂ© jusqu’à devenir dogme par l’alliance contre-nature du monde islamiste, de la gauche post-coloniale et de ce qu’il faut bien appeler le nĂ©o-antisĂ©mitisme contemporain.
La vĂ©ritĂ© est plus simple, mais plus dĂ©rangeante : la JudĂ©e et la Samarie — rebaptisĂ©es Syria Palaestina par l’empereur Hadrien pour effacer la mĂ©moire juive aprĂšs la rĂ©volte de 132 — n’ont jamais cessĂ© d’ĂȘtre habitĂ©es par des Juifs. Ils y ont vĂ©cu, souffert, priĂ©, survĂ©cu, martyrisĂ©s sous chaque domination.
Sous les Ottomans comme sous les Mamelouks, ils furent humiliés, rackettés, battus, parfois massacrés, réduits au statut de citoyens de seconde zone.
Et pendant que les gauchistes de salon pleurnichent sur le “peuple palestinien”, personne ne se souvient de ces siĂšcles de persĂ©cutions oubliĂ©es. ( follow đŸ§”)Image 1. Une prĂ©sence juive ininterrompue

Les Juifs n’ont jamais quittĂ© cette terre.
Depuis la destruction du Second Temple en 70, malgré les déportations romaines, les conversions forcées et la misÚre, des communautés juives ont subsisté à Jérusalem, Hébron, Safed, Tibériade, Bethléem et ailleurs.
Elles parlaient arabe, hĂ©breu ou ladino, vivaient pauvrement, mais restaient sur la terre de leurs ancĂȘtres.
Quand les nationalistes arabes et les marxistes dĂ©guisĂ©s en humanistes parlent d’“occupation”, ils oublient que leurs propres ancĂȘtres ont conquis cette terre mille ans aprĂšs les premiers royaumes d’IsraĂ«l.
La JudĂ©e n’a pas Ă©tĂ© colonisĂ©e par les Juifs : elle a Ă©tĂ© occupĂ©e par ceux qui ont prĂ©tendu les chasser.Image
Oct 10 ‱ 8 tweets ‱ 7 min read
La grande imposture du wokisme : autopsie d’un virus intellectuel (đŸ§”)
1. Les racines du mal : quand Foucault et Derrida ont ouvert la porte au relativisme absolu

Le “wokisme” n’est pas nĂ© sur les campus amĂ©ricains — il a Ă©tĂ© conçu en France, dans les annĂ©es 1960, par une poignĂ©e d’intellectuels nihilistes. Michel Foucault, Jacques Derrida, Deleuze et consorts ont semĂ© les graines d’un poison : l’idĂ©e que toute vĂ©ritĂ© n’est qu’une construction sociale, que le bien et le mal n’existent pas, que la morale est une invention de ceux qui dĂ©tiennent le pouvoir.

Sous couvert de “dĂ©construction”, ces penseurs ont dynamitĂ© les fondements de la civilisation occidentale : la raison, la hiĂ©rarchie, la responsabilitĂ© individuelle, la distinction entre mĂ©rite et victimisation.
Le paradoxe veut que cette Ă©cole de pensĂ©e, nĂ©e en France, ait Ă©tĂ© d’abord rejetĂ©e par l’intelligentsia française, avant d’ĂȘtre idolĂątrĂ©e aux États-Unis, oĂč des universitaires en mal de rĂ©volte ont vu dans cette “French Theory” un outil de destruction massive contre tout ce qui incarne l’Occident.
Le wokisme est donc le produit d’un croisement entre la philosophie du nĂ©ant et la culture de la culpabilitĂ©.
Foucault, dĂ©viant sexuel assumĂ© et admirateur du totalitarisme iranien, prĂŽnait la libĂ©ration de tous les tabous, y compris sexuels. Derrida, lui, proclamait qu’aucun texte n’a de sens fixe — autrement dit : que la vĂ©ritĂ© n’existe pas.
Ce cocktail explosif allait devenir l’idĂ©ologie de notre Ă©poque : la sacralisation du doute, de la dĂ©viance et de la dĂ©construction. (suivre leđŸ§”)Image 2. L’expansion mondiale d’un virus moral

Des amphithéùtres de la Sorbonne aux campus de Berkeley, le poison s’est rĂ©pandu.
Sous couvert de “pensĂ©e critique”, le wokisme s’est infiltrĂ© partout : universitĂ©s, mĂ©dias, Ă©coles, plateformes numĂ©riques. Il s’est vendu comme un combat pour la “justice sociale”, mais il s’est rĂ©vĂ©lĂ© ĂȘtre une machine Ă  produire la haine, la division et la mĂ©diocritĂ©.
La logique est simple : si tout est relatif, alors tout se vaut. L’excellence devient oppression. Le mĂ©rite devient privilĂšge. Le gĂ©nie devient suspect.
Les institutions acadĂ©miques amĂ©ricaines ont fait du wokisme une religion d’État, avec ses dogmes (le privilĂšge blanc, la fluiditĂ© de genre, le colonialisme structurel), ses prĂȘtres (les professeurs militants), et ses inquisiteurs (les Ă©tudiants activistes armĂ©s de Twitter).

Le monde entier a suivi, hypnotisé par cette nouvelle morale du ressentiment.
Sous l’apparence de compassion, le wokisme ne produit que peur, autocensure et chaos.
C’est un virus social, qui dĂ©truit le tissu commun sous prĂ©texte de diversitĂ©, et fabrique des gĂ©nĂ©rations entiĂšres d’ĂȘtres fragiles, persuadĂ©s d’ĂȘtre victimes avant d’avoir agi.Image
Oct 4 ‱ 4 tweets ‱ 5 min read
SUBMISSION OR RESPONSIBILITY?
Follow the thread đŸ§”

The price of freedom From Socrates to Jean-Paul Sartre, the philosophy of free will rests on a simple and demanding truth: to be free is to be responsible. Authentic freedom is not whimsy, nor the absence of constraints, but the ability to choose—and to bear the consequences of one's choices. Spinoza wrote: "The free man thinks of nothing less than of death, and his wisdom is a meditation on life." In other words, freedom is not a gift, but a permanent conquest against fear. From Saint Augustine to Kant, from Bergson to Camus, the free man is the one who recognizes the element of necessity in the world, but never renounces the element of decision that belongs to him. Yet, this responsibility is heavy. It confronts each person with the anguish of choice, the possibility of error, moral solitude. And it is often there, facing the vertigo of freedom, that the average man throws in the towel. He seeks a master, a guide, an ideology. Someone—or something—to tell him what to do, what to think, and how to live. From this fear arise all forms of submission. And from submission arise totalitarianism. As Eric Voegelin summed it up: "The man who refuses the responsibility of freedom seeks to deify himself through the collective."đŸ§”Image The Ideologies of Renunciation

The 20th century was the tragic laboratory of these renunciations. Fascism and Nazism replaced individual responsibility with the cult of the leader, of blood, of race, of the nation. The citizen became a cog in a collective body, deprived of his own soul. Hannah Arendt observed: “Totalitarianism begins where man is no more than a functionary of his own destiny.” Soviet communism, in the name of equality, imposed another form of servitude: that of the proletariat fused into the Party, where individual consciousness was no more than a “bourgeois deviation.” In China, in Cuba, in Cambodia, in Venezuela, the same pattern repeated itself: the common good decreed from above, the crushing of freedoms, the repression of dissidents.
As for political Islamism, it represents today the religious version of this same mechanism: a theocratic totalitarianism where faith becomes a tool of power, and submission, a sacred duty. In all cases, the common point remains: the promise of a collective paradise at the price of the abolition of individual consciousness. George Orwell had anticipated it: “The choice is between freedom and happiness, and for the great majority, happiness is better.”Image
Sep 17 ‱ 9 tweets ‱ 6 min read
De temps en temps, comme pour prendre un peu de vacances, j'aime bien partager mes autres passions, à cÎté de l'Histoire et de la Politique.
Suivez le fil : đŸ§”

Quand la physique quantique a changĂ© notre vision de l’univers
Aux origines : une crise dans la physique classique

À la fin du XIXᔉ siĂšcle, la physique semblait avoir presque tout expliquĂ©. Les lois de Newton dĂ©crivaient le mouvement des planĂštes et des corps terrestres. L’électricitĂ© et le magnĂ©tisme, rĂ©unis par les Ă©quations de Maxwell, formaient un cadre cohĂ©rent. Certains savants allaient jusqu’à dire que la science n’avait plus qu’à « peaufiner les dĂ©cimales ».

Mais un problÚme résista : le rayonnement du corps noir.
Lorsqu’un objet est chauffĂ©, il Ă©met une lumiĂšre dont les couleurs dĂ©pendent de sa tempĂ©rature — comme le rougeoiement du fer ou la blancheur des braises. La thĂ©orie classique prĂ©disait que plus on montait en frĂ©quence, plus l’énergie Ă©mise devait exploser
 jusqu’à l’infini. En clair, tout objet chaud aurait dĂ» rayonner une Ă©nergie illimitĂ©e. Absurde. Ce paradoxe fut appelĂ© la « catastrophe ultraviolette ».đŸ§”Image Planck et l’idĂ©e des « quanta »

En 1900, Max Planck apporta une solution en apparence anodine. Pour coller aux expĂ©riences, il supposa que l’énergie n’était pas Ă©mise de façon continue, mais par petits paquets discrets : les quanta.

Imagine une lampe qui ne dĂ©livrerait pas sa lumiĂšre comme un jet d’eau continu, mais comme une suite de petites gouttes sĂ©parĂ©es. C’est ainsi que Planck expliqua le rayonnement du corps noir. Lui-mĂȘme pensait avoir trouvĂ© une ruse mathĂ©matique provisoire. Mais il venait, sans le savoir, de poser la premiĂšre pierre d’une rĂ©volution.Image
Sep 15 ‱ 9 tweets ‱ 7 min read
Charlie Kirk: Faith, Courage, and a Movement That Outlived Its Founder. A thread. đŸ§”
1) Early life and family background

Charlie Kirk (1993–2025) was born in Arlington Heights, Illinois, and raised in Prospect Heights, outside Chicago. His father, Robert, was an architect who worked on major projects in the city; his mother, Kimberly, moved from finance into counseling. Raised Presbyterian, Charlie earned the rank of Eagle Scout, volunteered for Illinois Sen. Mark Kirk’s campaign during high school, and got his first taste of media with a Fox Business appearance after writing about bias in textbooks. Rejected by West Point in 2012, he briefly attended Harper College, then left to pursue activism full time—meeting retiree Bill Montgomery, who became his mentor and co-founded Turning Point USA with him that same year. Follow đŸ§”Image 2) Early involvement in politics—and why

From the start, Kirk’s motivation was blunt and simple: if the Left had the cultural high ground on campus, the Right needed a grassroots counter-infrastructure. Turning Point USA (TPUSA) grew from a folding table and hand-to-hand organizing into a nationwide network devoted to free markets, limited government, and constitutional liberties—what he liked to call “the American formula.” He did it not by hiding from debate, but by inviting it: the “Prove Me Wrong” open-mic confrontations became his signature, drawing students who’d never before met a conservative willing to listen, argue, and shake hands after. (Even hostile outlets concede this is how he built the brand; friendly ones say he made it look fun.) In short: he put the Right physically back on campus sidewalks and plazas—then kept showing up.Image
Sep 6 ‱ 8 tweets ‱ 5 min read
La France, complice du terrorisme par tradition ?

De Hajj Amin al-Husseini Ă  Emmanuel Macron, en passant par les pactes occultes des annĂ©es 1980, l’histoire rĂ©cente de la France rĂ©vĂšle une constante troublante : loin d’ĂȘtre un bastion contre le terrorisme, Paris a souvent fermĂ© les yeux, protĂ©gĂ© ou mĂȘme encouragĂ© ceux qui menacent IsraĂ«l et le peuple juif.Image Hajj Amin al-Husseini : le protĂ©gĂ© de la RĂ©publique

En mai 1945, Hajj Amin al-Husseini, mufti de JĂ©rusalem, ancien alliĂ© d’Hitler et d’Himmler, est arrĂȘtĂ© par les autoritĂ©s françaises. Ses appels Ă  l’extermination des Juifs et son rĂŽle dans la formation des divisions SS musulmanes des Balkans en font un criminel de guerre. La Grande-Bretagne et la Yougoslavie rĂ©clament son extradition. La France refuse.
Mieux : elle l’installe confortablement en rĂ©sidence surveillĂ©e dans une villa de banlieue parisienne, avec cuisinier et libertĂ© relative. En mai 1946, grĂące Ă  un faux passeport dĂ©livrĂ© par le Quai d’Orsay, Husseini s’évade et rejoint le Moyen-Orient. La France aura ainsi protĂ©gĂ© et favorisĂ© l’un des pĂšres fondateurs idĂ©ologiques du terrorisme palestinien.Image
Sep 6 ‱ 9 tweets ‱ 6 min read
Qatar: The Tiny Emirate that Corrupts the World in the Name of Hamas
A Microstate Built on Exploitation

With fewer than 300,000 citizens and nearly three million migrant workers living under a quasi-feudal system, Qatar is a demographic dwarf and a gas giant. Its wealth stems from energy rents and from the systematic exploitation of foreign laborers who built its skyscrapers, stadiums, and highways. The 2022 World Cup, sold to the world as a triumph of modernity, was in truth a monument to servitude: stolen wages, deaths on construction sites, and lives destroyed in silence.

But Qatar’s scandal does not stop at its borders. It has exported corruption and influence on a global scale, buying the complicity of universities, politicians, and media outlets, while simultaneously protecting and financing the most violent terrorist movements of our time.Image Financing Terrorism: A Persistent Pattern

For decades, Doha has played a duplicitous role. In 2014, the U.S. Treasury denounced Qatar as a “permissive jurisdiction for terrorist financing.” In June 2017, President Donald Trump went further, declaring Qatar “a long-time funder of terrorism at a very high level.”

It is not by chance that Hamas leaders found sanctuary in Doha. Khaled Meshaal resides there in luxury, while Ismail Haniyeh, the head of Hamas’s political bureau, lived in Qatar until his assassination in Tehran in 2024 — he was buried in Doha, symbolizing the emirate’s unbreakable bond with terrorism. Every time a hostage negotiation emerges, Qatar positions itself as a “mediator.” But the truth is simple: it mediates because it harbors the very criminals holding the hostages.Image
Sep 6 ‱ 8 tweets ‱ 6 min read
Qatar : le petit émirat qui corrompt le monde au nom du Hamas
Un État minuscule, mais un empire de corruption

Avec moins de 300 000 citoyens et prĂšs de trois millions de travailleurs immigrĂ©s rĂ©duits Ă  un statut quasi servile, le Qatar est un nain dĂ©mographique et un gĂ©ant gazier. Il a bĂąti sa fortune sur la rente Ă©nergĂ©tique et sur l’exploitation d’une main-d’Ɠuvre Ă©trangĂšre, privĂ©e de droits, assignĂ©e Ă  des chantiers titanesques comme ceux de la Coupe du monde 2022. DerriĂšre les stades illuminĂ©s et les slogans de modernitĂ©, on trouve des milliers de vies brisĂ©es, des salaires volĂ©s, des accidents passĂ©s sous silence.

Mais le scandale dĂ©passe les frontiĂšres de Doha. Car le Qatar ne se contente pas de bĂątir en interne une sociĂ©tĂ© Ă  deux vitesses : il a exportĂ© Ă  l’échelle mondiale un soft power corrompu, conçu pour acheter les consciences, influencer les universitĂ©s et blanchir son rĂŽle central dans le financement du terrorisme islamiste.Image Financement du terrorisme : une constante qatarie

DÚs 2014, le département du Trésor américain dénonçait le Qatar comme un « milieu permissif pour le financement du terrorisme ». Trois ans plus tard, Donald Trump déclarait que le Qatar était « historiquement un des plus grands financeurs du terrorisme au monde ».

Ce n’est pas un hasard si les chefs du Hamas se sont installĂ©s Ă  Doha comme dans un sanctuaire dorĂ©. Khaled Mechaal y rĂ©side depuis des annĂ©es. IsmaĂŻl Haniyeh, chef du bureau politique du Hamas, y a longtemps vĂ©cu avant d’ĂȘtre assassinĂ© Ă  TĂ©hĂ©ran en 2024 et enterré  au Qatar. À chaque fois qu’une nĂ©gociation d’otages s’ouvre, le Qatar se met en avant comme mĂ©diateur, mais il faut rappeler une Ă©vidence : s’il joue ce rĂŽle, c’est parce qu’il hĂ©berge et finance ceux-lĂ  mĂȘmes qui tiennent les otages.Image
Sep 1 ‱ 6 tweets ‱ 4 min read
JĂ©rusalem : la falsification d’une histoire

Depuis plus de trois millĂ©naires, JĂ©rusalem rĂ©sonne dans la mĂ©moire du peuple juif. Capitale du roi David, centre spirituel du Temple de Salomon, lieu de priĂšres ininterrompues depuis l’exil babylonien, la citĂ© n’a jamais cessĂ© d’ĂȘtre au cƓur de l’identitĂ© juive. Chaque mariage, chaque deuil, chaque fĂȘte religieuse ramĂšne les Juifs Ă  JĂ©rusalem. Cette permanence historique est incontestable, inscrite dans les textes bibliques, dans l’archĂ©ologie, et mĂȘme dans les chroniques des conquĂ©rants qui s’y sont succĂ©dĂ©.Image Une appropriation tardive et artificielle

Or, c’est seulement au VIIe siĂšcle qu’apparaĂźt une prĂ©tention nouvelle. Mahomet, mort en 632, n’a jamais franchi les murailles de la ville. Aucun tĂ©moin de son Ă©poque n’évoque JĂ©rusalem dans ses prĂ©dications. C’est bien aprĂšs sa mort que ses successeurs, soucieux de donner une lĂ©gitimitĂ© Ă  leurs conquĂȘtes, inventĂšrent une fable : celle d’un voyage nocturne, au cours duquel le prophĂšte aurait Ă©tĂ© transportĂ© vers une « mosquĂ©e lointaine ». Or, cette « mosquĂ©e » n’existait pas : elle fut bĂątie des dĂ©cennies plus tard, prĂ©cisĂ©ment pour donner corps Ă  cette lĂ©gende.Image
Aug 26 ‱ 5 tweets ‱ 3 min read
The Forgotten Arab Colonization of Judea and Samaria by Jordan

When people today speak of the so-called “West Bank,” they forget that this expression, like the French “Cisjordanie,” has no historical foundation. Both were political inventions by Jordan in 1948, designed to erase the millennia-old Jewish heritage of Judea and Samaria — the biblical heartland of the Jewish people. Until the Jordanian conquest, no one used these words. The land was simply known as Judea and Samaria. By renaming it, Jordan sought to sever the ancestral link between the Jewish people and their homeland.Image Pogroms and Massacres Before 1948

Well before the establishment of the State of Israel, Jewish communities in the region were victims of pogroms and Arab violence.

Hebron, 1929: the holy city of the patriarchs witnessed an atrocity. In two days, 67 Jews were murdered, their homes and businesses looted. A community that had lived there for centuries was eradicated.

Safed, 1929: this spiritual center of Jewish mysticism was attacked as well. Dozens of Jews were slaughtered, their property destroyed.
These were not isolated incidents. Since the early 20th century, antisemitic hatred incited by the Grand Mufti of Jerusalem and other leaders had led to repeated assaults, recalling the pogroms of Eastern Europe.Image
Aug 26 ‱ 5 tweets ‱ 4 min read
La colonisation arabe de la Judée-Samarie par la Jordanie : une épuration ethnique oubliée

Lorsque l’on Ă©voque aujourd’hui la "Cisjordanie", on oublie trop souvent que ce terme, comme celui de "West Bank", ne repose sur aucune base historique. Ces appellations sont le fruit d’une volontĂ© politique jordanienne d’effacer l’hĂ©ritage juif millĂ©naire de la JudĂ©e et de la Samarie, berceau du peuple juif et des plus hauts lieux bibliques. Jusqu’en 1948, personne n’utilisait ces mots. On parlait de JudĂ©e et de Samarie, tout simplement. Ce sont les Jordaniens, aprĂšs leur conquĂȘte en 1948, qui dĂ©cidĂšrent de rebaptiser les lieux pour les rendre mĂ©connaissables, et pour tenter de couper dĂ©finitivement le lien ancestral des Juifs avec leur propre terre.Image Pogroms et massacres avant 1948

Bien avant la crĂ©ation d’IsraĂ«l, les communautĂ©s juives de la rĂ©gion furent victimes de pogroms et de violences orchestrĂ©es par les populations arabes locales.

HĂ©bron, 1929 : la ville sainte du judaĂŻsme, oĂč reposent les patriarches bibliques, fut le théùtre d’un massacre atroce. En l’espace de deux jours, 67 Juifs furent assassinĂ©s, leurs maisons et leurs commerces pillĂ©s. La communautĂ© juive, prĂ©sente depuis des siĂšcles, fut entiĂšrement Ă©radiquĂ©e.

Safed, 1929 : cette ville de GalilĂ©e, centre de la mystique juive, subit le mĂȘme sort. Des dizaines de Juifs furent massacrĂ©s, leurs biens dĂ©truits.
Ces Ă©vĂ©nements ne furent pas isolĂ©s : dĂšs le dĂ©but du XXe siĂšcle, la haine antisĂ©mite attisĂ©e par le mufti de JĂ©rusalem et par des leaders arabes se traduisait par des attaques rĂ©guliĂšres, rappelant les pogroms d’Europe de l’Est.Image
Aug 16 ‱ 6 tweets ‱ 4 min read
Spinoza et les LumiĂšres : le philosophe qui ouvrit la voie Ă  la raison moderne ( fil đŸ§”)

La vie de Spinoza
Baruch Spinoza (1632-1677), nĂ© Ă  Amsterdam dans une famille juive sĂ©farade d’origine portugaise, est l’un des penseurs les plus radicaux du XVIIᔉ siĂšcle. ExcommuniĂ© par sa communautĂ© en 1656 pour ses idĂ©es jugĂ©es hĂ©rĂ©tiques, il vĂ©cut en marge, travaillant comme polisseur de lentilles. Refusant les honneurs universitaires et les compromis religieux, il mena une existence discrĂšte, consacrĂ©e Ă  la philosophie et Ă  la recherche de la vĂ©ritĂ©. Sa vie brĂšve (il mourut Ă  44 ans de la tuberculose) fut marquĂ©e par une indĂ©pendance intellectuelle qui en fit une figure de rupture dans l’histoire des idĂ©es. (suivez đŸ§”)Image L’Ɠuvre de Spinoza

Spinoza a laissé plusieurs textes majeurs, parmi lesquels :

Le TraitĂ© thĂ©ologico-politique (1670), ouvrage audacieux oĂč il dĂ©fend la libertĂ© de philosopher, la sĂ©paration entre religion et politique, et critique les superstitions religieuses.

L’Éthique (publiĂ©e Ă  titre posthume en 1677), son chef-d’Ɠuvre, Ă©crit more geometrico (Ă  la maniĂšre des gĂ©omĂštres), oĂč il expose sa conception de Dieu, de la nature, de l’homme et de la libertĂ©.

Le TraitĂ© politique, inachevĂ©, qui propose une rĂ©flexion sur l’organisation rationnelle de l’État.

D’autres Ă©crits comme le TraitĂ© de la rĂ©forme de l’entendement complĂštent son projet philosophique.Image
Aug 14 ‱ 6 tweets ‱ 4 min read
Gaza : 18 ans de trahison aprÚs le retrait israélien
(suivez le fil: đŸ§”)

En août 2005, Israël prend une décision historique et douloureuse : se retirer totalement de la bande de Gaza.
10.000 citoyens israĂ©liens, hommes, femmes et enfants, sont dĂ©racinĂ©s de force de leurs maisons, synagogues et entreprises. Le gouvernement israĂ©lien, espĂ©rant ouvrir la voie Ă  une coexistence pacifique, laisse derriĂšre lui des infrastructures modernes : zones industrielles, routes, rĂ©seau Ă©lectrique, installations portuaires, et mĂȘme des serres ultramodernes destinĂ©es Ă  l’exportation de fruits et lĂ©gumes.
Mais au lieu de les exploiter, des foules arabes ont vandalisĂ© et dĂ©truit ces serres ainsi que certaines infrastructures, prĂ©textant qu’elles Ă©taient "impures" car construites et utilisĂ©es par des Juifs. Cette destruction, en quelques jours, a anĂ©anti une chance unique de bĂątir une Ă©conomie viable et de sortir la population de Gaza de la pauvretĂ©. đŸ§”Image L’ascension du Hamas

Au lieu de construire un avenir, Gaza choisit la destruction.
En 2006, lors des Ă©lections palestiniennes, le Hamas, organisation islamiste armĂ©e soutenue par l’Iran, le Qatar et les FrĂšres musulmans, remporte la majoritĂ©.
En juin 2007, le Hamas prend le contrĂŽle total de Gaza aprĂšs un coup d’État sanglant contre le Fatah, exĂ©cutant et torturant ses opposants.
Depuis, Gaza est devenue une base avancĂ©e du terrorisme, oĂč l’argent de l’aide internationale est investi dans les tunnels d’attaque, les roquettes et l’endoctrinement des enfants.Image
Aug 12 ‱ 12 tweets ‱ 6 min read
La DĂ©chĂ©ance du Wokisme : Autopsie d’un Virus IdĂ©ologique

NĂ© d’un mot d’argot afro-amĂ©ricain signifiant « Ă©veillĂ© » aux injustices, le wokisme aurait pu rester une invitation Ă  plus de vigilance civique. Il est devenu l’exact contraire : un monstre idĂ©ologique qui exige l’alignement total sur ses dogmes, sous peine d’excommunication sociale. C’est une religion sĂ©culiĂšre, oĂč les prĂȘtres sont des militants, la messe se dit sur Twitter, et l’Inquisition se mĂšne Ă  coups de hashtags. (filđŸ§”)Image Ses racines intellectuelles plongent dans les marĂ©cages de la dĂ©construction. Foucault, Derrida, Deleuze et leurs hĂ©ritiers ont sapĂ© les notions de vĂ©ritĂ©, de tradition et mĂȘme de rĂ©alitĂ© biologique, en imposant l’idĂ©e que tout est langage, tout est construction, tout est oppression. Dans ce laboratoire philosophique, l’Histoire devient procĂšs permanent, l’Occident est coupable par essence, et la civilisation elle-mĂȘme n’est qu’un systĂšme Ă  renverser.Image
Jul 24 ‱ 5 tweets ‱ 3 min read
đŸ§”Quand un prince arabe tend la main : relire Abdel-Kader et comprendre le conflit israĂ©lo-arabe autrementđŸ§”

Dans un ocĂ©an de discours passionnĂ©s, partisans, souvent haineux, oĂč l’histoire du Proche-Orient est manipulĂ©e Ă  des fins idĂ©ologiques, il existe quelques rares voix qui, dĂšs le milieu du XXe siĂšcle, appelaient Ă  la luciditĂ©, Ă  la connaissance et Ă  la paix. L’une d’elles, presque oubliĂ©e aujourd’hui, est celle d’A. Razak Abdel-Kader, descendant direct de l’émir Abdel-Kader, figure emblĂ©matique de la rĂ©sistance algĂ©rienne.

En 1961, en pleine dĂ©colonisation du monde arabe et peu avant l’indĂ©pendance de l’AlgĂ©rie, Abdel-Kader publie chez François Maspero un ouvrage majeur mais ignorĂ© : Le conflit judĂ©o-arabe. Juifs et Arabes face Ă  l’avenir. Loin des pamphlets nationalistes ou sionistes simplistes, ce livre offre une analyse fine, documentĂ©e, nuancĂ©e du conflit. Et surtout : il ose briser les tabous d’une Ă©poque oĂč le monde arabe se cherche des ennemis Ă  la mesure de ses propres Ă©checs.đŸ§” Un regard arabe, mais libre

Ce qui frappe dĂšs les premiĂšres pages, c’est la libertĂ© de ton d’Abdel-Kader. Arabe, musulman, issu d’une grande famille algĂ©rienne, il ne cĂšde ni Ă  l’antisĂ©mitisme rampant de certains discours panarabes, ni Ă  l’angĂ©lisme. Il pose un constat sans appel : les Ă©lites arabes ont souvent Ă©chouĂ© Ă  proposer une vision d’avenir Ă  leurs peuples, prĂ©fĂ©rant la haine d’IsraĂ«l Ă  la construction de sociĂ©tĂ©s libres et modernes.

Il dĂ©monte les mythes, des deux cĂŽtĂ©s. Il reconnaĂźt la souffrance des Arabes de Palestine tout en rappelant que le sionisme est nĂ© d’un besoin vital d’autodĂ©termination juive, aprĂšs des siĂšcles de persĂ©cutions, et qu’il n’est en rien un projet colonial classique. Il replace le conflit dans sa profondeur historique, bien au-delĂ  des simplifications contemporaines, et appelle Ă  penser la coexistence non comme une utopie, mais comme une nĂ©cessitĂ©.
Jul 21 ‱ 10 tweets ‱ 2 min read
đŸ”„ THREAD: “Why the word ‘Palestinian’ is a recent political invention”

(A truth you were never told.)

1/ You can criticize Israel.
But ignoring the fact that the term “Palestinian people” is a modern political creation is dishonest.
Here’s why. 👇 Image 2/ The name “Palestine” comes from the Philistines, an ancient people who vanished centuries ago.
There has never been a sovereign Palestinian state.
Not in 1946. Not in 1846. Not in 846.
Jul 9 ‱ 7 tweets ‱ 4 min read
Pourquoi les organisations dites palestiniennes n’accepteront jamais une paix durable avec IsraĂ«lđŸ§”

Depuis les dĂ©buts de l’islam au VIIe siĂšcle, la guerre et la paix ne sont pas dĂ©finies selon les mĂȘmes paradigmes que dans la pensĂ©e occidentale moderne.

L’Occident, influencĂ© par les traditions grĂ©co-romaines, chrĂ©tiennes et rationalistes, conçoit la paix comme un idĂ©al moral ou diplomatique Ă  atteindre entre deux parties Ă©gales, souvent dans une logique de compromis. Ce n’est pas le cas dans l’idĂ©ologie islamiste radicale, dont s’inspirent le Hamas, le Jihad islamique, ou encore le Hezbollah chiite, et dont les racines remontent au comportement du prophĂšte Mahomet lui-mĂȘme.đŸ§” La stratĂ©gie du traitĂ© de HudaĂŻbiyya : le modĂšle du mensonge tactique

En 628, Mahomet, alors affaibli militairement, signe avec la tribu des Quraychites (paĂŻens de La Mecque) un traitĂ© de trĂȘve de dix ans Ă  HudaĂŻbiyya. À peine deux ans plus tard, lorsqu’il se sent renforcĂ© par de nouvelles alliances et forces armĂ©es, il rompt ce pacte unilatĂ©ralement et attaque La Mecque par surprise, s’en emparant sans grande rĂ©sistance.

Cet Ă©pisode est fondamental dans la pensĂ©e islamiste. Il est thĂ©orisĂ© comme le modĂšle de la hudna, c’est-Ă -dire d’un cessez-le-feu temporaire utilisĂ© uniquement pour gagner du temps, renforcer ses positions, et frapper plus fort ensuite. Ce concept de trĂȘve mensongĂšre est totalement assumĂ© dans la doctrine jihadiste. Le cheikh Youssef al-Qaradawi, figure des FrĂšres musulmans et mentor idĂ©ologique du Hamas, l’a thĂ©orisĂ© Ă  plusieurs reprises dans ses discours et fatwas. Il s’appuie sur des sources classiques de la sĂźra (biographies du prophĂšte) comme celles d’Ibn Ishaq ou d’al-Tabari.
Jul 2 ‱ 5 tweets ‱ 3 min read
From Nazi Antisemitism to "Palestinism": The Modern Mutation of Jew-Hatred

History never repeats itself exactly, but it often echoes. Since the Holocaust, antisemitism has not disappeared — it has merely changed its form. Disguised as a supposedly humanitarian and anti-colonialist cause, the Palestinian narrative has become a new socially acceptable channel for expressing an ancient hatred. “Palestinism,” the ideology that demonizes Israel while sanctifying its destruction, directly follows in the footsteps of Nazi antisemitism, recycling its tropes, myths, and sometimes even its slogans.đŸ§”đŸ§” From the Hated Jew to the Hated Jewish State

In the 1930s and 40s, Nazi antisemitism thrived on a fantasy: the Jew as parasite, cosmopolitan conspirator, and the root of all Germany’s misfortunes. This hatred led to the industrial extermination of six million Jews. After 1945, with Nazism universally condemned, open antisemitism became socially unacceptable — at least on the surface. But it mutated. Instead of targeting individual Jews, the focus shifted to the Jewish state. Israel became the “Jew among nations,” blamed for every conceivable crime: colonialism, apartheid, genocide, even “Nazism.”

As philosopher Jean-François Lyotard noted, this is a case of “metaphorical reinvestment”: the old antisemitic clichĂ©s are reborn in a new political language. The Jewish banker became the “Zionist lobby.” The medieval blood libel accusing Jews of killing Christian children turned into accusations against Israeli soldiers “murdering Palestinian babies.” Age-old conspiracies of control and domination were simply projected onto the state level.