"L’hyperprésidentialisation qu’a induit la pratique de la Cinquième République fait naître des attentes démesurées des citoyens vis-à-vis de la personne du président. (...) 1/6 @brookes_kevin (@GLthinktank) répond à @BatGauthey in @Contrepoints contrepoints.org/2023/05/01/455… On le voit avec la réforme des retraites : alors qu’il s’agit d’un sujet de politiques publiques essentiel et assez technique, une partie du débat s’est déporté vers la personne du président (sa psychologie, sa stratégie, ses choix etc.)… 2/6

"Ce qui ruine la France, c'est la suradministration jacobine et l'homogénéisation (...) Gaspard Koenig à @VincentCosteML in @Midilibre 1/8 [EXTRAITS👇] midilibre.fr/2023/04/16/la-… Je plaide pour la subsidiarité ascendante : plutôt de déléguer les compétences et écrire la carte de France depuis Paris, il faut laisser cette organisation naître en partant du plus petit échelon. 2/8

Le #référendum présidentiel tel que semble l'envisager Macron me parait encore affaiblir la démocratie libérale et pluraliste :
1- non content de sur légitimer la figure du Président, on sur légitime la figure du peuple tout en contournant encore la représentation nationale.

https://twitter.com/Ellibec/status/1648961245414932480

2- on imagine une utilisation sur des politiques publiques sectorielles et non pas sur de grands choix existentiels pour le pays ;

"Loin de tenir la main au fascisme ou au totalitarisme, le #libéralisme s’est en fait bâti, tout au long de son histoire, contre toute forme de tyrannie. 👌💡@BatGauthey, red chef @Contrepoints répond brillamment et tout en finesse à @sandrousseau ! 1/3 contrepoints.org/2023/04/19/454… Les totalitarismes du XXe siècle se sont tous construits autour d’une vision constructiviste de l’Homme et de la société dans une perspective profondément antilibérale. 2/3

"La matrice institutionnelle gaulliste, déjà remise fortement en question sous l'égide du général, paraît proche de la rupture." 👏@julienndumont in @FigaroVox 1/9
lefigaro.fr/vox/politique/… le «populisme de velours» du macronisme, pour reprendre Marcel Gauchet, se heurte à résoudre l'équation impossible du gaullisme sans de Gaulle. 2/9