On résume l’histoire. Les homophobes qui ont réussi à stériliser les luttes LGBT en passant par l’intersectionnalité pour réintroduire de la culpabilité chez les « militants » sont allés trop loin. Et certains, mollement, réagissent (quitte à rentrer dans le rang, je le crains).
Comme dans tout mouvement totalitaire, l'impétrant se fait rappeler la doctrine. Ce n'est pas le discours de la néo-fasciste qui a pondu le concept d'homophobie soft qui pose problème, c'est lui qui oublie la doctrine. D'abord, celle du racisé homophobe par refus du progressisme.
Ici, le clergé s'impatiente. Appréciez la notion de « rapport de force » en imaginant un jeune homo de culture musulmane dans son environnement. D’après vous, de quel côté le rapport de force penche-t-il ? Mention particulière pour l'effacement de l'#homophobie par l'antiracisme
Ici, "l'homme de terrain" à qui on ne doit aucun de nos droits et qui, malgré ses 12000 followers, est arrivé à être encore plus discret lorsqu'un homo se fait tabasser par des jeunes des cités que @lecoindesLGBT, @Parispasrose ou Jérôme Martin. Et toxique à propos de Mila.
Conclusion: la néo-fasciste qui a stérilisé le militantisme LGBT serait incapable de choisir les bons moments, c'est tout. Reste à savoir combien d'entre ceux qui ont lu ce thread pensent que Sabrina, Kolo, Christa et Wissam seraient montés au créneau à propos d'islamophobie soft
La lutte contre l'#homophobie a été dévoyée par certains "militants" et leurs complices. Elle se mène de façon aussi frontale et sans concession que l'antiracisme. Nul ne doit être inquiété ou discriminé en raison de son genre, sa couleur, son origine, son orientation sexuelle.
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