5 milliards d'euros. C'est le "cadeau" de la France à ATOS en échange de l'installation de 35 millions de compteurs Linky, opération dont l'absurdité a été démontrée par la Cour des comptes.
Qui dirigeait ATOS et a fait usage de son entregent pour obtenir ce contrat ? M. Breton.
Qui dirigeait ATOS et a fait usage de son entregent pour obtenir ce contrat ? M. Breton.
Combien Thierry Breton a-t-il touché depuis son arrivée à ATOS, "miraculeusement redressée" selon les médias, où il a été propulsé après avoir été ministre de l'économie ?
Plus de 40 millions d'euros.
Combien cela nous-a-t-il coûté ? Plus de 140 euros chacun.
Plus de 40 millions d'euros.
Combien cela nous-a-t-il coûté ? Plus de 140 euros chacun.
Combien de stock-options lui reste-t-il ? L'équivalent de 50 millions d'euros, qui viendront s'ajouter à 200 millions d'euros de patrimoine personnel, accumulé en alternant privatisations, passages en cabinet et nominations politiques depuis trente ans.
Un modèle pour M. Macron.
Un modèle pour M. Macron.
Entre temps, le taux de pauvreté en France vient d'atteindre 15%.
PS: au fait, qui a privatisé les autoroutes ? Je vous laisse deviner. Oui, oui, ce même Thierry Breton. Admettez le flair de notre cher président, à quelques jours de l'an 1 des gilets jaunes.
Dégoût.
PS: au fait, qui a privatisé les autoroutes ? Je vous laisse deviner. Oui, oui, ce même Thierry Breton. Admettez le flair de notre cher président, à quelques jours de l'an 1 des gilets jaunes.
Dégoût.
Le Monde réussit à faire un portrait (anonyme !) de Breton sans mentionner la privatisation des autoroutes, Linky, la nomination de Lombard à Orange et la crise des suicides qui s'en est suivie, Thomson, Amesys...
Contrebingo pour la faisanderie ! lemonde.fr/international/…
Contrebingo pour la faisanderie ! lemonde.fr/international/…
Ils se félicitent par exemple que Thomson ait été "miraculeusement" sauvé par Breton, "oubliant" que ce fut notamment, entre mille choses, grâce à une filiale de Vivendi qui rapporta en un an (!) 110 millions de "plus-value" à Thomson.
Qui dirigeait Vivendi ? Fourtou. Son ami.
Qui dirigeait Vivendi ? Fourtou. Son ami.
Celui de l'affaire Rhodia, qui provoqua la perquisition de son bureau de ministre - fait extrêmement rare - alors qu'il était à New York. Sans compter sur l'oubli du ghostwriting de ses livres "à succès", l'équipe de com payée pour sa page wikipedia, les contrats ATOS-Orange...
Incarnation du capitalisme de connivence, tirant des ressources d'État les sources de "réussites" qui satisfont les financiers, M. Breton n'est flatté que parce qu'il n'a eu de cesse de servir leurs intérêts.
Il ne peut et ne doit être nommé. [/endthread]
Il ne peut et ne doit être nommé. [/endthread]
