✅La création de logos/information du consommateur basés sur les Analyses de Cycle de Vie et pas que la consommation énergétique pour les produits de consommation
❓ Créer une appli pour noter les produits alimentaires selon leur impact environnemental ? Pas forcément utile
Benoît Gabrielle mentionne le manque de fiabilité de Yuka
Faut-il une appli pour noter les produits alimentaires selon leur impact environnemental ? Pas forcément utile selon M. Fressoz
Il faut savoir faire preuve de bon sens
Au début de la discussion, M. Gabrielle mentionne également les technologies à émissions négatives de CO2 mais il n'est pas sûr que la technologie puisse résoudre tous nos problèmes
Fabrice Flipo pense qu'on déplace le problème
Valérie Masson-Delmotte mentionne plusieurs idées :
💡 décarboner la production d’électricité
🚅Pour les transports, améliorer l’efficacité énergétique, la mobilité active
👨🌾Allier le stockage de carbone et les pratiques agricoles
🏭 pour l’industrie : aller vers des économies circulaires
➡️Nécessité d'une transformation systémique à grande échelle
➡️Il faut agir sur la demande et modifier les normes de consommation
➡️Enjeux de sobriété énergétique et alimentaire
Il y a des acteurs néfastes comme la publicité (financée par les grandes entreprises) qui peut encourager à la consommation non durable (ex: le marketing sur les SUV)
✅ Il faudrait mieux réglementer la publicité. De même dans le domaine de l'alimentation/junk food
La faute vient également du "manque de courage des politiciens" et du manque de connaissances sur le changement climatique (et d'autres domaines scientifiques) du côté des décideurs publics
"Il y a quand même beaucoup beaucoup de décideurs et d'acteurs de la haute administration qui ne connaissent rien au changement climatique. Rien du tout c'est parfois surprenant !"
L'état développe une stratégie bas carbone mais elle n'est pas mise en œuvre. La question porte sur la mise en œuvre dans la réglementation, les lois. Est-ce que c'est pris en compte ? NON 🙄
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Si tu cherches des informations fiables sur les études scientifiques sur l'acétamipride et les néonicotinoïdes, retrouve mon gros travail de synthèse sur mon compte insta :
Malheureusement on n'a très peu d'études chez l'humain sur l'acétamipride (pas de données ne veut pas dire qu'il n'y a rien à voir)
Les principales préoccupations sont la neurotoxicité développementale et l'écotoxicité, pas le risque de cancer
Les études in vivo présentent trop d’incertitudes méthodologiques pour être utilisées dans l’évaluation du danger
L’étude de Loser et al. (2021) fournit un signal mécanistique plausible mais ne permet pas à elle seule de conclure à un effet de neurotoxicité développemental avéré
Sur l'acétamipride, pourquoi tout le monde parle de risque de cancers ?!
Les principaux risques d'après les données scientifiques sont la neurotoxicité développementale (DNT, voir l'image dans une étude in vitro) ou des effets endocriniens
Je vais commenter des études
L’acétamipride active les récepteurs nicotiniques (nAChR) à partir de 1 μM en in vitro. Cette activation est suivie d’une désensibilisation rapide, ce qui perturbe la signalisation neuronale => Effet considéré comme un mécanisme plausible de DNT
Il y a peu d'études chez l'humain sur l'acétamipride
Le métabolite IM-2-1 est associé à une réduction du taux de testostérone chez hommes et femmes. Cela suggère un effet endocrinien potentiel, mais causalité non établie (étude transversale n=2014)
Questions/réponses sur l'avis de l'ANSES sur les isoflavones et le soja
1) Pourquoi les valeurs toxicologiques de référence (VTR) se basent sur des études animales ?
Il n'y avait pas d'étude humaine assez solide avec une relation dose réponse pour établir une VTR
C'est très classique en évaluation de risques alimentaires d'utiliser des données animales toxicologiques pour dériver une VTR puisqu'on est dans un environnement contrôlé où on peut tester des doses très faibles et très élevées
Exemple pour les composés naturels végétaux
Ici ils ont considéré que l'étude du NTP 2008 (US National Toxicological Program) et de Eustache 2009 étaient assez solides avec un effet critique sur les glandes mammaires et les testicules pour dériver une VTR = valeur pour qualifier/quantifier un risque pour la santé
Voici 7 femmes scientifiques qui se sont vu voler ou minimiser leurs découvertes, souvent au profit de collègues masculins :
1⃣ Jocelyn Bell Burnell : doctorante en astrophysique, elle a découvert en 1967 les pulsars, des étoiles à neutrons en rotation rapide
Elle a découvert des impulsions aigues régulières provenant systématique de la même partie du ciel. Avec son directeur de thèse Anthony Hewish, ils ont pensé qu’ils avaient détecté un signal provenant d’une civilisation extraterrestre et l'ont nommé LGM-1 (Little GreenMen)
Ils avaient découvert le premier pulsar, CP 1919. Ces étoiles extrêmement denses se forment à partir des restes d’étoiles massives effondrées après une supernova, ils ont des champs magnétiques puissants qui ne sont pas alignés avec l’axe de rotation de l’étoile