Thread by @lenababou

THREAD sur la crise du Captal en cours

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le Media est par essence un lieu de mensonge absolu. Ce mensonge est consubstantiel à la tyrannie médiatique de la crise du mode de production capitaliste

La mise en scène de la crise sanitaire semble EN APPARENCE détruire l'économie. En apparence. En fait elle vient servir le Capital pour surmonter sa crise. Il doit se dévaloriser pour surmonter sa crise et il doit le masquer par la mise en scène du sanitaire

L'effondrement économique n'a rien à voir avec le virus #COVID19 . Pourtant, tout est mise en scène pour faire croire l'inverse.

Le Capital se met en jachère du fait de la baisse du taux de profit. Le Capital est en surproduction et ne peux plus extorquer suffisamment de plus-value dans son cycle d'accumulation. Il faut donc justifier au public cette gigantesque dévalorisation de la valeur.

Le capital veut repartir sur un nouveau cycle d'accumulation, il se détruit donc lui-même, avec l'aide des ordures gouvernementales de tous les pays et de toute les banques centrales

Depuis les 70's, le Capital n'arrive plus à produire suffisamment de valeur de part son économie réelle, et a mis en mouvement la production du Capital fictif (dettes) comme surdéterminant à son accumulation

Aujourd'hui le Capital s'engage dans une dévalorisation massive ET de son capital fictif ET de son économie réelle : c'est indispensable pour sa restructuration. C'est là que le commun des mortels ne comprend pas, car c'est contre-intuitif. Alors où est la mystification ?

La mystification réside dans le fait que la totalité des mesures sont prises non pas pour des raisons sanitaires MAIS de restructuration du Capital, quel qu'en soit les coûts humains.

Et les médias sont ESSENTIELS dans l'entretien de cette mystification. Ils doivent mettre en spectacle la crise sanitaire.

La crise du capital a ressurgi en 68-70 du fait de la fin de la période de reconstruction, du rééquilibrage des balances commerciales européennes et japonaises, et la crise de l'imperialisme americain (décomposition du système de Bretton Woods).

De 68 à 2008, le Capital a mis en marche le capitalisme drogué de crédits

Aujourd'hui ce sont des milliards de milliards qui s'évaporent. Qu'est que la friche et la jachère ? Le Capital doit régulièrement épongé, détruire, éliminer sa surproduction. Et sa surproduction n'est pas une surproduction de marchandises ! Ce n'est que la partie visible

La suraccumulation avant d'être une suraccumulation de marchandises est une suraccumulation de capital. 2 grands indices majeurs : l'industrie des transports et l'interbancaire. Or l’automobile était gravement malade en même temps que la Deutsche Bank était en train de s’écrouler

Le Capital dans sa situation de restructuration ne peut en aucun cas se mettre à nue : il est obligé de jouer le jeu de la métaphore et du Spectacle. Le fétichisme de la marchandise et son secret : son secret, c'est le spectacle, le leurre théatral

Le Capital s'effondrant va dire : ce n'est pas de ma faute, c'est le virus. le problème n'est pas économique, il est sanitaire. Gigantesque orchestration médiatique

L'histoire doit s'arrêter une fois que le Capital a conquis le monde, car il ne peut plus rien justifier. Il y a eu l'Histoire mais il n'y a plus d'Histoire. Elle s'est arrêté dans la mythologie du #COVID19

Les gens ont peur de mourir parce qu'ils sont déjà morts disait Hegel. Le Capital nous rend idiots, il veut nous couper de l'analyse historique de son évolution. Afin de nous rendre tels des poissons rouges dans un aquarium, tétanisés par la peur

Le Capital ne nous confine pas seulement physiquement : il nous confine historiquement. Il nous confine dialectiquement. il nous confine ontologiquement. Nous devenons des restes angoissés, confinés dans la reproduction servile du discours médiatique officiel du Capital

Le mythe des théories économiques classiques (repris aujourd'hui par les écolos débiles) de surproduction de marchandise-objet sert à cacher la surproduction de relations sociales aliénatoires du point de vue de la valorisation du Capital,

, de la cybernétique des contradictions de la valorisation et de la dévalorisation. Et à un moment donné, la guerre est la grande friche de destruction. Mais lorsque la guerre militaire est impossible comme aujourd'hui, elle passe le relais à une gigantesque guerre sanitaire

Ce ne sont pas des grands banquiers qui se seraient réunis dans une cave en se disant :"on va mettre en branle la grande restructuration du Capital". C'est une immanence

Les hautes sphères de ingénierie sociale, ces banquiers, nos dirigeants n'ont aucune vision historique à long terme, encore moins une vision dialectique de l'immanence. La culture a disparu de l’État, et plus largement de la classe dominante. Ils agissent comme des automates

C'est l'immanence crisique de la marchandise qui impose cette crise sanitaire, ce confinement, comme marche en avant vers la 3ème guerre mondiale, pour organiser le camp de concentration démocratique de la valeur d'échange en crise et en auto-valorisation de son auto-destruction

La friche et la jachère sont immanents à la surproduction. Mais la nomenklatura mondialiste ne comprend même pas ce qui se passe. C'est un auto-mouvement cybernétique sans pilote

Le Capital a créé les réseaux sociaux pour contrôler la pop. Mais la dialectique de la domination se renverse, c'est la ruse de la raison. C'est un retournement dialectique, la contre-information se répand bien plus efficacement qu'au temps des mensonges sur la couche d'ozone

Ces retournements le Capital n'arrive pas à les juguler. Voyez l'affaire #chloroquine . Et c'est lui qui a donné l'instrument (les reseaux sociaux) pour se faire fesser. Même sans vision claire et radicale, la critique, la contre-information sur la valeur d'échange se répand.

Au moment où la crise du Capital se met dans cette grande destructuration avec la mythologie sanitaire, surgit une bulle incontrôlable, #Raoult.Au moment où l'on dit aux gens "montez dans des trains, on va vous déporter dans d'autres régions, on vous confine". Et la #chloroquine?

"Ha non, c'est très dangereux, vous pouvez mourir les gueux ! On va vous faire respirer sans masque et sans chloroquine, on verra ce que cela donnera". La conscience pas encore révolutionnaire du peuple se documente et se demande ce qui se passe

La crise mythologique sanitaire, pour dissimuler la crise de surproduction a donc déjà perdu le plan 1, grâce au fantassin Raoult et aux reseaux sociaux

Le compte à rebours a donc commencé pour le mensonge policier du confinement, pour l'imposture du diktat de la science officielle. Toute vérité officielle est donc un mensonge par essence

WWI, WWII, Vietnam, Irak, Libye, Syrie, terrorisme, tout n'est que mensonge par essence dans l'hagiographie officielle des "vérités" du Capital. Le Capital, là, aujourd'hui, joue quelque chose d'essentiel. Car sa crise est absolument gigantesque

Ce n'est pas une simple restructuration qui opère aujourd'hui. Le Capital est au bord du gouffre, il contemple sa propre mort. Le crédit chimérique est à son comble et totalement généralisé.

Pendant qu'il se nettoie en se débarrassant de sa surproduction, , maintenir le contrôle social, l'économie de guerre, l'économie de la reproduction de la domestication du peuple, il demande à la FED et BCE de réinjecter ce qu'il vient de nettoyer !

On est dans une boucle de folie absolue. On est donc rentré dans une phase historique décisive, car l'intégralité des mensonges politiques de l'économie politique est en train de vaciller.

Tout ce qui est dit par l'économie politique sur TOUT LES SUJETS font d'une vérité officielle un mensonge absolu de la reproduction aliénatoire du Capital

Le Capital se voit donc contraint d'utiliser des ficelles de plus en plus grosses et de plus en plus grotesque pour exercer son contrôle sur les peuples

Orwell : lorsqu'un Pouvoir ne peux plus obtenir le consentement de sa population par les désirs aliénatoires, par les excitations à consommer ou fétiches désirants, il ne lui reste qu'une seule chose : LA PEUR

Le Capital est thanatos par essence : tout ce qui nous arrive aujourd'hui , tous le morts de la planète, toute destruction de liberté, réside dans la baisse tendancielle du taux de profit.

Le monde de l'économie est en train de produire toute l'économie du monde de l'effondrement. Au bout du grand mensonge, économie va tout emporter, politique, idéologie, sens...Une vraie crise ontologique.