pour les autorités militaires, C. Cissé, bien que blessé, est encore mobilisable, et elles refusent de le laisser partir rejoindre sa famille comme il le demande.
Le voila qui devient, aux yeux de l'ordre colonial, un "fauteur de troubles".
rien que ça...
il demandait juste de rentrer chez lui après avoir combattu pour la France et avoir été blessé au combat...
sévérité coloniale et militaire se conjugue dans cette condamnation inique
je rappelle que ce soldat blessé, inapte au combat, voulait juste rentrer chez lui...
Il est soutenu par les associations anticolonialistes, le Secours Rouge International et le député communiste André Marty
Une demande de grâce présidentielle est déposée
Le président Painlevé refuse la grâce
ci dessous un article du Peuple de 1932 consacré à Cissé
à consulter là
gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt…
comme ici le 14 juillet 1933
(voir la liste là
rapportgallica.bnf.fr/rapport.html?q…)