1- Je vous suis dans votre hypothèse, je n'ai pas eu le COVID. En revanche, vous avez sous
2- D'accord mais si je lutte avec les conséquences d'un autre virus, n'est-ce pas de votre responsabilité de chercher de quoi il s'agit pour me soulager ? Réponse : on ne le fera
3- Pourquoi ? Réponse : La recherche ça coute cher, nous commençons une étude sur les COVID au long cours, pour être publiable nous avons besoin de gens étiquetés COVID par une sérologie. Vous ne rentrez pas dans notre intérêt de recherche. Notre prise en charge s'arrête.
5- Où dois-je m'adresser pour avoir une continuité de soins ? Réponse : silence.
J'insiste, c'est votre devoir.
Réponse : En médecine interne.
Très bien, faites moi une lettre.
Réponse : Vous n'aurez pas de rendez-vous avant 2021.
Donc vous êtes en train de
6- Y-a-t-il d'autres personnes dans le même cas que moi ? Réponse : Oui
7- Donc vous me parlez d'hystérie de masse ? Réponse : oh, je n'emploierai pas ce terme. Les psychiatres parlent de troubles somatoformes. Moi : c'est grosso modo la même chose, vous êtes en train de me dire que votre conclusion c'est qu'on se crée les
7- Je peux être très rationnelle aussi
Le gars est calmement en train de me dire qu'il a dégagé comme moi plein de personnes sans scrupule parce qu'elle n'avaient pas les compétences
Je lui dis qu'après notre échange je ne vois pas la logique de son positionnement. Je ne vois que la politique. Voilà ce qu'il me répond : L'épidémie n'était pas si grave, les médecins ont paniqué, tous les
- La Salpêtrière en tous cas voit d'un mauvais oeil le rassemblement des malades. Une épine dans le pied.
- Il y a une volonté politique de minimisation de l'épidémie. On passe quand même d'une pénurie de test à un discours qui capitalise sur ce
- Tout le monde va être jetés sous