Pourquoi il ne faut pas faire confiance à #EELV. 1 - la question démographique 2 - l’impératif de souveraineté 3 - la déconstruction sociétale de la culture populaire 4 - la schizophrénie énergético-climatique 5 - 20 ans d'opportunisme et de carriérisme. Détails dans le fil. 
1 - #EELV ignore la question centrale de la croissance démographique et ses effets écocidaires (qui détruisent des écosystèmes) et polémogènes (qui provoquent des conflits), pour n’avoir pas à en tirer les conséquences en matière de politique migratoire. C’est lâche et stupide.
2 - #EELV ignore la question prioritaire de toute politique : la souveraineté, condition nécessaire pour mener une politique sans se la faire imposer. EELV est un hémophilie anti-politique qui nous livrera aux intérêts des puissants par incapacité à assumer le rapport de force.
3 - #EELV (à l’image de son électorat bourgeois libéral urbain) est en pointe dans la décontraction sociétale des normes de la culture populaire. Celles-ci sont pourtant les murs porteurs de communautés de vie et sont indispensables à l’existence de cultures résilientes.
4 - #EELV, contribue à faire de la question climatique une urgence mondiale prioritaire tout en demandant le démantèlement de la seule source d’énergie tenant le cahier des charges CO2-cout-disponibilité capable de la solutionner: le nucléaire. C’est schizophrène !
Enfin #EELV c’est Jean-Vincent Placé, Nicolas de Rugy, Daniel Cohn-Bendit, Cécile Duflot, Emanuelle Cosse et tant d’autres. 20 ans d’échec, de carriérisme et de trahisons et pourtant une place centrale dans le jeu politique grâce à la complaisance des médias-milliardaires.
déconstruction
Les facteurs principaux de la crise écologique sont la croissance de la population, le productivisme consumériste couplé avec la mondialisation compétitive des échanges et la marchandisation des communs. Toute politique écologique contournant ces 3 impératifs est vouée à l'échec.
