La presse française devrait s'intéresser aussi au business du "private equity" qui prend en otage nos gouvernements en faisant du chantage à l'emploi...
(À dérouler pour les explications)
Cette activité repose au premier ordre sur l'effet de levier : les investisseurs n'apportent qu'une infime partie du capital nécessaire au rachat des sociétés, le reste se fait grâce à la dette.
Dans un environnement de taux quasi nuls, un achat d'une société à 100 avec 30 de capital apporté, revendue quelque années plus tard à 130, ne rapporte pas 30% aux investisseurs, mais 100% !
Mais l'auteur de l'article explique très bien que les gérants des private equity et leurs investisseurs n'assument aucun risque en cas de coup dur.