1/10 Bon alors, petits rappels niveau CP au sujet de ce qui est objectif et de ce qui est subjectif. Attention, âmes sensibles s’abstenir ! ⤵️
2/10 Le ressenti individuel a toute légitimité jusqu’au point où il ne peut plus effacer le réel. « Le réel, c’est quand on se cogne », disait Lacan : certains ont beau se faire des plaies et des bosses, ils continuent d’affirmer que le réel n’existe pas.
3/10 Je peux tout à fait m’habiller en rouge, mettre un drôle de petit chapeau et affirmer le plus sérieusement du monde que je suis cardinal, ce n’est pas pour autant que je serai logé gratuitement à Rome et que je voterai pour le prochain pape.
2/15
Alors que la classe doit être un sanctuaire imperméable aux intrusions extérieures et uniquement dédié à la transmission des savoirs, le travail des enseignants est pollué et rendu impossible par l’incurie générale.
« #Pasdevague » cincivox.fr/2018/10/29/pas…
3/15
Les parents d’élèves n’ont rien à faire à l’école !
« Moi, parent d’élève » cincivox.fr/2020/10/12/moi…
On ne compte pas les gens en fonction de leurs origines supposées ni de leur couleur de peau : la République ne reconnaît que des citoyens. Ceux qui classent les gens selon un nuancier Pantone ne sont que des racistes.
Deux mots pour tous ceux qui pensent que segmenter la nation en fonction du taux de mélanine, c'est moderne, c'est juste, ça permet de "connaître la réalité du pays"
Ces billevesées ne sont que des excuses à votre racisme profond.
Oui : vous êtes des racistes.
Vous assignez à résidence identitaire des gens "pour leur bien" en fonction de leur couleur de peau. Vous rendez-vous compte combien vous êtes paternalistes et condescendants ?
Dans mon cadre professionnel, je suis amené à côtoyer très régulièrement des étudiants de tous les niveaux et de tous les types d'établissements.
Je suis effondré par leur niveau en orthographe, grammaire, conjugaison, syntaxe.
Quels que soient les cursus, quelles que soient les universités ou écoles fréquentées, quasiment aucun ne sait rédiger un paragraphe, parfois une simple phrase, sans y disséminer des fautes grossières. Le pire : elles ne ressortissent pas à l'inattention ni à l'étourderie.
Non : ce sont des lacunes profondes, doublées d'une grave inculture, et triplées d'un mépris profond pour la langue tant écrite qu'orale. "On" leur a tellement répété que l'orthographe n'avait pas d'importance, que l'idée même d'écrire correctement leur semble incongrue.