Rappelons l'engagement de @BrunoLeMaire : "Si vous n'avez pas d'argent pour votre trésorerie, alors vous n'en avez pas non plus pour vos actionnaires".
Il est pourtant inscrit noir sur blanc dans la FAQ produit par @Economie_Gouv : "qui demande un PGE ne doit pas avoir versé de dividendes en 2020"
La @CMACGM, qui a reçu un PGE de 1 Md €, a versé un dividende de 85,5 millions € en 2020 (selon ses propres documents financiers)
Voici l'arrêté, en date du 12 mai 2020, signé par @BrunoLeMaire, accordant la garantie de l’Etat à un prêt de 1,05 milliard € à la @CMACGM ... alors que cette entreprise avait déjà versé un dividende de 85,5 millions $ à ses actionnaires.
Ce signalement vient compléter le n°37 du 14 mai 2020 alertant @Economie_Gouv sur le fait que la @CMACGM obtenait un #PGE alors qu'elle utilise largement les #Paradisfiscaux, y compris le #Panama qui est pourtant sur la liste française.
On rappellera enfin que
- @Bpifrance, donc l'Etat, dispose de 7% du capital de @cmacgm : puisse @NicolasDufourcq, son PDG, expliquer ces contradictions
- @CMACGM a également bénéficié du chômage partiel pour une partie de ses salariés, qui ont été payés sur fonds publics
Le groupe @Accor qui a versé environ 900 millions € de dividendes ces 3 dernières années, qui a près de 4 milliards € de trésorerie, qui a mis 37 500 personnes au #chômagepartiel, va supprimer 300 à 400 postes
Précisions : les dividendes évoqués ici portent sur les années 2016, 2017 et 2018, versés l'année suivante. Le #Chômagepartiel est payé sur fonds publics pour justement éviter les suppressions de postes.
100 % du CAC40 est soutenu par des aides publiques conséquentes ... & deux tiers a maintenu le versement de juteux dividendes, selon le nouveau rapport de l'observatoire des @transnationales
Ce rapport de l'observatoire des @transnationales (disponible ici : multinationales.org/IMG/pdf/allobe…) synthétise, et complète, les dizaines de signalements produits sur ce compte twitter depuis début avril 2020.
On vous a résumé les conclusions de ce rapport de l'observatoire des @transnationales en vidéo : les promesses de modération des dividendes et de contreparties sociales et écologiques en cas de soutien public n'ont pas été tenues
Le @GroupeColas a versé 209 millions € de dividendes à ses actionnaires alors qu'il a profité du chômage partiel payé sur fonds publics et supprimé une semaine de RTT et congés à ses salariés.
Les activités du @groupeColas dépendent essentiellement de la commande publique (à 57% selon données du groupe) : l'argent public coule donc à flots, en amont pour déclencher les chantiers, en aval pour rémunérer les salariés.
Mais de gros dividendes pour les actionnaires
Qui sont les actionnaires de @GroupeColas ?
Principalement le @GroupeBouygues, à 96,6%, soit plus de 200 millions €.
Et vous savez quoi ? @GroupeBouygues a versé de très gros dividendes à ses propres actionnaires.
Que la France ne s'est pas fermement opposée à l'accord UE-#Mercosur lors de la réu des ministres du commerce extérieur et que les Etats cherchent une façon de sauver le contenu de l'accord UE-#Mercosur.
D'ailleurs, que dit le Commissaire européen au commerce suite à cette réunion ?
Que "la Commission européenne cherche un engagement clair des pays du Mercosur" sur le développement durable (sic).
Et l'Allemagne ? Elle entend trouver un compromis, sans renégocier le texte.
Merci à @stephane_heulot, ancien coureur professionnel, pour cette prise de parole au sujet de l'entourage de #Pogacar, et plus généralement du malaise qui a saisi nombre d'observateurs sur les performances aperçues sur ce Tour (#Jumbo#Pogacar etc)
Selon @afpfr, le @gouvernementFR dit être "opposé au projet actuel" : modifié, pourrait-il être accepté ? Modifié en quelle profondeur ? Par quel moyen : une déclaration ad hoc comme pour le #CETA ? Il ne s'engage pas à le bloquer.
1/
Selon @afpfr, la France formule "trois exigences pour poursuivre" :
- respect de l'Accord de Paris sur le climat
- importations fondées sur les normes sanitaires et environnementales fixées par l'UE.
- lutte contre la déforestation
2/
Ces trois exigences posent de nombreuses questions : 1/ d'abord au regard de tout ce qu'elles ne couvrent pas : impacts sur l'emploi, les normes sociales, les services publics, la biodiversité, les droits humains, les libertés publiques