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« Mélange de modernisme choisi et de conservatisme profond, d’audace délibérée et de classicisme foncier, de pessimisme grognon et d’humour » : tel est Renaud Camus.
Ce qu'en disent les lecteurs :

« Lire un seul volume de ce "grand" journal est insuffisant. Il faut se pencher sur la totalité des volumes qui ne sont pas tous de même intérêt certes ; mais et tout lire. Renaud Camus raconte tout ; cela donne la sensation
de se lire soi, de se voir vivre soi, d'avoir devant soi son double, son jumeau. Les écrits de Renaud Camus sont bien au-delà de ce qui fut "L'affaire RC" ; c'est du grand bonheur littéraire d'être à ses côtés, et les heures passées en sa compagnie ne sont jamais perdues. »
Clitandre : « Lire ce journal, au fil des années, devient une addiction : Renaud Camus rappelle au passage que son journal est une tentative pour dire "ce que c'est que de vivre". Il y parvient parfaitement et
il y a chez lui des accents de vérité (excusez le mot) qui vont bien au-delà de ce que beaucoup d'autres diaristes ont tenté d'enregistrer. »
O. D. : « On est toujours admiratif de son égalité d'humeur (apparente) face aux tracas de toutes sortes (financiers, médicaux, éditoriaux, etc...) ; plus qu'un bon écrivain (ce qui serait déjà beaucoup), Camus est un maître de vie, d'optimisme, de stoïcisme tranquille. »
"Toulouse" : « Le Journal est un rendez-vous avec une absence. Le lire est s'absenter dans sa présence régulière, redondante parfois, surprenante souvent. Un moment de glissement vers un autre que soi ; un appel continu à d'autres lectures, d'autres peintures, d'autres voyages. »
G. C. : « Sobrement charpenté, ondulant comme ferme, ce volume [2004] du journal de Renaud Camus est nourri de lectures, de voyages, & de force contemplations tant esthétiques qu'au sujet des "manières du temps". It's definitely and once again a must-read. »
O. C. : « Il en est de RC comme de Céline (et de tant d'autres aujourd'hui), au nom de ses excès, de sa volonté de dire le Vrai, l’ensemble de son oeuvre est ignorée, les dénonciateurs se drapent alors dans leur supériorité tout en faisant l’économie de sa lecture. »
Séolane : « Merci à Amazon et à l'auteur de pouvoir encore accéder à ce Journal par le truchement d'un vrai livre, avec une photographie élégante de couverture (réalisée par lui), une typographie soignée, un papier de qualité. »
H. B. : « Il conduit le lecteur par toutes les routes, dans tous les musées, devant tous les paysages, et lui apprend à regarder ce qu'on ne voit plus ;
il lui fait découvrir des tableaux, des musiques, des perspectives, des villes dont on se détournerait par habitude de la laideur, lassitude, manque de désir. »
« Cette curiosité et ce désir infinis pour les choses et les êtres fait du Journal de Renaud Camus un très bon guide de voyage, un devisement du monde tel qu'il est, et le meilleur des livres de peinture, dans la lignée et l'esprit des Salons de Diderot et de Baudelaire. »
« Livre d'art, de politique, de méditations, mais aussi appel d'air, appel à sortir et à aimer ce qui tombe : jamais, dirait-on, journal intime ne fut plus ouvert au monde extérieur et à son amour. »
Incognita : « Épris des beautés de ce monde, l’auteur brasse tout un univers intellectuel nourri d'une vaste culture musicale et artistique (peinture notamment) et veille sur un monde toujours menacé par les ténèbres de la barbarie. Travaillant des heures durant à son ordinateur,
Renaud Camus tente de cultiver frénétiquement le relief de son existence, d'observer le monde et ses palpitations, et combat sans relâche l'angoisse du temps qui passe, du temps qui lui manque encore et toujours. »
« Son écriture de l’intime, au fils des pages, réussit à nous lier à lui, en dépit de ses travers, de ses obsessions et de ses agacements. Camus devient passionnant dès qu'il parle de lui, de son château qui menace ruines,
de ses chiens, de son amour. Camus reste exemplairement libre, ce qui le rend exceptionnel dans une époque étouffée par le conformisme bien-pensant. »
« À la question classique « Quel livre emporteriez-vous sur une île déserte ? », je réponds sans hésiter le « Journal romain » de Camus, une évocation raisonnée,
juste et charnelle de la ville tellement précise qu'elle en devient unique. J'ai visité Rome avec ce journal toujours sur moi et sans lui, je serais sûrement passé à côté de LA ville. »
« Et comme toujours, ou presque, Renaud Camus nous enchante par l'écriture précise, élégante, raffinée et souvent drôle, qui rend compte d'une des pensées les plus fines de l'époque. »
C. A. (à propos de la livraison 2018 du Journal) : « Camus est toujours aussi tonique. »
T. F. : « Alors qu'il est beaucoup question de liberté de la presse (et pour de bonnes raisons), il est important de suivre le travail de libre examen que Renaud Camus mène depuis bientôt trente ans dans son "Journal". Examen sans concessions de lui-même et des mœurs du temps —
notamment des us de la presse, justement. Cela donne beaucoup à penser sur le liberté... de penser, et d'écrire. Une lecture plus que jamais importante à l'heure où le monde semble vouloir se détourner de la littérature et bientôt peut-être, qui sait, du libre examen.
Je n'ai pas hésité à redoubler mon achat par la commande de la version papier de l'ouvrage sur le site de l'auteur. »
C. L : « J'attendais impatiemment chaque année la publication du feuilleton et cette fois encore je n'ai pas pu quitter le livre pendant des heures et j'ai fini sa lecture en trois jours,
lecture dévorante animée par de nombreux éclats de rire, soupirs, agacements ou au contraire identification et sentiments empathiques envers l'auteur. [...] Il y a bien plus et bien mieux que de la politique dans le Journal de Renaud Camus : il y a un style, il y a un homme. »
Ingres : « L'univers de Renaud Camus séduit depuis longtemps : amour des paysages, des lieux, de la langue, du sens. Ce tome répond à toutes les attentes des amoureux des lettres. »
C. L. : « Plaisir de la série, du feuilleton, plaisir de la répétition et des petites differences. Renaud Camus livre ses cogitations quotidiennes comme certains parlaient de donner leur corps à la science (mais le faisaient-ils ?).
Libre à nous d'en disposer, ce qui me procure à chaque fois des moments d'intense jubilation et bien sûr quelques agacements. Je le lis très vite, survole ses énumérations, savoure ses anecdotes, me réjouis qu'il ait réussi à noter telle ou telle
nouvelle détérioration du langage, suis effrayé par ses dépenses, compatis à ses déceptions, redoute et adore ses entêtements, ne partage pas toutes ses opinions, ni tous ses goûts, mais... mais il occupe une place de référence dans ma façon de voir et d'entendre le monde.
[Attention, majuscules] MASSOC : « L'AUTEUR A UNE VIE TREPIDANTE TRES RICHE EN DETAILS ET TRES INTRUCTIVE .UN JOURNAL TRES DOCUMENTE ANECDOTES ET LA VIE MAIS QUELLE VIE.MAGNIFIQUE. »
« La lecture de son Journal, méticuleusement tenu depuis plusieurs dizaines d'année, est une bonne façon d'entrer dans l'univers d'un homme libre, déroutant,
dont les réflexions, lorsqu'elles sortent du compte-rendu du quotidien et portent sur l'art aussi bien que sur les questions de société, manquent rarement d'être stimulantes pour l'esprit et la pensée. »
I. N. : « Renaud Camus nous livre ce que fut la vie d'un homme, son regard sur le monde, ses émois, ses colères, les lumières et les visages qu'il vit, les corps et les gestes, les musiques et les silences qui furent ses journées et ses nuits.
Il nous fait partager de nouveaux émois, de nouvelles colères, d'autres lumières et d'autres visages, des corps et des gestes, des musiques et des silences. Circule ici, comme toujours et comme jamais cette « avidité d'être qui fait les heures toujours trop courtes, les jours
trop rapides, les semaines trop peu nombreuses, le monde trop vaste pour la curiosité que j'ai de lui. [...] C'est une course avec la mort, et elle la gagnera fatalement. Mais c'est une course qui l'oblige à courir un peu, elle aussi,
au lieu d'attendre paisiblement que d'ennui je tombe entre ses bras. »

On y baigne aussi dans ce que fut le monde il y a vingt ans ; c'est donc un précieux indice "historique" et politique (au sens le plus large). Nos mémoires sont tellement courtes...
Enfin, et comme d'habitude puis-je dire, il y a, à chaque page, le plaisir de la langue française, aimée, défendue, servie avec soin. Et ce n'est pas une mince affaire que de plonger dans ce bain délicieux, tant on finit par se contenter des écritures fades et prétentieuses. »

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5 Dec
Il m'arrive de penser que @RenaudCamus exagère, quand il dit que les Français sont hébétés au point de ne plus comprendre le sens de leurs propres paroles.

Puis je tombe sur des archives des années 70 👇



(merci à @Outof1many)
Ainsi, il y a cinquante ans, les jeunes gens de douze ans s'exprimaient avec plus de netteté, plus de précision, plus d'élégance que n'importe quel ministre d'aujourd'hui.

Je ne comprends pas pourquoi personne n'a pris soin de brûler ces archives.
Ce sont des preuves magnifiques, quoique douloureuses, qu'il a bel et bien existé une France d'avant, une France sans petit et sans grand remplacement. Ceux qui n'étaient pas encore nés en 70 peuvent le voir, de tous leurs yeux.
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25 Nov
Audience aujourd’hui à 13h30, au tribunal de Paris.

Renaud Camus fera face à cinq adversaires : MRAP, LICRA, SOS Racisme, UEJF, AIJP & DILCRAH.

👇 Suivez le procès en direct ici 👇
Le #ProcèsBanquise aura lieu devant la XVIIe chambre — ou "chambre de la presse".

Renaud Camus a publié le 18 avril 2019 :

« Une boîte de préservatifs offerte en Afrique c’est trois noyés en moins en Méditerranée, cent mille euros d’économie pour la Caf, deux cellules de prisons libérées et trois centimètres de banquise préservée. » #ProcèsBanquise
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