1/n "Nous n'avons pas encore assez de données pour valider l'utilisation de l'ivermectine" FAUX.
Nous avions mi-décembre:
– 24 essais, 7 825 patients, avec groupes de contrôle bien appariés
– 15 essais contrôlés et randomisés avec plus de 3 000 patients
ça a augmenté depuis
L'ivermectine offre un bénéfice extrêmement élevé en terme de réduction de la mortalité (-83% sur la base des essais contrôlés randomisés disponibles), est très sûre, ne coûte rien. Jetons un oeil aux conditions qui ont permis l'adoption dans les hôpitaux des autres traitements:
Remdesivir, adopté en dépit de faibles impacts cliniques (pas d'effet sur la mortalité), d'effets indésirables importants, de données alors non-revues par les pairs, d'un coût élevé et de directives contradictoires (OMS vs NIH)
Plasma de convalescence, adopté en dépit de faibles impacts cliniques, de données alors non revues par des pairs, de coûts élevés, de données faibles ou contradictoires.
Anticorps monoclonaux, adoptés en dépit de faibles impacts cliniques, d'un coût élevé, de données faibles ou contradictoires alors non revues par des pairs.
Les vaccins, adoptés en dépit d'effets secondaires importants et sans aucune donnée, même en preprint, disponible pour un examen scientifique (au moment de leur adoption).
On a fait un calcul bénéfice / risque pour les vaccins, ce que je comprends parfaitement!
Probablement qu'on a fait (mais dans ce cas pas toujours très bien) le même calcul bénéfice / risque pour les autres traitements, qui justifiait de les adopter rapidement.
Mais dans ce cas, il n'est pas excusable qu'on ne fasse pas exactement le même calcul pour l'ivermectine
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Donc, si vous vivez en Suisse et avez un proche vulnérable, ou êtes vous-même vulnérable, prenez note de quels hôpitaux vous proposeront des traitements avec un faible impact sur la mortalité, et desquels vous proposeront au contraire un traitement qui peut sauver des vies.
Il s'agit vraiment, potentiellement, d'une question de vie ou de mort, de parents ou grands-parents qui, en fonction de l'hôpital que vous choisirez, ne seront pas traités de la même manière, et pas avec les mêmes résultats.
Je n'aime pas twitter, les réseaux sociaux, je me réjouis de les quitter. La seule raison pour laquelle je passe du temps à traduire et rédiger, c'est pour que les gens que j'aime et ceux que vous aimez aient accès au meilleur traitement possible. Là, on s'en rapproche.
Il y a un consensus depuis le début: on ne peut sortir de cette pandémie que par une vaccination. Le cardiologue suisse Paul R. Vogt n'a aucun doute sur l'efficacité d'une vaccination, mais fait une proposition alternative: une association médicamenteuse antivirale ...
Premièrement, un anticoagulant; puis l'ivermectine, dont le formidable effet réducteur de virus a été démontré in vitro; Hydroxychloroquine, zinc et Zithromax, pour empêcher les virus de pénétrer dans les cellules; Vitamine C et vitamine D pour soutenir le système immunitaire...
Vogt souhaite proposer au Conseil fédéral et aux instances compétentes de permettre une sorte d'approbation d'urgence de l'association médicamenteuse. Au moins pour les patients qui le souhaitent. Ce qui est également nécessaire le plus rapidement possible: Une étude randomisée