"Ces résultats indiquent que la variété moderne n'a pas compromis la fonction de barrière ou contribué à l'inflammation intestinale par rapport à son ancêtre"
"Cela va à l'encontre des craintes selon lesquelles la pression pour des rendements plus élevés a rendu le blé d'aujourd'hui moins «sain» que les types plus anciens."
"Les conditions de culture ont plus d'importance que la sélection.
Au moins au niveau des protéines, nous n'avons trouvé aucune preuve que le potentiel immuno-réactif du blé a changé"
Rajoutons qu'en dehors de la qualité des blés qui ne s'est pas dégradée,
les variétés modernes sont plus rustiques que les anciennes variétés contrairement aux croyances
En hiver, les carabes se réfugient dans les bandes enherbées, fossés, haies et se dispersent dans les parcelles au printemps à partir de ces bordures de parcelle.
2⃣⤵️
Un de mes ilots est coupé en 2 parcelles et comporte à ce jour 3 côtés "refuges" pour les coléoptères.
Le but est de créer une zone refuge (en rose sur le dessin) entre les 2 parcelles pour que quasi l'ensemble des parcelles soient colonisables facilement pour les carabes.
3⃣⤵️
Quand on pense que Barbara Pompili nous explique que la filière betteravière traîne des pieds en recherche
et qu'en parallèle, la restitution du programme @AKERBett a été réalisée vendredi avec des explications pour lesquelles elle n'aurait pas compris 2 mots.😏
Lien à suivre👇
Sur la première vidéo, @maupas_itb nous explique les outils de phénotypage développés dans le programme @AKERBett
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Sur la seconde vidéo, @khenry_FD présente les principaux résultats du programme @AKERBett du point de vue génétique :
"Après avoir identifié des lignées de colza résistantes à l'altise adulte , l'identification de marqueurs pour ces gènes de résistances permettra aux sélectionneurs de plantes d'incorporer ces gènes dans des variétés de colza."
👍
Je vous avais parlé dans un précédent thread sur l'IPM/protection intégrée de solutions pour baisser le besoin de consommations en phytosanitaires (et non arrêter).
Une nouvelle fois, la génétique apportera des solutions de durabilité en grandes cultures.
J'insiste une nouvelle fois sur l'hypocrisie de ces politiques qui nous rabâchent sans cesse "transition agro-écologique" mais qui sont incapables de dénoncer la destruction d'essais variétaux :
Nouveau mensonge de @yjadot
Sur le bassin Artois-Picardie, 7% des surfaces sont irriguables dont 80% pour les filières Fleurs, Pommes de terre et Légumes.
L'essentiel des surfaces en Betteraves sont non irriguées (moins de 12% des surfaces en France et encore moins dans l’Aisne)
D'ailleurs pour optimiser l'irrigation des @_MissBetter chez ceux qui la pratiquent, l’@ITBetterave a développé un Outil d’Aide à la Décision : Irribet
Mon tweet d'hier sur le colza peut parfaitement illustrer une forme d'Agroécologie :
à savoir la logique IPM, pour Integrated Pest Manangement ou Protection Intégrée en Français.
Donc plus que les mots, c'est le principe qui est important.
2⃣⤵️
2 Schémas pour expliquer le principe de l'IPM :
Si l'agriculture raisonnée définit des seuils pour justifier si une intervention phytosanitaire est nécessaire,
la méthode IPM cherche EN AMONT à éviter d'arriver à ces mêmes seuils.
Eviter ne veut pas dire ne pas intervenir