Les prochaines semaines, nous allons construire ensemble le chemin qui nous ramènera à la vie normale. Tenir ensemble. Pour nous retrouver. Les étapes :
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Chacune et chacun a le droit de vivre en sécurité dans notre République. C'est le socle de notre devise. C'est ce qui donne sens à notre action chaque jour.
Depuis 2017, la France connaît une baisse importante des vols avec violences, des cambriolages et des vols de véhicules. Mais elle fait face à une forte augmentation des violences sur les personnes.
Les cyberattaques de Dax et de Villefranche-sur-Saône confirment l’importance de prendre l’enjeu de la cybersécurité très au sérieux. Nous en avons fait une priorité :
Chaque jour, les 560 agents de l’ANSSI agissent aux côtés de nos entreprises, institutions et des citoyens pour assurer la sécurité de nos systèmes d’information. Je veux leur dire notre reconnaissance. Nous nous donnons les moyens : 200 recrutements entre 2017 et fin 2021.
La coopération policière et judiciaire est clé en matière de cybersécurité. Nous l’avons accentuée. Cela nous a déjà permis de démanteler des réseaux et d’interpeller des cybercriminels.
La stabilité au Sahel est cruciale non seulement pour les populations sahéliennes, mais aussi pour notre sécurité et celle de l'Europe. C'est le sens de notre engagement :
Depuis 2014, la France est engagée au Sahel. Elle l'est à la demande et aux côtés du Burkina Faso, du Mali, de la Mauritanie, du Niger et du Tchad, devant la détermination des terroristes à frapper les populations, à faire reculer les États, à créer le chaos.
Il y a un an, le constat de la situation au Sahel était critique. Les États de la région sortaient fragilisés des attaques menées par les groupes terroristes contre les populations et des crises humanitaires qui en résultaient. Un nouveau tournant était indispensable.
En cette journée mondiale contre le cancer, aidez-nous à relayer ce message : malgré la pandémie de Covid, faites-vous dépister et ne renoncez pas aux soins !
Derrière des chiffres souvent froids et impersonnels, il y a des vies. Des deuils que l’on peut éviter. Des familles qui peuvent se reconstruire. L’espoir, pour beaucoup de patients. La reconnaissance d’une Nation pour ses soignants et chercheurs.
Ces témoignages, ces paroles, ces cris, plus personne ne peut les ignorer. Contre les violences sexuelles faites à nos enfants, c’est aujourd’hui à nous d’agir :
Nous avons allongé le délai de prescription à 30 ans à compter de la majorité. Nous avons durci les contrôles pour les professionnels au contact des enfants. Beaucoup a été fait. Il nous faut faire plus.
Il nous faut tendre la main, recueillir la parole. Deux rendez-vous de dépistage et de prévention contre les violences sexuelles faites aux enfants - l’un au primaire, l’autre au collège - seront mis en place pour tous, dans le cycle de visites médicales obligatoires existantes.