Cher fils, je tâenseigne que tu aies le cĆur compatissant envers les pauvres et envers tous ceux que tu considĂšreras comme souffrant ou de cĆur ou de corps , et selon ton pouvoir soulage-les volontiers ou de soutien moral ou dâaumĂŽnes.
Si tu as malaise de cĆur, dis-le Ă ton confesseur ou Ă quelquâun dâautre que tu prends pour un homme loyal capable de garder bien ton secret, parce quâainsi tu seras plus en paix, pourvu que ce soit, bien sĂ»r, une chose dont tu peux parler.
Cher fils, je tâenseigne que tu aimes et honores ta mĂšre, et que tu retiennes volontiers et observes ses bons enseignements, et sois enclin Ă croire ses bons conseils.