L'#écologie politique actuelle telle que pratiquée en 'occident', dans son ensemble, notamment dans sa mise en œuvre tant idéologique que matérielle, est bourgeoise. L'écologie sans lutte des classes... c'est du jardinage. Ni plus, ni moins.
Ce que je veux dire, c'est que
comme lors des autres grands mouvements ou bouleversements du passé qui ont tenu le haut du pavé et inauguré de nouvelles ères, jouer la carte du progressisme (attrait pour la nature, l’autre, le bien-être général, les conditions de vie (et de mort) des animaux) tout en
demeurant farouchement conservatrice (maintenir sa position de classe), est la marque de fabrique (et de survie!) de la bourgeoisie.
La nécessité impérieuse d'avoir une politique écologique émancipatrice est évidente, cependant, tant qu'on se limite à une pseudo-écologie dans une
économie de marche néo-libérale classique, ça ne sert à rien. Les aliénations seront remplacées par d'autres, plus bio, plus vertes, certes, mais tout aussi asservissantes. #PCF#ecosocialisme#biodiversite#solidarite
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Le 21 février 1944, Missak, dit Michel, #MANOUCHIAN, poète français d’origine arménienne, communiste, syndicaliste et résistant de la toute première heure est fusillé sur le Mont-Valérien avec vingt-trois de ses camarades. Voici sa dernière lettre adressée à sa femme, Mélinée :
« Ma chère Méline, ma petite orpheline bien aimée,
Dans quelques heures je ne serai plus de ce monde. On va être fusillé cet après midi à 15 heures. Cela m’arrive comme un accident dans ma vie, j’y ne crois pas, mais pourtant, je sais que je ne te verrai plus jamais. Que puis-je
t’écrire, tout est confus en moi et bien claire en même temps. Je m’étais engagé dans l’armée de la Liberation en soldat volontaire et je meurs à deux doigts de la victoire et du but. Bonheur ! à ceux qui vont nous survivre et goutter la douceur de la liberté et de la Paix de