Situation au Royaume-Uni :
• plus de 42 000 nouveaux cas en 24h, soit plus de 35 000 cas par jour en moyenne (+27,4% en une semaine)
• plus de 500 hospitalisations quotidiennes en moyenne (+53,2% en une semaine)
En utilisant une échelle logarithmique, on voit bien que la croissance des hospitalisations quotidiennes est exponentielle (la courbe est droite car le taux de croissance hebdomadaire est stable depuis 7 jours).
L'évolution des nouveaux cas quotidiens par rapport à J-7 (en pourcentage) est stable également depuis trois jours, mais après avoir nettement diminué. 3/6
Cela s'explique notamment par le fait que le nombre de cas quotidiens est en nette chute en Écosse, l'une des quatre nations composant le Royaume-Uni. 4/6
Les hospitalisations quotidiennes augmentent toujours en Ecosse, mais le pic pourrait - du coup - bientôt être atteint. 5/6
Les différents indicateurs augmentent donc au Royaume-Uni mais une chose est sûre : le ratio hospitalisés/cas positifs est bien plus faible que lors des précédents vagues, essentiellement grâce à la vaccination (et car les infectés sont surtout jeunes). 6/6
• • •
Missing some Tweet in this thread? You can try to
force a refresh
On enchaîne avec le Parti socialiste, qui a fait ses meilleurs scores dans ses "bastions" traditionnels de l'ouest et du sud-ouest et qui progresse quasiment partout en France par rapport à 2019.
🦠 Épidémie de grippe saisonnière avec les virus A(H1N1), A(H3N2) et B en France, élevages de vaches contaminées par A(H5N1) aux États-Unis, 1er cas humain de A(H5N2) dans le monde...
Plongée dans la "galaxie" des virus grippaux. ⤵️ @le_Parisien
Il existe quatre types de virus de grippe : A, B, C et D. Chacun regroupe plusieurs sous-types. Pour A, ce sont tous les H1N1, H3N2, H5N1, H10N7, etc.
Ces noms de code correspondent aux types de protéines hémagglutinine (H) et neuraminidase (N) à la surface du virus.
2/10
"Ces deux protéines sont très importantes car elles ont une influence majeure sur les hôtes que le virus peut infecter, sur la manière dont il se transmet entre eux et sur les vaccins à utiliser pour se protéger contre l’infection", explique @PeacockFlu.
Info @Le_Parisien : un rapport parlementaire émet plusieurs propositions pour lutter contre la désinformation médicale, qui "a pris une importance nouvelle au cours de la pandémie de #Covid19".
Ce rapport de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques est bâti en quatre parties : les effets indésirables des vaccins, la prise en charge du Covid Long, la surveillance des épidémies et la lutte contre la désinformation en santé.
2/11
Dans cette dernière catégorie, les élus font le constat que "les crises sanitaires conduisent à une politisation de la science, une instrumentalisation de ses résultats et alimentent la circulation de fausses informations".
A l'Institut Pasteur, les chercheurs élèvent plusieurs espèces de moustiques. Le but : les faire grandir, puis les contaminer par des virus dans un laboratoire P3 pour voir comment ils se comportent.
"On est forcément tous un peu paniqués, avec les JO qui arrivent."
"Le SARS-CoV-2 provoque chaque année plusieurs pics et plusieurs vagues épidémiques. Pour la grippe, on a parfois deux pics, avec les souches A puis B, mais sans retomber entre-temps à de bas niveaux et toujours entre fin décembre et le mois d’avril", décrit @MT_Sofonea.
2/6
Première explication : le SARS-CoV-2 est plus contagieux, à la base, que les virus grippaux. Du coup le "frein estival" à lui seul (on est moins souvent en lieu clos, propice à la transmission) ne suffit pas à empêcher une reprise épidémique en été.
3/6
Après les quatre concerts de Taylor Swift à Paris, de nombreux fans ont eu un syndrome grippal... avec parfois un test #Covid positif : "Tous les gens que je connais sont tombés malades", mais "ça valait bien cinq Covid d’affilée !". ⤵️ @le_Parisien
Alex, 29 ans, est venue de Lille pour le 3e show. "Le lundi d’après, j’ai commencé à tousser. Mercredi, ça n’allait pas du tout, je ne pouvais rester debout plus de 5 minutes".
Elle voit sur Insta des gens parler de test Covid positif et va au labo. Verdict : Covidée.
2/5
"On n’entendait plus trop parler du Covid mais, avec le recul, on se dit que c’est logique vu qu’on était en lieu fermé, avec 45 000 personnes par soir… Si un virus circule, ça va très vite", témoigne une autre de ces "swifties".