Reconnaître le patrimoine, et même le matrimoine, des minorités en France peut-il passer par renommer des rues, des places, en France ? « Oui ! », répond l’historienne Naïma Yahi (@naimus).
🎶 Extrait d’une berceuse en acoustique par Houria Aïchi et l’une de ses stagiaires, le Salon de musique portant bien son nom à la Villa J, pour les @Suds_a_Arles. La reconnaissez-vous ? #LesSuds
• • •
Missing some Tweet in this thread? You can try to
force a refresh
La France est-elle cyniquement prête à tout dès lors que des intérêts économiques et stratégiques sont en jeu ?
L’enquête #PredatorFiles, que Mediapart publie à partir de ce 5 octobre, en apporte l’inquiétante démonstration.
Révélations à la Une de Mediapart 👇
Explications : 🧵
Predator, c’est le nom d’un logiciel espion qui permet d’aspirer toutes les données des téléphones et d’activer, ni vu ni connu, leurs micros et leurs caméras.
Le logiciel a été conçu et commercialisé grâce à l’alliance entre l’entreprise française Nexa et le groupe Intellexa, piloté par des anciens des services secrets israéliens.
Bonjour à toutes et à tous !
Ici @AnttonRouget, exceptionnellement en direct sur le compte de @mediapart pour live-tweeter, depuis le tribunal judiciaire de Paris, l’audience contre la censure préalable dont nous avons fait l’objet dans l’affaire de Saint-Étienne.
À dérouler👇
L’audience doit débuter à 14h. Avec nos avocats de @SeattleAvocats, nous demandons en urgence à la justice de revenir sur sa décision de nous interdire de publier de nouvelles révélations sur l’affaire de Saint-Étienne.
📷Vous avez jusqu'au 4 décembre pour aller au @Bar61Paris (3 rue de l'Oise, 75019) découvrir le travail photographique de notre journaliste @RachidaElAzzz, issu de ses reportages en #Afghanistan en janvier 2022
Vous y rencontrerez par exemple des jeunes filles qui, n'en déplaise aux talibans, suivent des cours d'anglais mixte à la mosquée d'un village perdu, de 4 à 22 ans.
Dans la région de Kandahar, Mohamed, ici avec l'une de ses filles, cultive le pavot « pour survivre ».
Le Parquet national financier a ouvert une information judiciaire sur les comptes de campagne 2017 et 2022 d’Emmanuel #Macron. La justice se penche sur les conditions d’intervention de cabinets de conseils et sur un possible financement illégal.
D’après des informations @le_Parisien, des juges d’instruction ont en été saisis pour enquêter sur les relations entre les cabinets de conseil et la Macronie.
Le #PNF a annoncé l’ouverture de deux informations judiciaires distinctes.👇
1. La première, ouverte le 20 octobre, porte notamment sur des soupçons de « tenue non conforme de comptes de campagne et minoration d’éléments comptables dans un compte de campagne […] »
Ces délits de financement illégal sont prévus par l’article L.213-1 du code électoral.
#ComplementDenquete revient ce soir sur l’affaire de la fausse rétractation de Ziad Takieddine dans le dossier libyen et le rôle de Mimi Marchand dans cette affaire.
Depuis des années, Mediapart documente cette affaire et ses nombreux rebondissements. mediapart.fr/journal/france…
Début juin 2021, Michèle Marchand a été mise en examen, samedi 5 juin, pour «subornation de témoin» et «association de malfaiteurs» dans un volet de l’affaire des financements libyens. Quatre autres personnes ont été mises en examen. mediapart.fr/journal/france…#ComplementDenquete
Quelques jours plus tard, la patronne de l’agence Bestimage et ses quatre complices présumés, recevaient l’interdiction de rencontrer @NicolasSarkozy, son avocat Me Herzog, et le directeur d’alors de Paris Match et JDD, Hervé Gattegno mediapart.fr/journal/france…#ComplementDenquete
[ Révélations ] Dans la suite de ses enquêtes sur l’affaire Macron-Benalla, @Mediapart a découvert qu'un service du ministère de l’intérieur a alerté, en 2019, sur des prestations de sécurité « vraisemblablement réalisées dans des conditions illégales » pendant la campagne 2017.
L'affaire, potentiellement embarrassante pour l'Élysée, n’a donné aucune suite administrative et judiciaire, selon de nombreux documents et témoignages réunis par Mediapart 👇 mdpt.fr/3K2ZdJS
L’un des prestataires, Fortunato Basile a pourtant reconnu en septembre 2020 qu’une équipe d’agents mobilisée à la demande d’Alexandre #Benalla pendant la campagne présidentielle (en plus des services officiels de protection) avait travaillé dans des conditions douteuses.