Voici les contre-indications à la vaccination imaginées par la DGS. Mais la Haute autorité de Santé en a déconseillées 2 (les essais cliniques et l’état clinique particulier du patient) et elle a recommandé des précisions pour les autres. #Covid19
Le premier tableau du haut porte sur les contre-indications définitives. La HAS recommandait d'ajouter les "personnes ayant déjà présenté des épisodes de syndrome de fuite capillaire" ou "un syndrome thrombotique et thrombocytopénique suite à la vaccination par AstraZeneca".
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La HAS recommandait aussi de supprimer le syndrome de Kawasaki de la liste, ainsi que d'apporter des précisions plutôt mineures aux formulations utilisées.
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La HAS a été suivie sur tous ces points, sauf pour les personnes présentant "un syndrome thrombotique et thrombocytopénique suite à la vaccination par AstraZeneca" et qui ne figurent pas dans le décret d'application de la nouvelle loi,paru ce dimanche.
On passe au second tableau, comportant les contre-indications "temporaires". La HAS recommandait d'apporter de simples précisions de syntaxe pour les anticorps et les myocardites et péricardites et elle a, logiquement, été suivie sur ces points.
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En revanche, elle déconseillait d'instaurer une contre-indication pour les "patients inclus dans des essais cliniques (avec des anticorps monoclonaux ou recevant un candidat vaccin" : ils "ne constituent pas une contre-indication médicale à la vaccination mais une exemption".
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Même chose pour la "recommandation compte-tenu de l’état clinique d’un patient", qui aurait notamment pu concerner des Covid long : elle concerne "des personnes qui, à ce titre, bénéficieraient d’une protection vaccinale contre les formes graves".
Là aussi, la HAS a été suivie et ces deux éléments ne figurent pas dans le décret d'application de la loi. Les personnes en question n'auront donc pas d'autre choix que de se faire vacciner ou tester afin de disposer du pass sanitaire.
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Ce décret apporte aussi plusieurs précisions pratiques concernant l'application du pass sanitaire, à découvrir dans le fil ci-dessous et, en détails, dans cet article ⏩leparisien.fr/societe/pass-s…
Alexis, 28 ans, est mort malgré un appel au Samu puis un passage aux urgences. Sa famille a porté plainte : "Il me manque chaque jour, il était plus qu’un frère."
Margaux parle avec émotion de son conjoint, "un homme simple, qui ne créait jamais de conflit". "Il était généreux, un pilier pour ses trois sœurs, avec le cœur sur la main. Lors de l’enterrement, certains ont été surpris du monde qu’il y avait", abonde la mère d’Alexis.
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La vie de Margaux, de ses trois enfants et de sa belle-famille a basculé en trois jours.
Le 11 mai 2022, Alexis appelle le Samu car il a mal au thorax : "Ça me prend dans les poumons, ça se diffuse dans le dos, les épaules et les bras, ça devient douloureux de respirer."
Le SARS-CoV-2 n'ayant pas du tout disparu, il est normal qu'il continue à évoluer.
De nouveaux variants apparaissent en permanence, avec un profil de mutations un peu différent à chaque fois. Certains d'entre eux se démarquent, car plus transmissibles, plus sévères, etc.
Les prothèses de hernie, nouveau "scandale de santé publique" ?!
De nombreux patients se plaignent de douleurs après l'opération et appellent à l'aide : "Je prenais tous les médicaments de la planète pour me calmer."
@le_Parisien Commençons du départ. Une hernie de la paroi abdominale survient au niveau de l’aine (hernie inguinale) ou du ventre, quand un morceau d’intestin s’enfonce au niveau d’un trou et vient cogner contre la peau.
En général, on opère car il y a un risque de grave complication.
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@le_Parisien Longtemps, le chirurgien faisait de la suture pour réparer. Désormais, il place généralement une prothèse d’une dizaine de centimètres de long, sorte de "morceau de voile de mariée, qui fera office de rustine comme sur la chambre à air d’un pneu crevé".
🎃 Il a beaucoup été question de #courge toxique depuis ce week-end, d'où cette question : comment détecter celles qui sont dangereuses pour la santé ? 🧐
L’histoire de Bertrand, qui perd ses poils et ses cheveux après avoir avalé une courge verte amère, met en lumière les risques - rares mais bien réels - sur notre santé d’une substance présente dans certaines courges.
Le mot grand public "courge" est un mot-valise qui regroupe de nombreux légumes différents : courgette, citrouille, potiron, etc. Il englobe aussi les coloquintes ornementales, censées décorer et ne pas être avalées, malgré leur ressemblance avec leurs cousines comestibles.
❗️ Attention, nouvelles règles ! La vaccination contre les infections à #méningocoques chez les enfants devient particulièrement dure à suivre, à force d'être élargie. 🤯
On vous explique tout, avec évidemment une infographie ⤵️ @le_Parisien
@le_Parisien Rappel : les méningocoques peuvent provoquer de graves maladies, le plus souvent des méningites.
Près de 200 cas durant les 2 premiers mois de l’année, "du jamais-vu depuis au moins 25 ans". Plus de 60 morts depuis l’été dernier, dont 13 en janvier.
@le_Parisien La HAS a recommandé d’élargir la vaccination en allant encore plus loin que les nouvelles règles depuis le 1er janvier. Le ministère s’engage à la suivre, avec entrée en vigueur "dans les prochaines semaines".
Voici donc le (probable) nouveau cadre, cas par cas.
🏴 Le Premier ministre britannique veut abolir le NHS, le système de santé anglais, enkysté par "de vastes couches de bureaucratie" et de moins en moins efficient.
Cette courbe (via @Telegraph) parle d'elle-même : le nombre de rdv en attente à l'hôpital explose.
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@Telegraph Autre graphique, tout aussi frappant : le nombre de patients qui attendent plus de quatre heures pour être pris en charge après avoir été admis dans un hôpital a lui aussi explosé ces dernières années.
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@Telegraph Vous en voulez encore ? La part de patients pris en charge dans les quatre heures qui suivent leur arrivée aux urgences ne cesse de diminuer.