Voici les contre-indications à la vaccination imaginées par la DGS. Mais la Haute autorité de Santé en a déconseillées 2 (les essais cliniques et l’état clinique particulier du patient) et elle a recommandé des précisions pour les autres. #Covid19
Le premier tableau du haut porte sur les contre-indications définitives. La HAS recommandait d'ajouter les "personnes ayant déjà présenté des épisodes de syndrome de fuite capillaire" ou "un syndrome thrombotique et thrombocytopénique suite à la vaccination par AstraZeneca".
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La HAS recommandait aussi de supprimer le syndrome de Kawasaki de la liste, ainsi que d'apporter des précisions plutôt mineures aux formulations utilisées.
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La HAS a été suivie sur tous ces points, sauf pour les personnes présentant "un syndrome thrombotique et thrombocytopénique suite à la vaccination par AstraZeneca" et qui ne figurent pas dans le décret d'application de la nouvelle loi,paru ce dimanche.
On passe au second tableau, comportant les contre-indications "temporaires". La HAS recommandait d'apporter de simples précisions de syntaxe pour les anticorps et les myocardites et péricardites et elle a, logiquement, été suivie sur ces points.
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En revanche, elle déconseillait d'instaurer une contre-indication pour les "patients inclus dans des essais cliniques (avec des anticorps monoclonaux ou recevant un candidat vaccin" : ils "ne constituent pas une contre-indication médicale à la vaccination mais une exemption".
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Même chose pour la "recommandation compte-tenu de l’état clinique d’un patient", qui aurait notamment pu concerner des Covid long : elle concerne "des personnes qui, à ce titre, bénéficieraient d’une protection vaccinale contre les formes graves".
Là aussi, la HAS a été suivie et ces deux éléments ne figurent pas dans le décret d'application de la loi. Les personnes en question n'auront donc pas d'autre choix que de se faire vacciner ou tester afin de disposer du pass sanitaire.
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Ce décret apporte aussi plusieurs précisions pratiques concernant l'application du pass sanitaire, à découvrir dans le fil ci-dessous et, en détails, dans cet article ⏩leparisien.fr/societe/pass-s…
Les chiffres, d'abord : un Français sur douze (soit 8,4 %) s’allume une cigarette électronique et un sur quinze (6,5 %) s’y adonne quotidiennement.
La moitié d’entre eux sont d’anciens fumeurs, quasiment tous les autres fument toujours aussi.
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De nombreux médecins et scientifiques y voient un moyen efficace d'arrêter de fumer.
Les membres de la Société française de tabacologie s’accordent à dire que "la cigarette électronique est efficace pour le sevrage tabagique", c’est-à-dire au moins six mois d’abstinence.
Outre les oiseaux, H5N1 infecte de plus en plus de mammifères. Aucun cas humain en France encore, mais cela semble inéluctable.
Il pourrait apparaître au Centre national de référence des infections respiratoires de l'Institut Pasteur, dirigé Marie-Anne Rameix-Welti.
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Dans ces congélateurs en plein Paris, on trouve du H5N1 humain importé d’Asie il y a plusieurs années. Si cas apparaît en France, "on se jettera dessus pour le séquencer !"
12 000 prélèvements y sont analysés chaque année, dont une cinquantaine de suspicions de H5N1.
Après les vaccins #Covid qui ont sauvé des millions de vies, des traitements arrivent contre les cancers, diverses maladies, etc : "On entendait, au départ, que cela ne marcherait pas." ⤵️ @le_Parisien
Le concept est simple : déclencher une réponse immunitaire spécifique et durable. Un ARNm est un mode d’emploi apporté aux cellules humaines pour qu’elles fabriquent des protéines spécifiques.
Contre le cancer, de l’ADN de la tumeur est prélevé puis transformé en ARNm...
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... administré au malade pour lui permettre de fabriquer une réponse immunitaire contre la tumeur qui l’assaille.
Les avantages d’un tel vaccin dit thérapeutique : un traitement personnalisé, très efficace, peu d’effets indésirables par rapport à la chimiothérapie, etc.
🏥 Les infections nosocomiales représentent un "problème majeur de santé publique" : 6 % des patients hospitalisés en France en attrapent une durant leur séjour et 4 000 malades en meurent chaque année.
Le patient peut attraper un virus ou une bactérie à cause d’un appareil mal nettoyé ou d’un soignant lui-même infecté, se faire contaminer par ses propres pathogènes (surtout si défenses immunitaires diminuées), etc.
🚬 Le gouvernement souhaite taxer les produits du vapotage...
... mais "attention au signal envoyé, car il ne faudrait pas décourager les gens qui prennent la cigarette électronique pour arrêter", préviennent des médecins.
Un flacon de 10 mL, vendu entre 5 et 7 euros, pourrait voir son prix grimper de 30 à 50 centimes d’euros selon la teneur en nicotine, si cette mesure était bel et bien votée par le Parlement à l’issue des débats à venir.
Cette piste avait déjà surgi l'année dernière.
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Alors oui, la cigarette électronique peut être efficace pour arrêter de fumer (les chiffres sont impressionnants).
Pour autant, la vape risque aussi d'être une porte d’entrée vers le tabac chez les jeunes, surtout avec des produits très attractifs.
Ce médicament est un antiviral, basé sur la molécule lenacapavir. Il agit sur la capside, la partie du virus qui entoure son génome. Pour schématiser, "il empêche le virus de créer des copies et de se multiplier en agissant sur ce bouclier", avec plusieurs modes d'action 👇
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Le lenacapavir est déjà utilisé pour traiter certains malades. Il arrive désormais en préventif (PrEP/prophylaxie pré-exposition) pour les personnes exposées au VIH mais qui ne l’ont pas attrapé.
Efficacité très élevée dans les essais cliniques, un possible "game changer".