D'après un rapport de Public Health England, au moins 9 402 cas positifs en Angleterre pourraient être associés aux matchs de foot de l'#Euro2021 à Wembley. Un tiers d'entre eux possiblement contagieux le jour du match, les autres contaminés à cette occasion. #Covid19
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Comme on le voit sur ce graphique (en haut à gauche), près de la moitié de ces cas positifs ont été en lien avec la finale de l'Euro, Angleterre-Italie, le 11 juillet. La jauge maximale était alors montée à 75% du stade (et l'excitation était évidemment maximale).
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"L'Euro et le parcours de l'Angleterre vers la finale ont généré un risque important pour la santé publique" et "ce risque ne provenait pas seulement de l'événement en lui-même, mais incluait les activités sociales associées [comme aller au pub peu avant]",note le rapport.
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Les chercheurs ont analysé d'autres événements sportifs et culturels, avec parfois autant de spectateurs. L'Euro ressort comme beaucoup + à risque, à un niveau de transmission "au-delà de celui qui serait + communément associé à de grandes foules assistant à un événement".
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Plusieurs raisons possibles sont avancées, notamment l'observation de "grandes différences dans le comportement des spectateurs", des foules chantant et criant, un port du masque de moins en moins respecté au fil des matchs, etc.
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Ces cas positifs sont principalement de jeunes hommes. Le public du foot est surtout masculin et cela "reflète également probablement l'impact de la vaccination (au 11 juillet, plus de 80 % des + de 50 ans et moins de 30 % des moins de 40 ans étaient complètement vaccinés)".
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Les chercheurs émettent plusieurs recommandations pour l'avenir, notamment de mieux informer sur le risque de transmission par aérosol, d'améliorer la ventilation dans les espaces fermés, voire de favoriser les vaccinés pour l'accès au stade (ce qui serait un pass vaccinal).
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Les spectateurs de foot pourraient aussi être autorisés (comme à Wimbledon) à boire de l'alcool à leur siège, ce qui éviterait qu'ils se retrouvent nombreux dans les entrailles du stade voire dans des pubs à l'extérieur.
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Au final, "l'Euro était unique et il est peu probable que nous voyions un impact similaire à partir d'événements futurs".
Ce médicament est un antiviral, basé sur la molécule lenacapavir. Il agit sur la capside, la partie du virus qui entoure son génome. Pour schématiser, "il empêche le virus de créer des copies et de se multiplier en agissant sur ce bouclier", avec plusieurs modes d'action 👇
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Le lenacapavir est déjà utilisé pour traiter certains malades. Il arrive désormais en préventif (PrEP/prophylaxie pré-exposition) pour les personnes exposées au VIH mais qui ne l’ont pas attrapé.
Efficacité très élevée dans les essais cliniques, un possible "game changer".
❗ C'est le chaos aux @CDCgov, la grande agence de santé publique américaine, déjà soumise ces derniers mois à de nombreux licenciements et la volonté du ministre Robert Kennedy Jr. d'imposer de nouvelles recommandations vaccinales.
On va rembobiner le fil, en cinq actes ⤵️
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Acte 1 : le Washington Post rapporte mercredi soir que la directrice, Susan Monarez, quitte son poste.
Elle serait en désaccord avec la politique de RFK Jr (licenciements, nominations d'experts, etc.). Le ministère de la Santé la "remercie pour son service dévoué".
Acte 2 : ses avocats assurent qu'elle "n'a ni démissionné ni reçu de notification de la Maison Blanche indiquant qu'elle ait été licenciée" et accusent publiquement RFK Jr "d'instrumentaliser la santé publique à des fins politiques".
🤒 Frissons, courbatures, fièvre... Un #SyndromeGrippal en plein été ?!
"C'est évidemment moins fréquent qu’en hiver, mais ça arrive. Et des gens s’en étonnent : je n’ai rien eu cet hiver mais là je suis malade, ce n’est pas normal." ⤵️ @le_Parisien
Il y a plusieurs coupables possibles, à commencer par les virus respiratoires.
Tous circulent surtout en hiver, quand nous sommes plus souvent dans des lieux clos propices à leur transmission, mais ils ne disparaissent pas totalement en été (en particulier le Covid).
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Les principaux coupables pendant la saison estivale sont donc le SARS-CoV-2 mais aussi les rhino/entérovirus.
Plus de 7% des tests à ces deux virus étaient positifs mi-août, en hausse pour le SARS-CoV-2 : "Même en été, il reste toujours un fond de pathologies infectieuses."
Rappel d'emblée : TOUTES les villes vont subir le réchauffement climatique.
Mais pour savoir dans quelle mesure, nous avons compilé les données de la TRACC — température moyenne à l'avenir, jours de forte chaleur, nuits tropicales, etc —, le risque de submersion marine, de feux de forêt, etc.
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Sans grande surprise, les villes qui tirent leur épingle du jeu sont situées dans un quart nord-ouest : en Bretagne, Normandie et Hauts-de-France. Elles bénéficient notamment d’avoir les températures les moins caniculaires.
À l’origine, un changement a cristallisé leur grogne : celui du taux de "remise" autorisé.
Les officines achètent leurs médicaments auprès des fournisseurs non pas au prix réglementé, mais moins cher grâce à des remises commerciales. Cet avantage est encadré par la loi.
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S’agissant des génériques, le taux maximum de remise autorisé est de 40 %. Autrement dit, pour un médicament à 10 euros, la pharmacie peut l’acheter 6 euros minimum.
Mais ce taux passera à 30 % à partir du 1er septembre puis 25 % en juillet 2026 et 20 % un an plus tard.
Après la sanction visant le Dr Damien Barraud, ciblé par un groupe antivax, l'Ordre des médecins veut désormais "agir systématiquement"...
... mais répond que "se faire justice soi-même, par des propos injurieux ou diffamatoires, expose à des conséquences disciplinaires".
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Rappel : le Dr Barraud a reçu 3 mois d'interdiction d'exercice de la médecine (dont un ferme) par une juridiction indépendante après des plaintes lui reprochant notamment des "injures publiques".
Le conseil départemental de Moselle de l'Ordre s'est associé à l'une d'elles !
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Ce qui n'a pas été du goût d'un collectif de médecins (dont Agnès Buzy) : "L'institution censée protéger la médecine, les patients comme les praticiens face aux abus de procédure a pris parti… pour leurs harceleurs, détracteurs et désinformateurs."