Charte des principes pour l'islam de France signée par la Grande Mosquée de Paris : "les dénonciations d’un prétendu racisme d’État, comme toutes les postures victimaires, relèvent de la diffamation. Elles exacerbent à la fois la haine antimusulmane et la haine de la France"
La charte des principes pour l'islam est le moule du contrat d'engagement republicain issu de la loi "confortant les principes républicains", autrement appelée loi "séparatisme". Ces déclarations, chartes, imposées aux associations cultuelles ou à toutes les associations,
ont pour seul fonction de les priver de leur rôle de corps intermédiaire ou de contre-pouvoir. L'état instaure ainsi un bouclier contre toute contestation de ses dérivés liberticides, xénophobes ou racistes.
Ne pas signer ou ne pas respecter ces engagements après les avoir signé, entraîne des sanctions qui vont de la suppression des subventions publiques, aux mesures de rétorsion administratives jusqu'aux dissolutions comme ce fut le cas pour le CCIF et le CRI.
Ces deux associations antiracistes ont été dissoutes principalement pour avoir combattu un racisme qui émanait de la puissance publique ainsi que cela ressort de leurs décrets de dissolution et de la décision du Conseil d'état.
Ces pactes faustiens inaugurent la fragilisation voire la disparition future de tous les contre-pouvoirs nécessaires à la sauvegarde de nos libertés et à la lutte contre le racisme y compris d'état.
La nécessaire lutte contre le terrorisme a ainsi été instrumentalisée tant par le gouvernement que par des organisations politiques prétendument laïques ou des figures mediatico-politiques qui au motif de la République ont préparé l'agonie de celle ci
En Hongrie, en Pologne ou en France, les mécaniques autoritaires préparent l'avènement de mécaniques dictatoriale ou totalitaires. Que sommes nous prêts à faire pour protéger nos libertés, la démocratie et nos principes fondamentaux ?
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Résultat des comparutions immédiates du jour. Deux dossiers. Le premier une joggueuse sans casier judiciaire interpellée pour défaut d'attestation, puis outrage, rebellion sur la commissaire du 18ème au motif qu'elle aurait toussé sur elle et refusé la verification d'identité
Elle indique à l'audience que la commissaire du 18eme était sans masque et qu'elle ne souhaitait pas prendre le risque d'être contaminée (confirmée par la vidéo)
A l'audience la commissaire sur une de mes questions indique qu'elle peut contrôler les attestations sur instructions de ses supérieurs quand bien même ni la loi ni le décret du 23 mars 2020 ne la prevoient
C'est encore pire que ce que nous pensions. Nous demandons la suppression immédiate des données personnelles des blessés pendant le manifestations gilets jaune. Le fichier si-vic a été utilise illégalement #sivic@MartinHirsch@CCastaner@agnesbuzyn
Première infraction pénale qui figure dans la plainte pénale déposée: l'utilisation du fichier #sivic pour ficher les manifestants bléssés alors que la délibération @CNIL numero 2016-208 du 7 juillet 2016 n'autorise l'utilisation de ce fichier que pour les victimes de terrorisme
En janvier deja @Mediapart@JeromeHourdeaux@edwyplenel revelaient l'utilisation du fichier #sivic pour les gilets jaunes. @MartinHirsch a menti le 14 avril en déclarant qu'aucune donnée nominative n'avait été indiquée ou n'était remontée