Les auteurs ont calculé, pour chaque pays, l’excès de mortalité. Il s’agit de la différence entre le nombre de décès (toutes causes confondues) pendant les deux ans de pandémie et celui attendu sur la base des tendances des années précédentes.
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L’écart entre le nombre de décès Covid recensés (6 millions) et le nombre de décès en excès (18 millions) peut s'expliquer par plusieurs raisons :
• décès Covid passés sous les radars
• décès pas directement imputables au Covid (opérations retardées par exemple)
etc.
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L'Europe de l'est, la Russie, le sud de l'Afrique et l'Amérique latine font partie des pays les plus touchés.
En France, 122 000 décès Covid avaient été recensés au 31 décembre dernier, mais l’excès de mortalité sur les deux années est plutôt de 155 000.
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Mais attention, "il est difficile de différencier l’ampleur de la surmortalité due à l’infection par le SRAS-CoV-2 de celle due à d’autres changements sociétaux, économiques ou comportementaux associés à la pandémie", écrivent les auteurs.
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Par ailleurs, le ratio excès de mortalité/décès #Covid est particulièrement élevé en Afrique. Le nombre de décès Covid était donc très sous-estimé.
"Ce n’est pas surprenant, même si beaucoup de personnes avaient glosé sur le fait que l’Afrique n’avait pas subi la pandémie".
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Une poignée de pays longtemps adeptes de la stratégie "Zéro Covid" (Australie, Taïwan, etc), affichent un excès de mortalité... négatif.
Sans doute "un effet des mesures liées au confinement, qui ont fortement réduit le nombre de décès suite à des accidents, par exemple".
On enchaîne avec le Parti socialiste, qui a fait ses meilleurs scores dans ses "bastions" traditionnels de l'ouest et du sud-ouest et qui progresse quasiment partout en France par rapport à 2019.
🦠 Épidémie de grippe saisonnière avec les virus A(H1N1), A(H3N2) et B en France, élevages de vaches contaminées par A(H5N1) aux États-Unis, 1er cas humain de A(H5N2) dans le monde...
Plongée dans la "galaxie" des virus grippaux. ⤵️ @le_Parisien
Il existe quatre types de virus de grippe : A, B, C et D. Chacun regroupe plusieurs sous-types. Pour A, ce sont tous les H1N1, H3N2, H5N1, H10N7, etc.
Ces noms de code correspondent aux types de protéines hémagglutinine (H) et neuraminidase (N) à la surface du virus.
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"Ces deux protéines sont très importantes car elles ont une influence majeure sur les hôtes que le virus peut infecter, sur la manière dont il se transmet entre eux et sur les vaccins à utiliser pour se protéger contre l’infection", explique @PeacockFlu.
Info @Le_Parisien : un rapport parlementaire émet plusieurs propositions pour lutter contre la désinformation médicale, qui "a pris une importance nouvelle au cours de la pandémie de #Covid19".
Ce rapport de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques est bâti en quatre parties : les effets indésirables des vaccins, la prise en charge du Covid Long, la surveillance des épidémies et la lutte contre la désinformation en santé.
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Dans cette dernière catégorie, les élus font le constat que "les crises sanitaires conduisent à une politisation de la science, une instrumentalisation de ses résultats et alimentent la circulation de fausses informations".
A l'Institut Pasteur, les chercheurs élèvent plusieurs espèces de moustiques. Le but : les faire grandir, puis les contaminer par des virus dans un laboratoire P3 pour voir comment ils se comportent.
"On est forcément tous un peu paniqués, avec les JO qui arrivent."
"Le SARS-CoV-2 provoque chaque année plusieurs pics et plusieurs vagues épidémiques. Pour la grippe, on a parfois deux pics, avec les souches A puis B, mais sans retomber entre-temps à de bas niveaux et toujours entre fin décembre et le mois d’avril", décrit @MT_Sofonea.
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Première explication : le SARS-CoV-2 est plus contagieux, à la base, que les virus grippaux. Du coup le "frein estival" à lui seul (on est moins souvent en lieu clos, propice à la transmission) ne suffit pas à empêcher une reprise épidémique en été.
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Après les quatre concerts de Taylor Swift à Paris, de nombreux fans ont eu un syndrome grippal... avec parfois un test #Covid positif : "Tous les gens que je connais sont tombés malades", mais "ça valait bien cinq Covid d’affilée !". ⤵️ @le_Parisien
Alex, 29 ans, est venue de Lille pour le 3e show. "Le lundi d’après, j’ai commencé à tousser. Mercredi, ça n’allait pas du tout, je ne pouvais rester debout plus de 5 minutes".
Elle voit sur Insta des gens parler de test Covid positif et va au labo. Verdict : Covidée.
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"On n’entendait plus trop parler du Covid mais, avec le recul, on se dit que c’est logique vu qu’on était en lieu fermé, avec 45 000 personnes par soir… Si un virus circule, ça va très vite", témoigne une autre de ces "swifties".