Au fait, qu'appelle-t-on l'#atténuation du changement climatique? Il s'agit d'interventions humaines visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre ou à en renforcer les puits.
Nouveau terme, "avoid, shift, improve" : éviter, transférer, améliorer
➡️
Empreinte carbone des ménages :
➡️émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre associées à la consommation d'énergie résidentielle, aux transports, à l'approvisionnement en nourriture et la consommation d'autres biens et services liés aux dépenses des ménages.
Economie circulaire :
➡️ Économie circulaire
Système caractérisé par un minimum d’intrants et de pertes opérationnelles de matériaux et d’énergie grâce à d’intenses activités de réduction, réutilisation, recyclage et récupération.
Dix stratégies pour la circularité : refuser, repenser, réduire, réutiliser, réparer, reconditionner, refabriquer, réemployer, recycler, récupérer.
Finance climat :
➡️
Analyse coût - efficacité :
➡️ Forme d’évaluation économique qui compare le coût de différentes stratégies d’atténuation élaborées pour atteindre un objectif spécifique, par ex. objectif de réduction d’émissions, objectif de stabilisation de la température planétaire.
Niveau de vie décent :
➡️ Ensemble de conditions matérielles essentielles au bien-être humain, notamment la nutrition, le logement, les services de première nécessité, les soins médicaux, les transports, l’information, l’éducation et l’espace public.
Découplage :
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Demande :
➡️
Mesures axées sur l'offre et la demande :
➡️
Accès à l'énergie :
➡️ Accès à des services énergétiques propres, fiables et économiques pour la cuisson des aliments, le chauffage, l’éclairage ou les communications, et à des fins de production
Pauvreté énergétique :
➡️ Absence de choix suffisant pour l’accès à des services énergétiques adéquats, abordables, fiables, de haute qualité, sûrs et respectueux de l’environnement pour soutenir le développement économique et humain.
Précarité énergétique :
➡️ Situation dans laquelle un ménage n’est pas en mesure d’assurer un certain niveau de consommation de services énergétiques domestiques (en particulier pour se chauffer) ou subit des charges disproportionnées pour répondre à ces besoins.
Emissions fugitives des systèmes pétroliers et gaziers :
➡️
Transitions justes :
➡️
Leapfrogging, "bond en avant technologique" :
➡️ Aptitude des pays en développement à sauter plusieurs étapes du développement technologique et de passer directement à des technologies propres de pointe.
Substitution de matières premières :
➡️
Offset : compensation en matière de politique climatique
➡️
Consommateur-producteur (prosommateur) :
➡️ Consommateur qui produit également de l'énergie et en injecte dans le système, ce qui en fait un agent actif du système et du marché de l'énergie.
Effet rebond :
➡️
Agriculture biologique :
➡️
Agriculture régénératrice :
➡️
Energie renouvelable :
➡️ Toute forme d’énergie qui se reconstitue par des processus naturels à un rythme égal ou supérieur à son taux d’utilisation.
Les glossaires des rapports du #GIEC@IPCC_CH sont des ressources précieuses, qui donnent des définitions précises aux termes utilisés.
Au fait, qu'appelle-t-on l'#atténuation du changement climatique? Il s'agit d'interventions humaines visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre ou à en renforcer les puits.
Nouveau terme, "avoid, shift, improve" : éviter, transférer, améliorer
➡️
Empreinte carbone des ménages :
➡️émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre associées à la consommation d'énergie résidentielle, aux transports, à l'approvisionnement en nourriture et la consommation d'autres biens et services liés aux dépenses des ménages.
Economie circulaire :
➡️ Économie circulaire
Système caractérisé par un minimum d’intrants et de pertes opérationnelles de matériaux et d’énergie grâce à d’intenses activités de réduction, réutilisation, recyclage et récupération.
Dix stratégies pour la circularité : refuser, repenser, réduire, réutiliser, réparer, reconditionner, refabriquer, réemployer, recycler, récupérer.
Finance climat :
➡️
Analyse coût - efficacité :
➡️ Forme d’évaluation économique qui compare le coût de différentes stratégies d’atténuation élaborées pour atteindre un objectif spécifique, par ex. objectif de réduction d’émissions, objectif de stabilisation de la température planétaire.
Niveau de vie décent :
➡️ Ensemble de conditions matérielles essentielles au bien-être humain, notamment la nutrition, le logement, les services de première nécessité, les soins médicaux, les transports, l’information, l’éducation et l’espace public.
Découplage :
➡️
Demande :
➡️
Mesures axées sur l'offre et la demande :
➡️
Accès à l'énergie :
➡️ Accès à des services énergétiques propres, fiables et économiques pour la cuisson des aliments, le chauffage, l’éclairage ou les communications, et à des fins de production
Pauvreté énergétique :
➡️ Absence de choix suffisant pour l’accès à des services énergétiques adéquats, abordables, fiables, de haute qualité, sûrs et respectueux de l’environnement pour soutenir le développement économique et humain.
Précarité énergétique :
➡️ Situation dans laquelle un ménage n’est pas en mesure d’assurer un certain niveau de consommation de services énergétiques domestiques (en particulier pour se chauffer) ou subit des charges disproportionnées pour répondre à ces besoins.
Emissions fugitives des systèmes pétroliers et gaziers :
➡️
Transitions justes :
➡️
Leapfrogging, "bond en avant technologique" :
➡️ Aptitude des pays en développement à sauter plusieurs étapes du développement technologique et de passer directement à des technologies propres de pointe.
Substitution de matières premières :
➡️
Offset : compensation en matière de politique climatique
➡️
Consommateur-producteur (prosommateur) :
➡️ Consommateur qui produit également de l'énergie et en injecte dans le système, ce qui en fait un agent actif du système et du marché de l'énergie.
Effet rebond :
➡️
Agriculture biologique :
➡️
Agriculture régénératrice :
➡️
Energie renouvelable :
➡️ Toute forme d’énergie qui se reconstitue par des processus naturels à un rythme égal ou supérieur à son taux d’utilisation.
Energie renouvelable intermittente :
➡️
Economie du partage :
➡️ Système qui permet aux personnes de partager des biens et des services en facilitant l’utilisation, l’accès ou la propriété collaboratifs.
Inflexion des trajectoires de développement vers la soutenabilité :
➡️
Effet d'entraînement (spill-over effect) :
➡️
Sobriété ("sufficiency") :
➡️ la sobriété renvoie à la réduction de la demande de matériaux et d’énergie tout en assurant un niveau de vie décent à tous au sein des limites planétaires.
Et enfin systèmes d'innovation :
➡️
J'espère vous avoir donné envie de lire les glossaires de chaque rapport du GIEC (glossaire commun du 6ème cycle d'évaluation) qui intègrent à chaque fois de nouveaux termes tels qu'utilisés dans les publications scientifiques, techniques, socio-économiques.
- FIN
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Après avoir un peu récupéré de l'intense session d'approbation du résumé pour décideurs du rapport du groupe III du #GIEC, je voudrais partager quelques réflexions.
D'abord, sur le contexte de ce rapport.
🧵⬇️
C'est un rapport préparé depuis 3 ans par 278 scientifiques de 65 pays différents.
Voici la liste des auteurs du rapport, avec une diversité d'affiliations (la plupart du secteur académique, quelques uns d'entreprises privées et d'ONG) : archive.ipcc.ch/report/authors…
Pour chaque scientifique, vous pouvez d'ailleurs accéder facilement à leur liste de publications dans les journaux scientifiques, par exemple via scholar.google.fr
Cela permet de différencier une personnalité qui exprime une opinion d'un travail scientifique (peer-review)
Un épisode de #gel tardif particulièrement intense, avec des impacts qui peuvent être très sévères pour les agriculteurs et viticulteurs auxquels je pense ce soir.
Quelques éléments du contexte lié au changement climatique ci-dessous...
Le réchauffement dû à l'influence humaine sur le climat est sans équivoque, à l'échelle planétaire comme en Europe. Les hivers et printemps sont plus doux (ici évolution de la température moyenne de décembre à février et de mars à mai de 1960 à 2015) : +0,4°C / 10 ans.
Ce rythme de réchauffement est amplifié par rapport à la moyenne planétaire (autour de 0,2°C par 10 ans en moyenne sur les dernières décennies)
The @IPCC_CH report on mitigation (Working Group III) is the last of 3 main reports and 3 special reports of the 6th assessment cycle (2015-2023). All these reports will be integrated in the Synthesis Report, scheduled for October 2022.
In this cycle, a strong emphasis has been placed on "solutions" :
🔹climate information at the global and regional scale, including climate-impact drivers and geophysical conditions to limit global warming (Working Group 1)
🔹limiting the consequences of a changing climate : adaptation and risk management to enhance resilience and well-being, informed by improved understanding of vulnerabilities, impacts and risks, including interdependencies with ecosystems (Working Group 2)
⏱️12ème jour de la session d'approbation du rapport du groupe 3 du #GIEC@IPCC_CH, jusqu'à 4 sessions de 3h 🖥️ par jour, et en parallèle des sessions ciblées de discussion 🦉
🚨"peu de temps pour les délibérations et le travail important qui reste"
🔎 Chaque phrase, nombre, table, figure, note de bas de page, légende du résumé pour décideurs est examiné méticuleusement pour s'assurer que cela reflète clairement et de manière équilibrée les conclusions du rapport complet.
💬 Les représentants des gouvernements ont de multiples questions, écoutent attentivement les explications des scientifiques qui ont examiné les éléments factuels des publications scientifiques, techniques, socio-économiques (les auteurs)
🔎 Each sentence, each number, table, figure, footnote, caption of the draft Summary for Policy Makers is scrutinized, to ensure that it reflects in a clear and balanced way the main findings from the full report.
💬 Government delegates have multiple questions, listen carefully to the explanations provided by the scientists who have assessed the evidence from the scientific, technical and socio-economic literature (the report authors).
Voici le réchauffement observé à la surface de la Terre (à partir de 4 jeux données) qui atteint 1,1°C en 2011-2020 par rapport à 1850-1900.
Quel est le pourcentage de ce réchauffement observé (1,1°C) qui est dû à l'effet de l'ensemble des activités humaines sur le climat?
La meilleure estimation est que le réchauffement dû à l'influence humaine sur le climat est de 1,1°C (égal à celui observé), le réchauffement dû à nos rejets de gaz à effet de serre étant partiellement masqué par l'effet refroidissant ("parasol") des particules de pollution.