Jeunes de banlieue.. Apaches, Blousons noirs, Rockers, Bikers, Hell’s de Repu, Rebelles de Tolbiac, Skinheads, Redskins, Black Dragons..l’histoire des gangs, clans & bandes ds la France des années 70 à 90 les rebels c'est pas nouveau , ça a toujours existé ..
chaques décénies avaient ses loubards.. voyoux ..caids...
a l'époque ont disaient d eux qu ils faisaient la grue au pied des immeubles genre ils ne fichait rien de la journée , une expression jadis pr les feneants ^^
57 MOSELLE Metz 1963 des champs est sorti le quartier la zup de Borny.. Comme ailleurs dans une France en reconstruction,le temps des cités modernes, des H.L.M. , des grands ensembles.. republicain-lorrain.fr/edition-de-met… Metz a besoin d’espace pour se développer,
mais n’a plus assez de foncier sur son ban pour construire des milliers de logements. Tout le contraire de Borny, son petit voisin de 500 habitants, où le gouvernement souhaite dès 1960 construire une ZUP.
Les deux communes fusionnent l’année suivante pour semer du béton au milieu des champs. Dès 1963, commencent à « pousser » trois ensembles (avec les 800 premiers appartements) d’un nouveau quartier sur le Haut de Blémont.
91 ESSONNE DU VILLAGE ISOLÉ À LA VILLE DE DEMAIN Alors que Grigny était un village isolé de 3000 habitants, l’expansion de la capitale repoussa les limites de la zone urbaine 2 grands ensembles naîtront en quelques années, Grigny 2 et la Grande Borne. grigny91.fr/wp-content/upl…
Ils forment, avec le village, la ville d’aujourd’hui. Le village de Grigny a été construit à l’écart des routes, loin de la Seine, de la RN7 et de la voie ferrée qui bordent le territoire communal. C’est cette situation particulière qui a conditionné, en grande partie,
les mutations de Grigny au cours du XXème siècle. Longtemps isolé, le village consacre ses principales activités économiques, cultures céréalières et extraction de matériaux de construction, au marché parisien.
HABITER LES GRANDS ENSEMBLES eup.fr/fileadmin/reda… « Les habitants de ces cités, de ces quartiers sensibles, de ces banlieues (on ne sait plus quel terme utiliser) ne sont pas des pestiférés mais, soumis à l’avalanche des « lois de la ville » sous des dénominations diverses,
exposés sans arrêt aux journaux télévisés, aux faits divers tragiques, ils sont les témoins d’un mal de vivre révélateur des problèmes qui prennent en écharpe la ville devenue de plus en plus inégalitaire et où
la spacialisation de la question sociale se pose avec acuité » Régine Robin, Le Mal de Paris, 2014, Stock eds.
75 Les archives de PARIS MENIL MONTANT Le chemin de fer de petite ceinture fait partie des premiers aménagements urbains de la capitale entrepris par le baron Haussmann.
Cette ligne circulaire intramuros est composée de quatre tronçons, parcourant une distance totale de 31,5km. Inaugurée en 1852, elle est destinée, dans un premier temps, au transport des marchandises entre les principales gares parisiennes, ainsi qu’à celui des troupes
à l’intérieur des fortifications. Organisée en société anonyme, la Compagnie du chemin de fer de ceinture est administrée par les représentants des cinq compagnies ferroviaires privées dont les voies relient alors Paris au reste de la France.
75 Paris aux couleurs des années 50 @ 100 photos de légende Les années 1950 marquent le mitan du siècle sans vraiment signer l'entrée dans la " modernité ". Pour l'heure, Paris ne change pas du tout au tout @ Le Paris des années 1950 n'a pas encore revêtu les habits
de la modernité. On y croise au fil des rues les marchandes de quatre-saisons, les bonnes soeurs en cornette, les agents de police en pèlerine et les écoliers en blouses. Dans les cafés de Saint-Germain-des-Prés ou du Marais, employés, ouvriers, retraités modestes
et intellectuels sans le sou s'accoudent aux mêmes zincs. On ne parle guère de chômage mais plutôt des difficultés de logement. Et sans chez-soi confortable, on est souvent à l'extérieur. Ce sont donc des rues animées et vivantes qu'il est donné aux photographes, français