Le compte @npilayan me rappelle qu’à 18 ans j’avais vaguement et brièvement envisagé d’être architecte et que j’aurais peut-être dû y aller… #passionnant
Ça se serait peut-être fait si, lors de la journée des métiers à la fin du lycée, l’archi n’avait pas été présentée par deux étudiants venus de Nancy avec une tension au ras des pâquerettes, pas fichus d’aligner trois mots de plus de deux décibels, visiblement défoncés au hachis.
Ils m’ont tellement ennuyé – moi dont la nonchalance est pourtant aussi profonde que le lac Baïkal – que quand je suis tombé sur M. Pister présentant les lettres supérieures, je m’y suis inscrit, nonobstant la rudesse de pampa du bonhomme.
Dans « L’Est républicain » de ce matin, deux pages de l’excellent Guillaume Decourt, de la rédaction de Nancy, sur les tarifs (divulgâchis : d’élevés à stratosphériques) et les baisses de service (fermetures de lignes non rentables) de la SNCF.
Avant, pour aller dans le Sud, on passait par Dijon, c’était simple et direct. Maintenant, même pour aller à Lyon, il faut passer par Paris ou Strasbourg, c’est moins simple et moins direct et le prix est en conséquence 👍🏻
Le nouveau député de la 1re circonscription de Meurthe-et-Moselle, Philippe Guillemard, LREM, avance sans ambages que « les voyages en train sont trop chers », que les aménagements promis par le PDG (cartes d’abonnement) nécessitent de « faire un bilan » (traduction : 😶🌫️)…
Ce Noël est un peu particulier pour moi et j’ai envie de le partager avec vous. Je me lance dans un fil sans trop savoir comment je vais l’articuler ni quelle en sera la destination précise. Qui lira verra, comme on dit (presque).
Feu mon père, qui est parti « jouer de la harpe avec saint Pierre » – c’était son expression favorite pour parler de l’au-delà – il y a deux ans et demi déjà, aimait ce qui était simple et essentiel.
En totale contradiction avec ce goût pour la sobriété, il travaillait dans un des mondes les plus frivoles qui soient : la confiserie-chocolaterie.