On parle bien de nuages de points (X, Y, Z) et non d'altimétrie haute résolution. Il peut donc y avoir plusieurs points aux mêmes coordonnées X, Y. Ce qui permet de distinguer un auvent d'un toit de bâtiment muré, ou une forme de feuillage, ou celle d'un pylône ou d'un pont.
L'#IGN diffuse en open source sur Github le logiciel de classification (fondé sur de l'apprentissage profond) en cours de développement qui lui permet de classifier automatiquement les points bruts relevés. github.com/IGNF/myria3d
Suggestion de projet : extraire un nuage de points localisé de ville ou bâtiment, par exemple la gare de Marseille-Saint-Charles puisque la ville a été scannée, et en faire automatiquement un modèle 3D lisible sous Blender :p
La superficie scannée est déjà plus que conséquente (zones en noir), il y en a pour tous les goûts pour s'amuser.
La dalle brute contenant Marseille-Saint-Charles ne pèse que 74 Mo compressés, rien du tout en somme. Lien ici du Zip. wxs.ign.fr/c90xknypoz1flv…
Pardon, c'était 741 Mo comme me le fait remarquer @dwarf_power. Ça m'étonnait, aussi. Allez on ne va pas chipoter sur un x10...
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Vous prendrez bien quelques extraits Lidar de Marseille-Saint-Charles, grâce à displaz ? Merci <3 @_arnaudr pour le tuyau, et à @IGNFrance pour les données. C'est fantastique. Displaz reste ultra fluide bien qu'il affiche là plusieurs dizaines de millions de points.
On peut voir en partie les points sous la grande verrière, aux endroits où la lumière du laser a pu passer. Le reste est littéralement à l'ombre : ainsi, les abris de quai sont quasiment opaques, même si on peut voir qu'ils n'ont pas de murs.
Normalement l'IGN distribue ces nuages de points avec une classification (sol, bâti, végétation, etc) mais je n'ai pas encore compris si displaz était capable d'afficher cette information.
Ça part d'un bon sentiment, @radiofrance veut protéger l'environnement, mais comme à peu près 100 % des actions actuelles de com de sobriété en matière de numérique, ça tourne directement au greenwashing sur ce volet et c'est facile à démontrer.
1. Que fait le point 7 "sobriété numérique" dans la section "média" puisque selon le texte il s'agit d'une question opérationnelle et non de la ligne éditoriale/publicitaire ? On ne sait pas.
2. Peut-on craindre une surexposition éditoriale du numérique non proportionnée à son impact ? Oui. C'est d'ailleurs déjà le cas.
J'admire la constance d'interface avec laquelle SNCF Connect a déployé absolument *tous* les moyens pour te décourager de te connecter sur leur site et rendre ça aussi monstrueusement lourdingue que possible. (je me suis connecté il y a + d'une semaine).
Derrière ça, certainement x réunions du marketing et enquêtes de satisfaction pour te coller du tracking partout afin d'essayer de piger pourquoi le taux d'attrition est si élevé. (ou pas... avantage d'être un acteur en position dominante, les gens ne connaissent que toi)
Point positif quand même, mon nom et prénom ont enfin été inversés depuis que j'ai réalisé la demande à cet effet (on ne peut pas le faire soi-même).
Je crois qu'il n'y a pas grand chose qui met plus en exergue le manque de vision à long terme, et à plusieurs niveaux, voire la démagogie de nos dirigeants, depuis ~30 ans, que le mur face auquel nous nous trouvons dès maintenant en matière d'énergie.
En France on a vécu depuis 40 ans environ sur les acquis du nucléaire. Électricité abondante et peu chère décidée suite aux chocs pétroliers, solde exportateur largement excédentaire, pas trop de questions à se poser.
Là-dessus, 40 ans de savonnage de planche par les anti nucléaire souhaitant avoir la peau de cette énergie et faisant feu de tout bois pour y arriver, et écouté par les politiques, ont érodé peu à peu l'avantage.
Le barrage de Génissiat. L'effet de relief est saisissant.
Un cours d'eau à Comps. On note la différence entre la zone traitée Lidar et la zone en altimétrie basse résolution classique, qui semble bien plate à côté.
On va parler un peu de Prim, la plateforme d'Île de France Mobilités pour diffuser en #opendata les données des transports de la région, tous modes confondus (fer, tram, métro, bus). prim.iledefrance-mobilites.fr/fr
Cet été, la plateforme a subi une migration d'hébergement (le bandeau orange dans la page précédente) de la section "données temps réel", j'y reviens plus loin (c'est pour ça que je fais ce fil, en fait).
La plateforme contient toute une palanquée de jeux de données sur les horaires, arrêts, gares, zones d'arrêts/correspondance etc. C'est très compliqué car une zone d'arrêt inclure plein de modes de transport, correspondances, des quais de différentes lignes/directions, etc.