Le nombre de cas autochtones de #dengue en France métropolitaine, c'est-à-dire qui n'ont pas voyagé récemment dans une zone de circulation du virus, continue d'augmenter et s'établit désormais à 47 répartis sur 5 foyers.
C'est plus du triple du précédent record, 14 en 2020.
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Comme expliqué vendredi dernier 👇, cette forte augmentation peut s'expliquer par plusieurs raisons, dont une plus grande présence du moustique-tigre (vecteur de la maladie), la reprise du trafic aérien et le climat (notamment sécheresse et pluies).
Pour limiter les risques de transmission de la #dengue, généralement bénigne mais avec des symptômes souvent marqués et qui peut entraîner des complications dans certains cas, pas de solution miracle : gestes de prévention, démoustication, etc.
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"Il va falloir apprendre à vivre avec le moustique-tigre et avec les virus qu’il peut potentiellement transmettre" (il peut aussi donner le zika ou le chikungunya), concluait vendredi @YannickSimonin. 👇 @le_Parisien
Info @Le_Parisien : un rapport parlementaire émet plusieurs propositions pour lutter contre la désinformation médicale, qui "a pris une importance nouvelle au cours de la pandémie de #Covid19".
Ce rapport de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques est bâti en quatre parties : les effets indésirables des vaccins, la prise en charge du Covid Long, la surveillance des épidémies et la lutte contre la désinformation en santé.
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Dans cette dernière catégorie, les élus font le constat que "les crises sanitaires conduisent à une politisation de la science, une instrumentalisation de ses résultats et alimentent la circulation de fausses informations".
A l'Institut Pasteur, les chercheurs élèvent plusieurs espèces de moustiques. Le but : les faire grandir, puis les contaminer par des virus dans un laboratoire P3 pour voir comment ils se comportent.
"On est forcément tous un peu paniqués, avec les JO qui arrivent."
"Le SARS-CoV-2 provoque chaque année plusieurs pics et plusieurs vagues épidémiques. Pour la grippe, on a parfois deux pics, avec les souches A puis B, mais sans retomber entre-temps à de bas niveaux et toujours entre fin décembre et le mois d’avril", décrit @MT_Sofonea.
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Première explication : le SARS-CoV-2 est plus contagieux, à la base, que les virus grippaux. Du coup le "frein estival" à lui seul (on est moins souvent en lieu clos, propice à la transmission) ne suffit pas à empêcher une reprise épidémique en été.
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Après les quatre concerts de Taylor Swift à Paris, de nombreux fans ont eu un syndrome grippal... avec parfois un test #Covid positif : "Tous les gens que je connais sont tombés malades", mais "ça valait bien cinq Covid d’affilée !". ⤵️ @le_Parisien
Alex, 29 ans, est venue de Lille pour le 3e show. "Le lundi d’après, j’ai commencé à tousser. Mercredi, ça n’allait pas du tout, je ne pouvais rester debout plus de 5 minutes".
Elle voit sur Insta des gens parler de test Covid positif et va au labo. Verdict : Covidée.
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"On n’entendait plus trop parler du Covid mais, avec le recul, on se dit que c’est logique vu qu’on était en lieu fermé, avec 45 000 personnes par soir… Si un virus circule, ça va très vite", témoigne une autre de ces "swifties".
🔴 Le Conseil constitutionnel juge conformes à la Constitution l'article de loi sanctionnant toute incitation à abandonner ou ne pas suivre un traitement et celui sanctionnant le fait de placer ou maintenir une personne dans un état de sujétion psychologique ou physique. ⤵️
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S'agissant de l'incitation à abandonner ou ne pas suivre un traitement, qui avait fait tant parlé lors des débats parlementaires (👇), les élus requérants y voient notamment "une atteinte (excessive) à la liberté d’expression et de communication".
Mais le Conseil constitutionnel estime qu'il y a assez de garde-fous dans la loi. Par exemple, cet abandon/abstention "doit être présenté comme bénéfique pour la santé de la personne concernée" et la personne victime doit être "atteinte d'une pathologie".
👶 Le #Beyfortus aurait permis d'éviter 5 800 hospitalisations de bébés après passage aux urgences pour #bronchiolite à VRS cette saison, soit près d'un quart du nombre total d'hospitalisations attendu sans ce traitement.
On disposait des données des essais cliniques, mais il restait à établir l'efficacité en vie réelle de ce traitement préventif. C'était d'autant plus attendu qu'il y avait des questionnements légitimes. 👇