Tandis que la gauche s’enfonce dans un sinistre aveuglement face aux conséquences humaines et sociales du #COVID19, la presse financière continue quant à elle de s’alarmer du nombre de personnes rendues incapables de travailler à cause du #covidlong ⬇️
C’est désormais tous les jours que le magazine Forbes publie le témoignage de personnes souffrant de problèmes de mémoire et de concentration, (brain fog) particulièrement invalidants.
C’est Forbes qui explique particulièrement bien qui si ces personnes ont pu jusque-là se reposer pour «gérer» leurs problèmes cognitifs, les entreprises souhaitent désormais les voir de retour.
C’est Forbes qui mentionne la nécessité absolue pour les malades covid long de se reposer (pacing), y compris sur le plan intellectuel.
Et qui souligne donc leur inquiétude grandissante à l’idée de devoir reprendre un travail à temps complet.
C’est Forbes qui évoque les inégalités entre travailleurs ayant la chance de pouvoir travailler de chez eux et les autres qui n’ont malheureusement pas ce choix.
C’est Forbes qui parle de la possible catastrophe pour certains secteurs économiques et rappelle le nombre astronautique de 14 millions de travailleurs souffrant de #covidlong aux Etats-Unis.
C’est Forbes qui s’inquiète du manque de normes et de protocoles pour les employeurs.
C’est Forbes qui s’inquiète du manque de programme de management national.
C’est Forbes enfin qui souligne les très nombreuses études actuelles faisant état d’un lien possible entre les infections #COVID19 et les risques futurs de maladies neuro-dégénératives.
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La campagne de désinformation actuelle sur le #CovidLong est mondiale.
Tous les pays attaquent les études récentes trop inquiétantes sur les séquelles immunitaires, cardiaques, neurologiques.
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Tout ce qui devrait alarmer nos dirigeants et les populations doit être passé sous silence.
Ou minimiser jusqu’à disparition.
Ça a commencé le 14 mars en Australie la veille de la journée de reconnaissance du #CovidLong #LongCovidAwarenessDay avec un papier qui était une attaque brutale contre l’utilisation du terme #CovidLong créé, je le rappelle, par les premiers malades @elisaperego78 en 2020.
« Il existe un aspect critique de l’infection par le SRAS-CoV-2 que beaucoup ne comprennent toujours pas. »
« Ce virus a tendance à nous affecter tous différemment, mais une chose est de plus en plus claire : les enfants sont de manière alarmante PLUS sensibles aux agents pathogènes aéroportés comme la tuberculose, le VRS et la pneumonie. »
Cela fait plus de deux ans que la presse financière sort papier sur papier sur la catastrophe économique du covid long, mais @RTLFrance comme toute la presse française continue de se taire là-dessus.
«Les risques que l'air présente pour notre santé ne sont pas nouveaux. Nous n'y pensons tout simplement pas. Il y a peut-être 300 millions d'infections aiguës des voies respiratoires inférieures dans le monde chaque année et 2,7 millions de décès — sans compter le #COVID19»
🦠+🫀 «Les chercheurs ont découvert que les lésions de l'ADN dans le cœur des patients décédés du #COVID19 ne ressemblent pas du tout au mode de fonctionnement de la grippe.»
«These data demonstrate the emergence of distinct transcriptomic profiles in cardiac tissues of SARS-CoV-2 and pH1N1 influenza infection supporting the need for a greater understanding of the effects on extra-pulmonary organs.»
«One potential mechanistic disparity between influenza virus and SARS-CoV-2 induction of cardiac complications is the induction of an interferon (IFN) response in the heart.»