En cette semaine d'hommage à #SamuelPaty, la France commémore la mémoire du professeur d’histoire-géographie, lâchement assassiné par un terroriste islamiste, le 16 octobre 2020, à proximité du collège dans lequel il enseignait.
Samuel Paty a été tué parce qu’il transmettait à ses élèves, citoyens de demain, les valeurs qui fondent notre République, dont la liberté de conscience, la liberté d’expression et le droit à la caricature. C'est notre modèle de société que les islamistes haïssent tant.
Accusé d’être « islamophobe » par des tenants de l’islam radical, le professeur, sur la base d’un mensonge, est jeté en pâture sur les réseaux sociaux. S'en suit une vague de harcèlement incitant à la haine et à la violence contre lui, conduisant au drame que nous connaissons.
Ces accusations en « islamophobie », terme imposé par les islamistes pour, délibérément, faire l’amalgame entre racisme contre des croyants et critique de la religion, visent à mettre une cible sur toutes les personnes qui exercent un esprit critique sur l’idéologie islamiste.
Ces procès en «islamophobie» servent de prétextes aux islamistes qui, sous couvert de défendre la religion musulmane, cherchent, en réalité, à imposer leur projet politico-religieux mortifère. Le séparatisme islamiste entretient, à dessein, la confusion entre islam et islamisme.
Samuel Paty a été la victime de cette cabale funeste, celle de la haine de l'autre, de la République française, de ses valeurs et de ce que nous sommes. En ligne comme ailleurs, les incitations à la haine n’ont jamais leur place : ce sont des délits, punis par la loi.
S’attaquer à un enseignant, c’est viser l’école, creuset de la République où se transmettent les valeurs universalistes qui constituent un rempart contre l’obscurantisme. Cibler un professeur, c’est vouloir détruire la laïcité, garante de nos libertés fondamentales.
Partout en France, en métropole et en Outre-mer, la mémoire du professeur est honorée. Son engagement et ses actions se poursuivent, notamment avec l’organisation du Prix Samuel Paty, par l’Association des professeurs d’histoire-géographie (@APHG_National).
➡️ Jamais, la République ne renoncera à ses valeurs et ses principes. La France continuera, avec la plus grande détermination, à combattre, où qu’elle se trouve, quels que soient ses relais, la menace islamiste avec les armes du droit et de la démocratie.
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For several months, CAGE, an organisation that promotes an Islamist agenda and sympathises with jihadi views, has been part of a process that aims to demonise France, its values, French institutions and civil servants.
As a reminder, this network of Islamist militants is led by a former
jihadist and gave its support to an Islamic State executioner.
The leader of CAGE broadcasted a defamatory video in front of an @Interieur_Gouv building. Let us remind the nature of this group.
🔴Un dirigeant de l’organisation islamiste CAGE, fondée par un ancien jihadiste et ayant apporté son soutien à un bourreau de l’État islamique, diffuse une vidéo diffamatoire devant un bâtiment du @Interieur_Gouv. Rappelons la nature de cette structure.⤵️
L’organisation CAGE est une structure dangereuse, qui cible la France et ses citoyens, et qui opère, à dessein, un amalgame entre islamistes et musulmans. ⤵️
L’organisation islamiste CAGE s’inscrit, depuis plusieurs mois, dans une démarche qui vise à diaboliser la France, ses valeurs mais aussi les institutions françaises et les fonctionnaires.
Une procédure d’expulsion du territoire national visant Hassan Iquioussen a été annoncée par @GDarmanin. Se présentant comme un guide religieux, il est en réalité un militant de l'islam politique lié à la pensée des “Frères musulmans” qui piétine depuis des années la République.
Après un examen attentif par le @prefet59 des nombreuses déclarations du concerné, notamment, sur les réseaux sociaux, et sa présence au sein de l’écosystème islamiste puis un avis de la commission d’expulsion, il apparait clair que cet activiste est un danger pour la République.
Cette commission se réunit en présence des représentants des services judiciaires et administratifs de l’Etat, de l’intéressé et de son avocat, dans le cadre de la loi encadrant l’entrée et le séjour des étrangers et le droit d’asile (CESEDA).
🔴 Depuis plusieurs jours, une nouvelle campagne calomnieuse circule sur les réseaux sociaux. Elle vise les institutions républicaines dans leur combat, sans relâche, contre le séparatisme islamiste.
Selon ces colporteurs de haine, l’État viserait les associations musulmanes et, donc, les musulmans. Ces accusations sont aussi grossières que mensongères.
Voilà les raisons, objectives, qui ont motivé les procédures de dissolution d'associations ISLAMISTES ⬇️
Anadolu @aa_french se présente comme une agence de presse. En réalité, il n’en est rien : Anadolu est un organe de propagande qui publie sur son site des tribunes d’opinion attaquant, de façon mensongère et calomnieuse, la France.
Anadolu @aa_french n’a de cesse de propager des #fakenews contre la France. Cet organe de propagande se pose en pourfendeur des actions de la France, en affirmant que l’État mettrait en place un ciblage de ses concitoyens musulmans. Cela est intolérable.
L’article 1er de la loi de 1905 reconnaît la liberté religieuse : « La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes ». Tous les citoyens, croyants ou non croyants, sont traités à égalité.
▶️ Le racisme est une réalité, dans la société française comme dans les autres sociétés. Il existe bien des actes racistes ainsi que des discriminations envers les musulmans. L’État les condamne et les combat
avec fermeté. 1/11
Pour parler de la haine contre les musulmans, le terme « #islamophobie » est inapproprié puisqu'il confond stigmatisation des croyants et critique de l'islam. Les institutions utilisent l'expression "racisme anti-musulman". 2/11
Il n'est pas permis d'appeler à la haine ou aux discriminations contre des groupes religieux. Mais il est autorisé de critiquer des systèmes de croyance ou des conceptions philosophiques. C'est la liberté d'expression. 3/11