Update sur l'affaire #FactsAndFurious : dans un sursaut autoritaire, la CPPAP « a décidé de ne pas renouveler la reconnaissance de service de presse en ligne à France-Soir » selon Les Échos et d'autres médias (sauf l'#AFP, étrangement). 1/-
Pendant ce temps les fact-checkers, ces rambos de la vérité, se répandent sur les plateaux TV où leurs jérémiades dirigées contre Elon Musk qui aurait selon eux livré Twitter aux complotistes sont accueillies sans contradicteurs dans une bonne humeur complice. 2/-
Sur les profils Twitter de ces preux chevaliers, des liens #Mastodon poussent comme des champignons après une douce pluie d'automne. Leurs Tweets, coupables, prennent des allures d'accusations ad-hitlerum, pour détourner l'attention du scandale dans lequel ils sont mouillés. 3/-
La presse subventionnée, feint l'ignorance du désastre déontologique que représente un ex-barman propulsé par l'#AFP journaliste contre les fake-news, cité dans #Wikipedia, espérant sans doute que la tempête passe sans entacher le semblant de crédibilité qu'il lui reste. 4/-
En toile de fond, l'ingérence que représente le soutien de #Google et de #Microsoft via #Newsguard à un tel journalisme barbouzeux, et #Wikipedia qui ressemble de plus en plus à un organe de propagande déguisé en encyclopédie. Une affaire à sortir et à ressortir. 5/5
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