En résumé :
Cette histoire de contrats de l'AFP a été inventée tout récemment et mise en scène par Idris Aberkane, avec Malika D en guise de témoin.
Et 2 expertes dans le domaine de la désinformation ont repris cette thèse à leur compte, sans jamais rectifier.
9/11
Je répète :
2 expertes dans le domaine de la désinformation ont repris cette thèse à leur compte, sans jamais rectifier.
Alors bien-sûr, on va peut-être me traiter de masculiniste harceleur toussa toussa...
Mais il me semble qu'on a ici un problème qui va bien au delà de ma petite personne.
11/11
Pour compléter, voici l'extrait de la vidéo du 22 novembre où Malika D et Idriss A s'épanchent sur cette histoire de "contrat" avec l'AFP. Remarquez comme on vous montre à l'écran, en guise de preuve, ce "contrat"...
...où il est écrit "convention de partenariat". Aucune mention de "contrat". Aucune mention d'une rémunération.
Mais Aberkane répète en boucle "contrat", "contrat", "contrat"...
Je complète encore. Le contexte est important.
Regardez dans quel contexte donc les propos en question en été tenus (remarquez le message sur les "sources de financement", l'art de suggérer bcp en n'affirmant le moins possible...).
L'extrait vidéo est important aussi pour si on me sort le coup de "une convention de partenariat c'est une forme de contrat"
I Aberkane et M Daoust font clairement croire qu'il s'agit d'un contrat de travail (ou de sous-traitance), avec rémunération.
Et les screens des échanges sur Mastodon entre nos 2 spécialistes sont aussi importants pour la même raison. On ne nous cause pas d'une simple convention de partenariat (comme c'était pourtant le cas). factuel.afp.com/objectif-desin…
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Je vais vous parler encore de "l'Affaire Fact'N'Furious"
Et du traitement que certaines personnes en ont fait.
Et je vais causer aussi de violences conjugales.
Et d'un truc utile, entre autres, au fact-checking : Wayback Machine.
Attention : c'est glauque.
1/25
Rappel.
Il y avait un site de fact-checking nommé Fact'N'Furious.
Le 22 novembre, sur sa chaîne YouTube, Idris Aberkane lançait une série de graves accusations contre ce site, contre son fondateur, A Daoust, et contre tout le monde du fact-checking francophone.
2
Les accusations s'étendent à diverses personnes et médias, au delà d'A Daoust et du site F'N'F : ConspirarcyWatch, Karine Lacombe, l'AFP, Wikipedia, etc.
Et il y a des accusations de violences conjugales contre A Daoust.
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La modereción se va al carajo, hay de más en más incitación al odio y desinformación, cierran cuentas de periodistas, reabren cuentas suspendidas de extremistas, etc.
Précision : sur les formes.
Je vais m'en tenir au vouvoiement à votre égard. Et je vais m'abstenir de vous appeler "grosse" et de faire référence à votre éventuelle consommation de stupéfiants.
Encore un truc sur cette manière de réduire "l'affaire Fast & Furious" à une histoire de copinage entre fact-checkers masculins.
Des personnes et des médias ont été nommément accusés dans le cadre de ces "révélations".
1/
Et le fait que ces personnes (ou ces médias) réagissent, donnent leur version, démontent les mensonges dont ils s'estime victimes est transformé en une histoire de réflexe mascu, de boys band défendant un des leurs, etc.
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Exemple, @conspiration et, en particulier @RReichstadt, on été visés explicitement par Aberkane, avec l'aide de Malika Daoust.