Le variant #Omicron XBB.1.5 pourrait devenir majoritaire en Europe d'ici "1 à 2 mois" et "provoquer une augmentation substantielle du nombre de nouveaux cas", selon l'@ECDC_EU. ⤵️
(Dans le scénario privilégié, soit 1% des cas actuellement et avantage de croissance de 12%).
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La part du variant XBB.1.5 a récemment augmenté dans plusieurs pays européens, mais l'ECDC prévient que la part de cas positifs séquencés est souvent devenue trop faible pour être fiable.
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Une prise de pouvoir de XBB.1.5 devrait avoir un "faible impact" pour la population générale, "en raison de la faible incidence des maladies graves avec #Omicron et de l'immunité acquise".
En revanche, l'impact sera plus fort pour les personnes vulnérables, âgées, etc.
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Pour rappel, XBB.1.5 est un recombinant de 2 variants #Omicron, BA.2.101. et BA.2.75.
Il serait désormais quasiment majoritaire aux USA, ce qui permet d'avoir une estimation de son avantage de croissance sur les variants circulants (le fameux 12%).👇
XBB.1.5 fait partie des variants #Omicron échappant le plus à l'immunité.
On ne dispose pas encore d'estimation de l'efficacité vaccinale contre lui, mais il "est très probable" que celle-ci sera toujours très élevée contre les formes graves.
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Par ailleurs, rien n'indique que XBB.1.5 entraîne un risque accru de forme grave.
En revanche, comme toujours, "une augmentation des cas causée par une transmissibilité accrue ou une évasion immunitaire devrait entraîner une augmentation des cas graves".
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Pour se préparer, l'ECDC insiste sur les mesures habituelles :
• communiquer sur les risques
• tester et séquencer le plus possible
• intensifier la vaccination
On enchaîne avec le Parti socialiste, qui a fait ses meilleurs scores dans ses "bastions" traditionnels de l'ouest et du sud-ouest et qui progresse quasiment partout en France par rapport à 2019.
🦠 Épidémie de grippe saisonnière avec les virus A(H1N1), A(H3N2) et B en France, élevages de vaches contaminées par A(H5N1) aux États-Unis, 1er cas humain de A(H5N2) dans le monde...
Plongée dans la "galaxie" des virus grippaux. ⤵️ @le_Parisien
Il existe quatre types de virus de grippe : A, B, C et D. Chacun regroupe plusieurs sous-types. Pour A, ce sont tous les H1N1, H3N2, H5N1, H10N7, etc.
Ces noms de code correspondent aux types de protéines hémagglutinine (H) et neuraminidase (N) à la surface du virus.
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"Ces deux protéines sont très importantes car elles ont une influence majeure sur les hôtes que le virus peut infecter, sur la manière dont il se transmet entre eux et sur les vaccins à utiliser pour se protéger contre l’infection", explique @PeacockFlu.
Info @Le_Parisien : un rapport parlementaire émet plusieurs propositions pour lutter contre la désinformation médicale, qui "a pris une importance nouvelle au cours de la pandémie de #Covid19".
Ce rapport de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques est bâti en quatre parties : les effets indésirables des vaccins, la prise en charge du Covid Long, la surveillance des épidémies et la lutte contre la désinformation en santé.
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Dans cette dernière catégorie, les élus font le constat que "les crises sanitaires conduisent à une politisation de la science, une instrumentalisation de ses résultats et alimentent la circulation de fausses informations".
A l'Institut Pasteur, les chercheurs élèvent plusieurs espèces de moustiques. Le but : les faire grandir, puis les contaminer par des virus dans un laboratoire P3 pour voir comment ils se comportent.
"On est forcément tous un peu paniqués, avec les JO qui arrivent."
"Le SARS-CoV-2 provoque chaque année plusieurs pics et plusieurs vagues épidémiques. Pour la grippe, on a parfois deux pics, avec les souches A puis B, mais sans retomber entre-temps à de bas niveaux et toujours entre fin décembre et le mois d’avril", décrit @MT_Sofonea.
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Première explication : le SARS-CoV-2 est plus contagieux, à la base, que les virus grippaux. Du coup le "frein estival" à lui seul (on est moins souvent en lieu clos, propice à la transmission) ne suffit pas à empêcher une reprise épidémique en été.
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Après les quatre concerts de Taylor Swift à Paris, de nombreux fans ont eu un syndrome grippal... avec parfois un test #Covid positif : "Tous les gens que je connais sont tombés malades", mais "ça valait bien cinq Covid d’affilée !". ⤵️ @le_Parisien
Alex, 29 ans, est venue de Lille pour le 3e show. "Le lundi d’après, j’ai commencé à tousser. Mercredi, ça n’allait pas du tout, je ne pouvais rester debout plus de 5 minutes".
Elle voit sur Insta des gens parler de test Covid positif et va au labo. Verdict : Covidée.
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"On n’entendait plus trop parler du Covid mais, avec le recul, on se dit que c’est logique vu qu’on était en lieu fermé, avec 45 000 personnes par soir… Si un virus circule, ça va très vite", témoigne une autre de ces "swifties".