Le variant #Omicron XBB.1.5 pourrait devenir majoritaire en Europe d'ici "1 à 2 mois" et "provoquer une augmentation substantielle du nombre de nouveaux cas", selon l'@ECDC_EU. ⤵️
(Dans le scénario privilégié, soit 1% des cas actuellement et avantage de croissance de 12%).
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La part du variant XBB.1.5 a récemment augmenté dans plusieurs pays européens, mais l'ECDC prévient que la part de cas positifs séquencés est souvent devenue trop faible pour être fiable.
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Une prise de pouvoir de XBB.1.5 devrait avoir un "faible impact" pour la population générale, "en raison de la faible incidence des maladies graves avec #Omicron et de l'immunité acquise".
En revanche, l'impact sera plus fort pour les personnes vulnérables, âgées, etc.
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Pour rappel, XBB.1.5 est un recombinant de 2 variants #Omicron, BA.2.101. et BA.2.75.
Il serait désormais quasiment majoritaire aux USA, ce qui permet d'avoir une estimation de son avantage de croissance sur les variants circulants (le fameux 12%).👇
XBB.1.5 fait partie des variants #Omicron échappant le plus à l'immunité.
On ne dispose pas encore d'estimation de l'efficacité vaccinale contre lui, mais il "est très probable" que celle-ci sera toujours très élevée contre les formes graves.
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Par ailleurs, rien n'indique que XBB.1.5 entraîne un risque accru de forme grave.
En revanche, comme toujours, "une augmentation des cas causée par une transmissibilité accrue ou une évasion immunitaire devrait entraîner une augmentation des cas graves".
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Pour se préparer, l'ECDC insiste sur les mesures habituelles :
• communiquer sur les risques
• tester et séquencer le plus possible
• intensifier la vaccination
🧒 Etude @EPIPHARE très intéressante : parmi les enfants d’un même niveau scolaire, ceux nés en fin d’année civile "ont beaucoup plus recours au méthylphénidate (médicament contre le trouble de l'attention TDAH) et à l’orthophonie" que ceux du début de l’année.
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L'étude a été menée sur près de 5 millions d'enfants nés entre 2010 et 2016, qui ont été suivis à partir du 1er septembre de l’année de leurs 5 ans.
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Logiquement, au sein d'un même groupe scolaire, les enfants n'ont pas le même âge au 1er septembre en fonction du mois durant lequel ils sont nés.
Selon l’Ifop, les Fr. ayant voté pour des candidats RN en 2022 sont les plus sûrs de retourner aux urnes le 30 juin.
"Le RN dispose peut-être d’un peu moins de réserve du côté des abstentionnistes. Mais globalement, cela devrait être assez homogène", dit @mathieugallard.
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D'ailleurs, "l'électorat de gauche peut se dire qu’il va réussir à changer les choses avec ce Nouveau Front populaire, et celui macroniste pourrait aussi rester mobilisé par inquiétude des programmes économiques du RN et de la gauche'.
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On enchaîne avec le Parti socialiste, qui a fait ses meilleurs scores dans ses "bastions" traditionnels de l'ouest et du sud-ouest et qui progresse quasiment partout en France par rapport à 2019.
🦠 Épidémie de grippe saisonnière avec les virus A(H1N1), A(H3N2) et B en France, élevages de vaches contaminées par A(H5N1) aux États-Unis, 1er cas humain de A(H5N2) dans le monde...
Plongée dans la "galaxie" des virus grippaux. ⤵️ @le_Parisien
Il existe quatre types de virus de grippe : A, B, C et D. Chacun regroupe plusieurs sous-types. Pour A, ce sont tous les H1N1, H3N2, H5N1, H10N7, etc.
Ces noms de code correspondent aux types de protéines hémagglutinine (H) et neuraminidase (N) à la surface du virus.
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"Ces deux protéines sont très importantes car elles ont une influence majeure sur les hôtes que le virus peut infecter, sur la manière dont il se transmet entre eux et sur les vaccins à utiliser pour se protéger contre l’infection", explique @PeacockFlu.
Info @Le_Parisien : un rapport parlementaire émet plusieurs propositions pour lutter contre la désinformation médicale, qui "a pris une importance nouvelle au cours de la pandémie de #Covid19".
Ce rapport de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques est bâti en quatre parties : les effets indésirables des vaccins, la prise en charge du Covid Long, la surveillance des épidémies et la lutte contre la désinformation en santé.
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Dans cette dernière catégorie, les élus font le constat que "les crises sanitaires conduisent à une politisation de la science, une instrumentalisation de ses résultats et alimentent la circulation de fausses informations".
A l'Institut Pasteur, les chercheurs élèvent plusieurs espèces de moustiques. Le but : les faire grandir, puis les contaminer par des virus dans un laboratoire P3 pour voir comment ils se comportent.
"On est forcément tous un peu paniqués, avec les JO qui arrivent."