[#VeilleESR#Parcoursup] Hybridation des formations dans l’enseignement supérieur
"l’enseignant continue à ne pas vouloir utiliser le cours créé par son voisin"
un équivalent de HAL avec "obligation d’information sur ce qui a été créé"
par @CMordelet
La positions de la DGESIP rejoint donc celle exprimée dans ce thread, de façon juste un peu moins claire et un peu moins sincère que celle de @BoudPrototype.
La proposition est identique : la création d'une bureaucratie en charge des programmes et cours.
@BoudPrototype Je présente mes excuses à @BoudPrototype, qui m'a bloqué après un échange pourtant cordial. Je ne devrais donc pas le citer, mais les propositions sont trop identiques pour ne pas le signaler.
Je précise qu'il ne s'agit donc pas de critiquer, mais d'écouter et de comprendre.
@BoudPrototype Et j'ajoute enfin la principale réserve à cette proposition de bon sens sur le papier : quiconque a déjà enseigné le cours de quelqu'un d'autre sait que ça ne marche pas.
On peut recycler et s'inspirer, mais reprendre tel quel donne des séances peu fluides et malaisantes.
@BoudPrototype Et je vais même aller plus loin : quand j'ai envie et le temps de bien enseigner, alors je refais mes propres cours, seul moyen pour qu'ils soient bien frais dans ma tête, et me motive par des situations nouvelles.
La mutualisation des supports ne m'apporterait strictement rien.
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« Pour nous, moins de places en socio, mais plus de BAC Pro, de CAP, de BEP, de BTS. »
Ce type de positionnement politique correspond à ce qu'on appelle « l'adéquationnisme », et il est très populaire en ce moment.
Problème : il ne repose sur aucune base rationnelle.
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[#VeilleESR#Parcoursup] « Nous refusons aujourd’hui de voter des capacités d’accueil au sein de notre université tant que le MESR refusera d’attribuer à notre établissement une dotation budgétaire pérenne à la hauteur de nos besoins. »
Ce cas devrait pouvoir nous permettre de vérifier quelque chose :
Est-ce qu'une université qui renonce à voter ses capacité d'accueil décide d'admettre tous les candidats, ou bien est-ce qu'elle laisse juste le rectorat seul face à la définition de ces capacités d'accueil ?
Si on croit Mme @VidalFrederique, ce n'est pas de la sélection mais de l'orientation.
Dans ce cas, il pourrait être assez sain que le rectorat définisse unilatéralement les capacités d'accueil en fonction de ce qu'il estime être les "besoins de la nation".
Le @leJDD a pris la décision étrange de traiter l'hôpital de « cancre ».
Quel est l'objectif ? Pousser à la démission celles et ceux qui sont restés sur le pont nuits et jours pour nous sauver la peau au cœur de la pandémie, malgré des conditions de travail lamentable ?
On y trouve toutes les informations budgétaires (incompréhensibles), mais aussi tous les objectifs de performance, et toutes et c'est vraiment très intéressant.
Ici, les indicateurs de performance du programme 150 « Formations supérieures et recherche universitaire », qui explique bien la stratégie de l'Etat, qui se décline ensuite en pressions jusque dans les salles de cours.
Ici, le grand objectif général : 53% d'une classe d'âge diplômé du sup' en 2022, 55% en 2023.
Sauf qu'on est déjà à 56,2% en 2020.
Notre objectif serait donc plutôt de ralentir que d'accélérer.