Sondage intéressant.
Mettons que les 4 points indiquaient une "masculinité toxique" (ce qui n'est pas forcément le cas selon le contexte).
➡️ La majorité des hommes n'y adhérent pas.
➡️ Les jeunes (bien que plus "testostéronés") non plus.
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Mettons que les 4 points indiquaient une "masculinité toxique" (ce qui n'est pas forcément le cas selon le contexte).
➡️ La majorité des hommes n'y adhérent pas.
➡️ Les jeunes (bien que plus "testostéronés") non plus.
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https://twitter.com/MadameMais/status/1617586628578377729
Il manque une comparaison avec le passé.
On voit que la "culture" de la "masculinité #toxique " est minoritaire, et ça n'est peut-être pas une nouveauté.
Il n'existe pas "une" culture masculine qui serait la création d'un "système #patriarcal ". Il existe des cultures masculines.
On voit que la "culture" de la "masculinité #toxique " est minoritaire, et ça n'est peut-être pas une nouveauté.
Il n'existe pas "une" culture masculine qui serait la création d'un "système #patriarcal ". Il existe des cultures masculines.
Il existe toujours une marge de variation individuelle autour de ce que la société vous enseigne.
"La société" n'enseigne pas à l'individu à être alcoolique ou violent. Certains individus le deviennent via des contextes personnels ou du fait d'un entourage particulier.
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"La société" n'enseigne pas à l'individu à être alcoolique ou violent. Certains individus le deviennent via des contextes personnels ou du fait d'un entourage particulier.
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Or, une lubie fondamentale des "progressistes" est de tenir la société pour responsable de toutes les déviances individuelles. Lubie sous-tendue par l'idée - plus ou moins consciente - que nous serions tous nés bons, et que la société rendrait certains d'entre nous mauvais.
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(FIN)
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