1️⃣ @salah_hamouri, rencontré avec @GuillaumeGontard & @CTransnationale, a abordé la question centrale des prisonnier·ères politiques palestinien·nes. Lui qui a été emprisonné maintes fois -10 ans en tout- et a mené une grève de de la faim fin 2022, dans des conditions inhumaines.
2️⃣ Lui qui mène un combat pour avoir le droit de vivre à Jérusalem s’étant vu retirer arbitrairement sa carte de résident, le 18 décembre dernier, pour des raisons politiques. Lui qui appelle à défendre la liberté d’expression en France.
3️⃣ Selon @salah_hamouri, quand un prisonnier tombe malade « c’est le début de la fin de sa vie ». De plus, l’acharnement de la force occupante se poursuit jusque dans la mort puisqu’Israël refuse de rendre les corps des prisonniers morts aux familles jusqu’à la fin de leur peine.
4️⃣ Il y a donc des cimetières « à numéros ». Un tel niveau d’inhumanité, de perversité, défie l'entendement ? Israël oppresse, emprisonne et poursuit les Palestinien·nes dans la vie comme dans la mort.
5️⃣ Nous devons multiplier les initiatives qui permettent de ne pas silencier la cause palestinienne. Il est grand temps de manifester notre résistance devant les tentatives de stigmatisation du combat pour les droits des Palestiniennes et des Palestiniens.
6️⃣ Mais aussi d'exiger des sanctions contre le gouvernement israélien. L'impunité encourage l'escalade contre les droits en Palestine.
« Manifestation de la présence » : C’est ainsi que l’armée israélienne nomme la politique qu’elle mène vis-à-vis des Palestiniens.
7️⃣ @YehudaShaul, membre fondateur & directeur de @BtSIsrael, association qui lutte contre l’occupation, explique que cette politique est censée donner à 🇵🇸 "le sentiment que, quoi qu’il advienne, qu’il pleuve, vente ou fasse grand beau, ils sont tous en permanence sous contrôle".
8️⃣ Nous dénonçons l’imposition de la terreur subie par la population palestinienne, et par là même, les pressions en France contre ceux qui révèlent l'Etat d'#Apartheid et le racisme des gouvernements israéliens alors que des actes d'épuration ethniques sont commis.
9️⃣ Oui, nous nous engageons à relayer les voix des Palestinien·nes et à soutenir leur combat pour la liberté, en rappelant que l’État de #Palestine doit être enfin reconnu par la #France.
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1️⃣ Ces dernières semaines, dans le cadre de la mobilisation sociale contre la #ReformeDesRetaites et à #SainteSoline, de nombreux-euses manifestant.e.s ont été victimes de violences policières dues à la doctrine du maintien de l'ordre 🧵⬇️
2️⃣ @amnestyfrance rappelle la non-exemplarité de la France en termes de droits humains : « Ces manquements ne sont pas isolés et ne datent pas de 2023 ».
3️⃣ Dans son rapport annuel sur la situation des droits humains dans le monde, @amnestyfrance alerte sur le caractère systémique des #ViolencesPoliceres en France, et sur des discriminations systémiques.
1/ Lors des manifestations organisées dans le cadre de la #GrandeMarcheduRetour (dès le 30/03/18) les civils palestiniens défilèrent durant des mois pacifiquement pour réclamer la levée du blocus 🇮🇱 de #Gaza & le retour des réfugiés 🇵🇸 vers les terres confisquées depuis la #Nakba
2/ Le 1er juin 2018, lors de la #GrandeMarcheDuRetour, un sniper israélien assassina #RazanAlNajjar, une infirmière de 21 ans, pourtant identifiable par sa blouse médicale. « Les personnels médicaux ne sont pas une cible ! » (Nikolaï Mladenov, coordinateur spécial de l’#ONU).
3/ #RazanAlNajjar fait partie des près de 200 pers. qui ont été tuées lors des marches. Des milliers d’autres ont subi des blessures laissant des séquelles à vie. L’armée 🇮🇱 aurait visé les membres inférieurs ou supérieurs afin d’impacter la santé physique et psy des Gazaouis.
🇵🇸 Le 15 mai 1948, au lendemain de la proclamation de l’état d’Israël, des milices sionistes chassèrent environ 800000 Palestiniens-nes de leurs maisons et de leurs terres. Entre 1947 et 1948, plus de 500 villages de #Palestine furent détruits. (1/4)
📣 Les Palestinien-nes commémorent « La #Nakba », signifiant « La grande catastrophe », en organisant chaque année des marches du retour, afin de rappeler le Droit au retour des réfugiés palestiniens reconnu et affirmé par la résolution 194 des #NationsUnies. (2/4)
En 2018, lors d’une de ces marches, l’infirmière Razan al-Najjar fût tuée par un sniper israélien, alors même qu’elle portait une blouse blanche médicale. Cela fait écho au meurtre ce 11/05 de la journaliste #ShireenAbuAkleh qui portait une veste pare-balles siglée "Presse" (3/4)