#Khalilzad veut donner des leçons de démocratie au #Pakistan, lui qui porte la responsabilité de l'accord catastrophique de #Doha et du retour des talibans. Bizarrement, on ne l'entend pas sur le nom respect de l'amnistie par les talibans en #Afghanistan
Il a publié une série de tweet pour soutenir Imran Khan qu'il admire, lui qui a méprisé durant les accords de Doha le démocrate Ashraf Ghani, en se plaçant au dessus de lui et du peuple afghan
Qu'on ne s'y trompe pas. Ashraf Ghani n'était peut-être pas un chef de guerre, mais c'était un anthropologue diplômé de l'université de Columbia à New York, marié à une libanaise, chrétienne, polyglotte qui avait effectué une partie de ses études en France.
C'était un couple qui méritait mille fois plus de soutien que le joueur de cricket corrompu Imran Khan et sa femme Bushra, couverte de la tête aux pieds. Voilà le genre de message qu'il adresse actuellement au peuple pakistanais sur Twitter ⬇️😟
Imran Khan est l'ex-Premier ministre du #Pakistan, il s'exprime comme un troll pour exciter ses partisans et les islamistes afin de les inciter à la rébellion, ceci pour échapper à la justice et obtenir des élections anticipées ⬇️
Mais en plus de sa manière de s'exprimer qui n'est pas digne de sa fonction et de ses tentatives de rallier tous les islamistes du pays à sa cause en évoquant Allah, des pakistanais lui reprochent d'écrire des choses factuellement inexactes.
Il se plaint de la répression actuelle qui fait suite aux soulèvements qu'il a déclenché en écrivant qu'elle serait "sans précédent" dans le pays, n'ayant jamais été observé(e) "pendant les lois martiales de Zia et de Musharraf"
Or, "sous la loi martiale brutale de Zia, les femmes ont été soumises aux ordonnances barbares hudood (défendues par Imran Khan) et les travailleurs politiques ont été arrêtés par milliers et assassinés par l'État."
C'est-à-dire le parti d'#ImranKhan (Pakistan Theerek e Insaf, #PTI) et il y a des pakistanais qui en ont assez de ses excès et de ses jérémiades dont #Khalilzad se fait l'écho
Il n’y a pas que la caravane « #Soumoud », partie de #Tunisie à destination de #Gaza. Une autre « #caravane » est en train de se former, cette fois au départ du poste-frontière de #Bab_al_Hawa, en #Turquie. (THREAD 1/13 ⬇️)
2/ Des arrêts sont prévus à Idlib, Hama, Homs, Damas, Deraa, en #Syrie, puis à Irbid, en #Jordanie. Son objectif semble être d’atteindre #Israël, et non Rafah, si l’on en juge par les flèches indiquées sur la carte.
Les organisateurs précisent que les personnes n’ayant pas les moyens financiers de se rendre au point de rassemblement peuvent les contacter via WhatsApp, ce qui suggère qu’il ne s’agit pas d’un convoi humanitaire classique. En effet, ils s’adressent à des individus qui ne sont
#SafwaTV, la chaîne musulmane européenne dont #IdrissSihamedi a annoncé le lancement dernièrement, avec #EzdineHachem et #AmmarDabbour, adoptera vraisemblablement une structure décentralisée, à en juger par la dernière annonce. On apprend ainsi que « la chaîne dépendra des
juridictions américaines et turques, là où sont présents les sièges internationaux ». De ce fait je comprends, je peux me tromper, que la holding d’investissement est probablement enregistrée aux #ÉtatsUnis, et pourrait détenir une filiale supervisant la production en #Turquie,
ceci afin de contourner les restrictions européennes. Les décisions juridiques (ex. : litiges, plaintes) seraient ainsi régies par les lois de ces juridictions. Par exemple, une plainte contre la chaîne serait ainsi traitée selon le droit américain ou turc, et non français, ce
Thread 1/23 #EzdineHachem, directeur du #SafwaCenter (et président de #SciencesÉducation), a annoncé dernièrement le lancement d’une chaîne musulmane européenne dont #IdrissSihamedi sera le « directeur général adjoint en charge de la stratégie ». Dans un live diffusé sur YouTube,
intitulé « BarakaCity Vs @BrunoRetailleau », #IdrissSihamedi a présenté ce projet avec la participation d’un collaborateur présenté comme “Ammar venant de Belgique” qui doit rejoindre prochainement, si ce n’est pas déjà fait, l’équipage du #SafwaCenter.
Ammar a expliqué ensuite que leur but était de « développer ce média et d’autres projets ad hoc [via] une holding de capitalisation » en insistant sur le fait que « les projets seront tous [conformes à] l’éthique chariatique », c’est-à-dire aux principes de la finance islamique.
Conflit entre l’#Inde et le #Pakistan : l’analyse d’Amrullah Saleh, président par intérim légitime d’#Afghanistan que je vous invite à dérouler. x.com/AmrullahSaleh2… Je retiens surtout deux points qui appellent un développement pour ceux qui n’ont pas suivi (thread ⬇️) x.com/AmrullahSaleh2…
Il pointe notamment le fait que « l'#Inde a mis à mal l'idée selon laquelle les terroristes sont distincts de leurs soutiens ». Effectivement la présence de nombreux #militaires pakistanais avec #Hafiz_Abdul_Rauf, commandant du Lashkar-e-Taiba (#LeT),
pour célébrer les funérailles de terroristes éliminés à #Muridke, dans une frappe de l’Inde, met en évidence leur complicité. Les militaires qui étaient présents ont depuis été identifiés par l'Inde
Opération #Sindoor : l'#Inde a lancé des frappes contre neuf repaires terroristes à Bahawalpur, bastion du groupe terroriste Jaish-e-Mohammed (#JeM), Muridke, siège du Lashkar-e-Taiba (#Let, à l'origine de l'attaque de #Pahalgam), Gulpur, Bhimber, Chak Amru, Bagh, Kotli, Sialkot
et Muzaffarabad. Aucune installation militaire pakistanaise n'a été visée, ce qui ouvre la voie à une désescalade. Selon une rumeur, le Pakistan aurait abattu trois ou cinq rafales. Le journaliste Taha Siddiqui écrit que ces allégations ne sont pas vérifiables et qu'elles sont
sans fondement Selon le journaliste indien Aditya Raj Kaul, tous les pilotes de l'armée de l'air indienne sont rentrés sains et saufs.
Sans même entrer dans les détails et se prononcer sur le fond, ce ne sont pas aux étudiants dont 80% peinent à s'exprimer par écrit convenablement, ou pire à des militants venant de l'extérieur, de décider ce qu'un maître de conférences peut dire ou pas dans un amphi.
Ils n'ont pas les qualités requises (connaissances, diplômes) pour juger du contenu de l'enseignement d'une part, et s'ils ont des griefs à formuler, la méthode violente qu'ils emploient ne saurait être considérée comme une forme de revendication acceptable d'autre part.
On ne peut donc qu'être surpris par le fait que la présidente de l’université Lyon-II, Madame Isabelle von Bueltzingsloewen, ne rappelle pas ces évidences pour soutenir non seulement #FabriceBalanche, agressé dans l’exercice de ses fonctions, mais tous les enseignants