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L'appel vient d'être lancé, la partition est prête à être jouée : aux 24 Heures du Mans, des centaines de mécaniciens œuvrent dans l'ombre des pilotes avec pour seul objectif de porter leur équipe au sommet de la plus célèbre des courses d'endurance #AFP 1/7 
Installés sur leur chaise de camping, la dizaine de "mécanos" présents dans le garage du constructeur Alpine sont sur le qui-vive. Les yeux fixés sur les écrans, l'équipe scrute les performances de ses deux voitures - et celles de la concurrence #AFP 2/7
Écouteurs vissés aux oreilles de manière à se tenir informés de ce qu'il se passe en piste, chacun reste prêt à intervenir. Pas question de venir bousculer cette concentration de chaque instant. Quand soudain, la N.36 est appelée au stand #AFP 3/7
Aussitôt, six mécaniciens spécialement chargés du bolide bondissent de leur chaise de fortune. Ils remontent leur cagoule ignifugée jusqu'au nez, enfilent casques et lunettes. La voiture viendra se garer quelques minutes plus tard #AFP 4/7
Dès la voiture arrêtée, l'un de ces hommes de l'ombre met une trentaine de secondes à l'alimenter en carburant. Le plein fini, les pneus peuvent enfin être changés avant que le bolide ne reparte en piste dans un vacarme assourdissant #AFP 5/7
Toutes les 40 minutes, le mécanicien chargé du carburant s'affaire à la tâche et "une fois sur trois, on effectue également le changement de pneumatiques et celui des pilotes", détaille Olivier Bacchis, assistant du responsable d'équipe chez Alpine #AFP 6/7
A quoi ressemble leur vie quand les deux voitures Alpine déroulent en piste ? Pas question pour les mécaniciens de se faire la malle : installés à leur poste depuis samedi 16h, ils y resteront jusqu'à dimanche 16h. L'endurance se vit sur mais aussi en dehors de la piste #AFP 7/7
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