Les badges d'accréditation pour les journalistes qui vont couvrir l'audience en référé sur l'héritage de #JohnnyHallyday à Nanterre
L'audience en référé (procédure d'urgence) sur l'héritage de #JohnnyHallyday devrait débuter dans une demi-heure. Les premiers avocats sont arrivés dans la salle d'audience de Nanterre.
Le nombre d'avocats présents dans la salle d'audience est d'ailleurs proportionnel a celui des journalistes. #JohnnyHallyday
L'audience débute avec l'appel des (nombreux) avocats. Sont concernés par cette audience David, Laura et Laetitia Smet ... mais aussi la Warner ou la SCI dans laquelle se trouvent les biens de #JohnnyHallyday
Me Carine Piccio (avocate de David Hallyday) demande le renvoi de cette audience et que "Mme Boudou [Laeticia Hallyday] nous communique les pièces dont elle fait état."
En fait, le problème tourne autour de l'existence d'un trust qui détient les avoirs de #JohnnyHallyday
Les avocats de David réclament donc de savoir qui gère ce trust, quels sont les biens qu'il détient etc.
Me Emmanuel Ravanas (avocat de Laura Smet) : "Laura Smet a tenté un certain nombre de démarches amiables. Puis, elle a demandé à pouvoir écouter l'album posthume de #JohnnyHallyday . On lui a opposé une fin de non-recevoir extrêmement sèche."
En plaidant le renvoi de l'audience, Me Ravanas dénonce des montages (via deux trusts) "incohérents". Entre les trusts, SCI et les biens en son nom propre, difficile de savoir qui possède les biens de #JohnnyHallyday
Me Amir-Aslani (avocat de Laeticia) : "je m’oppose au renvoi ne ce serait-ce qu’à cause du nom utilisé par la partie adverse pour qualifier ma cliente. Elle s’appelle Laeticia Hallyday, pas Mme Boudou." #JohnnyHallyday
Me Amir-Aslani (avocat de Laeticia): "je veux mettre un terme à ce scandale, à cette tempête médiatique orchestrée qui met à mal l’image de ma cliente. Vous avez vu vous-même le cirque dehors." #JohnnyHallyday
Me Amir-Aslani (avocat de Laeticia): "vous voulez asphyxier ma cliente, la priver des revenus que cet album pourrait lui rapporter." #JohnnyHallyday
L'avocat de la Warner s'oppose lui aussi à la demande de renvoi : "Warner dispose à ce jour d’un nombre suffisant de titre pour pouvoir commercialiser cet album" de #JohnnyHallyday
Le tribunal se retire pour délibérer sur la demande de renvoi. #JohnnyHallyday
Petites précisions pendant que le tribunal délibère.
La question essentielle qui se pose ici est de savoir si l'album de #JohnnyHallyday est un album posthume ou pas.
Si les juges estiment que l'album de #JohnnyHallyday a été achevé du temps du vivant de l'artiste, la question du "droit de regard", réclamé par Laura et David ne se pose même pas.
Le tribunal décide de renvoyer l'affaire au vendredi 30 mars à 14 heures. #JohnnyHallyday
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Bonjour à tous,
En direct du tribunal judiciaire de Paris.
2e etage. Grande salle. Et pour cause.
L'audience qui s'ouvre aujourd'hui attire les foules des grands jours.
Début du procès dit des eurodéputés RN.
Viennent d'entrer dans la salle d'audience la présidente du Rassemblement national et principale prévenue de ce procès : Marine Le Pen.
Sont également arrivés Bruno Gollnisch, Nicolas Bay ou encore Julien Odoul ... autant d'anciens eurodéputés ou assistants parlementaires.
25 prévenus au total (ils sont 27 renvoyés mais ni Jean-Marie Le Pen, ni Jean-François Jalkh ne sont en état d'être jugés selon des expertises médicales), qui doivent répondre de détournement de fonds publics.
Bonjour à tous,
C'est rare, mais ça arrive : en direct d'une audience civile aujourd'hui. En l'occurrence l'assignation en référé des Républicains par Eric Ciotti pour contester son exclusion du parti et de la présidence de celui-ci.
Ca se passe au tribunal judiciaire de Paris.
11 heures. L'audience est ouverte. Et débute l'appel des parties. Juste une question de procédure ? Et non, car premier écueil : deux avocats se présentent comme représentants des Républicains.
L'un côté Eric Ciotti, l'autre côté Annie Genevard et François-Xavier Bellamy.
“Je ne peux pas recevoir une double constitution. C’est un problème et c’est à vous de trancher”, s'agace la présidente. Sauf que personne ne lâche. Car derrière cette question de robes, il y a tout l'enjeu de l'audience du jour : qui préside encore Les Républicains ?
Bonjour à tous,
Après une pause hier, le procès de la Grande mutation devant la 13e chambre correctionnelle de Paris reprend avec les dernières auditions de parties civiles. Puis viendront les interrogatoire des prévenus, à savoir six cadres de l'organisation sectaire.
Emmanuelle s'avance à la barre. Elle est l'aînée d'une des anciennes adeptes de la Grande mutation.
"Quatre enfants, enfance heureuse, une mère aimante".
C'est autour de 2005, que sa mère commence à fréquenter la Grande mutation, "emmenée par un rabatteur à Dijon".
"C'était un médecin qui était le rabatteur de la Grande mutation à Dijon. Il a été radié depuis, mais à l'époque il avait une vraie plaque de médecin", explique Emmanuelle à la barre. "Du coup, elle allait à Paris aux conférences et entretiens individuels".
Palais de justice de Paris, salle Diderot.
Au procès dit du #VioleurdeTinder l'heure est au réquisitoire de l'avocat général, Philippe Courroye.
Rappelons que Salim Berrada est jugé pour 17 viols et agressions sexuelles et encourt 20 ans de réclusion.
"Vous les avez vues, entendues. Vous avez entendu le récit des viols et des agressions sexuelles subies par ces 17 victimes. Vous avez vu ici, à cette barre, celles qui ont eu la force de venir raconter leurs souillures", entame l'avocat général dans son réquisitoire.
"Et lui, les a-t-il seulement vues, entendues ? La question se pose tellement, tout au long de cette audience est resté imperturpable, comme bunkérisé dans le béton de ses dénégations", poursuit l'avocat général.
Bonjour à tous,
De retour salle Diderot au palais de justice de Paris. Procès dit du #VioleurdeTinder
Dernier jour des débats aujourd'hui avant les plaidoiries et réquisitoire prévus demain.
Ce matin, la dernière partie civile s'exprime à la barre. Nous l'appellerons "Rania".
"Rania" raconte à son tour la prise de contact sur Tinder, le rendez-vous pour une séance photo. "J’avais apporté des vêtements dans un sac, on a commencé à discuter. Il m’a proposé un shot d’alcool, puis il m’a parlé des fêtes qu’il faisait, de la drogue … ça m’a paru étrange"
"Je me sentais totalement euphorique", se souvient Rania. Puis, alors que je regardais les photos qu'on venait de faire, il s'assied à côté de moi et m'embrasse. Je l'ai repoussé et lui ai dit :"je ne veux pas ça, tu ne m'attires pas". Mais il revient vers moi et dit "essaie".
Bonjour à tous,
Salle Diderot, palais de justice.
De retour au procès dit du #VioleurdeTinder : Salim Berrada comparaît devant la cour criminelle départementale pour les viols et agressions sexuelles de 17 femmes lors de séances photo à son domicile.
Celle que nous appellerons Charline est la neuvième victime dont les faits dénoncés sont examinés par la cour. Elle a aujourd'hui 26 ans et est comédienne, explique-t-elle.
"Je vous laisse la parole", déclare le président à "Charline"
Long silence de la jeune femme.
"Quand j’ai découvert le travail de monsieur Salim Berrada, j’étais mineure à l’époque. Mais j’étais déjà modèle. Je faisais principalement du portrait."