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On parle aujourd'hui de Crashed. How a Decade of Financial Crises Changed the World (2018) – avec des majuscules partout, oui, les anglophones font ça dans leurs titres d'ouvrages. Un gros pavé très instructif.
Dans un article de 2009, Martin Weitzman, un des économistes du changement climatique les plus éminents, s'attaque aux scénarios dans lesquels le changement climatique devient, à l'avenir (dans 200 ans), absolument invivable.
Aujourd’hui, on s'intéresse à un petit livre de Maya Bacache-Beauvallet, Les stratégies absurdes. Comment faire pire en croyant faire mieux (2009). Titre et sous-titre qui laissent entendre une analyse des défauts de la rationalité, à la Elster.
Aujourd'hui la parole est à @rodrikdani, pour son livre Peut-on faire confiance aux économistes (Economics rules, en VO). C'est un essai en défense de la profession dont il est un représentant éminent.
Stiglitz a été, de 1997 à janvier 2000, l'économiste en chef de la Banque mondiale. Il en est sorti convaincu de l'échec retentissant (et coûteux) des plans d'ajustement structurel (PAS) menés dans les pays en développement dans les années 1980-90.
Raymond Aron partage avec Adam Smith le sort douloureux d'être cité comme autorité par des gens qui ne l'ont pas lu, mais qui s'imaginent d'accord avec lui parce qu'il a été éditorialiste au Figaro (Aron, hein, pas Smith).
Il y a 50 ans, Bourdieu travaillait (avec JC Chamboredon) sur la sociologie de l'éducation, juste après mai-68. C'est une période où se multiplient les sondages sur le système d'enseignement, alors en pleine réforme.
Aujourd’hui on se penche sur The Great Reversal, de Thomas Philippon (2019). Sa thèse est limpide : alors que les EU se proclament « le pays des marchés libres », en réalité les entreprises y sont trop protégées de la concurrence. Avec des effets sur
Aujourd’hui, donc, un thread consacré à un article de 3000 mots : pas grand-chose en apparence, mais sans doute l'une des publications les + influentes au regard de sa taille. La thèse de Friedman (dans cet éditorial du NY Times Magazine, en 1970) est cinglante :
Au début du XXe siècle, Max Weber s'était penché sur "l'esprit du capitalisme", c'est-à-dire sur les justifications morales de l'accumulation du capital, au moment où celle-ci devient un comportement normal, et non plus condamnable. Il accorde une place centrale au protestantisme
https://twitter.com/les_jeco/status/1232965426465902593La révolution industrielle (RI) est avant tout le fruit d'innovations lentement mises en œuvre à la fin du 18ème. Des métiers à tisser, de l'énergie hydraulique, des pompes pour les mines : bref, de la technique fondée sur quelques calculs nouveaux pour l'époque.