1/5 - Les taxes sur le sucre ajouté, dont les sodas, sont prouvées efficaces à réduire leur consommation et à lutter contre obésité, diabète, maladies cardiovasculaires, neuro-dégénératives, cancers, maladies bucco-dentaires…
#PrevenezMoi
@robert_laffont
theguardian.com/society/2024/m… 2/5 - Néanmoins, l’absence de stratégie visant à rediriger le produit des taxes perçues sur le sucre ajouté dans l’alimentation et les boissons vers des produits et comportements plus favorables à la santé, reste l’une des plus fortes critiques sur de telles taxes dans le monde.

1/4 - "L’agence de santé publique britannique a estimé que la cigarette électronique réduisait les risques sanitaires de plus de 95% par rapport à ceux provoqués par la cigarette traditionnelle."
atlantico.fr/article/decryp… 2/4 - "Il a été évalué que si l’Europe avait les taux de mortalité par cancer du poumon de la Suède [6% de fumeurs et 15% d'usagers de tabac à chiquer ("snus")], près de cent mille personnes seraient sauvées chaque année d’une mort prématurée à cause de ce cancer."

1/4 - Le #COVID19 a été la 8ème cause de décès des 0-19 ans aux États-Unis entre 2021 et 2022, et la toute première cause de décès par infection et maladies respiratoires.
ox.ac.uk/news/2023-01-3… 2/4 - Comme pour de nombreuses autres maladies, les taux de mortalité par #COVID19 ont suivi une courbe en U avec un premier pic chez les moins de un an (4,3 pour 100’000), et un second pic chez les 15–19 ans (1,8 pour 100’000), le taux le plus bas chez les 5–9 ans (0,4/100’000).

1/9 - De nouvelles menaces pour la santé publique, possiblement plus dangereuses que le #SARSCoV2, sont en train de - ou vont - inévitablement émerger si la complaisance généralisée que l’on observe actuellement persiste dans le monde.
piie.com/blogs/realtime… 2/9 - L’effondrement (heureux) de la mortalité attribuable au #COVID19, les décès confirmés en 2023 passant de 54’000 en janvier à 2’200 en déc., a cependant contribué à considérablement affaiblir le sens de l’urgence des dirigeants et de la population face au risque pandémique.

1/7 - Tabac contre vape : une guerre sans merci, entre moralisme, puritanisme et conflits d’intérêts.
La cigarette tue un utilisateur sur deux selon l’OMS. Il n’y a pas de produit sur le marché utilisé selon les préconisations de son fabricant aussi dangereux que la cigarette.

2/7 - La cigarette contient de la nicotine qui est très addictive mais assez peu nocive. C’est la combustion du tabac qui tue, pas la nicotine. En brûlant, le tabac dégage des goudrons cancérigènes et du monoxyde de carbone dangereux pour le cœur et les vaisseaux.

1/6 - Six tweets pour promouvoir les stratégies de réduction de risques si peu et mal comprises lorsqu’il s’agit de prévention sanitaire.
Réduire les risques ce n’est pas chercher le risque zéro.
Réduire le risque est souvent la meilleure stratégie de prévention. 2/6 - La promotion du tabac sans combustion et de la cigarette électronique n’est pas une stratégie visant à lutter contre la dépendance à la nicotine, mais si elle permet de réduire la consommation de cigarettes, elle est bénéfique pour la santé.

1/5 - "La surveillance des eaux usées nous donne partout où elle est mise en œuvre une indication fiable du niveau de circulation du virus, mais aussi elle nous renseigne sur le variant qui circule et éventuellement vient à dominer."
atlantico.fr/article/decryp… 2/5 - "Actuellement, lorsque l’on a des symptômes infectieux de l’arbre respiratoire, il est fort probable qu’ils soient dus au coronavirus, mais il est possible aussi qu’ils puissent être causés par le virus de la grippe dont la circulation commence à progresser en Europe."

1/5 - France, Autriche, Finlande, Suisse, et d’autres: les indicateurs de la circulation du sous-variant JN.1 du #SARSCoV2 virent rapidement au rouge en Europe. La progression du variant est très rapide, signant une forte transmission et donc un taux de reproduction élevé.





2/5 - Le taux de reproduction élevé de JN.1,c’est une large partie de la population atteinte cet hiver par l’infection au sous-variant. On se retrouve dans une vague qui pourrait avoir l’ampleur des premières vagues d’Omicron, associée à une forte tension sur le système de santé.

1/9 - Les infections à virus respiratoires comme la grippe, le Covid ou le VRS sont redoutables parce qu’insidieuses. Aucune d’elles n’est plus associée à de très nombreuses formes graves, type SDRA, nécessitant la réanimation mais toutes sont associées à des excès de mortalité. 2/9 - Elles remplissent rarement les soins intensifs, mais elles représentent la goutte d’eau qui fait déborder le vase chez les malades aux lourdes comorbidités pré-existantes, très âgés, ou immunodéprimés (ils sont 500 000 en France ou au Royaume-Uni), ou les femmes enceintes.

1/6 - Au Royaume-Uni, 75’000 décès/an sont attribuables à une alimentation déséquilibrée (17’000 chez les 15-70 ans). À partir des données de 500’000 Britanniques des chercheurs ont modélisé les gains d’espérance de vie d’une alimentation plus saine.
nature.com/articles/s4301… 2/6 - Consommer moins de sodas et de plats transformés à base de viandes et davantage de produits à base de céréales complètes et des noix sont les modifications du régime alimentaire conduisant aux gains d’espérance de vie les plus significatifs.

1/9 - “Le péché originel de la pandémie aura été de négliger la transmission du virus par voie aérosol” déclare le Prof. Joe Allen (Harvard University)
cbsnews.com/news/indoor-ai… 2/9 - Durant les cent dernières années, nous avons fait des progrès remarquables en médecine, rendu l’eau potable, amélioré l’hygiène alimentaire, réduit la pollution atmosphérique dans nos villes… mais nous avons totalement oublié la qualité de l’air intérieur.

1/5 - L’air que nous respirons impacte directement notre santé et notre bien-être. De nombreux virus respiratoires dont ceux du Covid, de la grippe, du VRS se transmettent mieux en lieux clos où nous passons plus de 90% de nos existences.
publichealth.jhu.edu/2023/regulatin… 2/5 - L’air intérieur est aussi pollué par les moisissures, le radon, le CO2, les particules fines, les produits chimiques et de nettoyage, les émanations diverses et la pollution atmosphérique.
epa.gov/report-environ…

1/4 - Des chercheurs nord-américains visent à éliminer les virus respiratoires de nos sociétés. La pandémie de #COVID19 a été l’élément déclencheur d’une meilleure compréhension de la transmission des virus respiratoires.
scrippsnews.com/stories/nation… 2/4 - On a longtemps cru, sans grandes preuves, que la grippe, le VRS (resp. des bronchiolites), le Covid se contractaient par contact rapproché avec une personne infectée par les postillons qu’elle émettait en toussant ou éternuant. Voire par les surfaces qu’elles contaminaient.

1/4 - On a des difficultés à tirer les leçons du passé: choléra, paludisme, grippe, Covid-19.
Le choléra a été éliminé là où l’on a su assainir, filtrer, purifier l’eau courante.
Le choléra n’a pas disparu de la planète. Il continue à sévir et à tuer, là où persiste la misère. 2/4 - Le paludisme a été éliminé là où l’on a augmenté le niveau de vie, urbanisé la population, amélioré les infrastructures.
Le paludisme n’a pas disparu de la planète. Il continue à sévir et à tuer, surtout les moins de 5 ans, là où persiste la grande pauvreté.

1/6 - Les USA se revendiquent un État chrétien, une histoire ségrégationniste, des médias qui tiennent souvent des propos racistes.
La France, attachée à la laïcité, interdit le recueil de données sur la race, ses leaders attentifs aux questions ethniques.
ft.com/content/25eda9… 2/6 - Et pourtant, si les taux de chômage chômage sont voisins entre noirs et blancs américains (5,5%), en France il y a 7% de chômeurs chez les natifs, contre 12% chez les immigrés, et même 17% chez les immigrés arrivés durant les dix dernières années.

1/4 - "La non-spécificité des symptômes du Covid long conduit aujourd'hui encore certains médecins à faire preuve d'un manque d'humilité en se bornant à croire, face à leur ignorance, qu'il s'agit d'un trouble psychosomatique ou fonctionnel."
et @LUppsala
slate.fr/story/247628/c… 2/4 - "Rappelons-nous que, jusqu'à une époque pas si lointaine, l'ulcère gastro-duodénal était appréhendé comme une affection des gens anxieux et que la maladie de Parkinson était assimilée à une maladie mentale."

1/5 - Lorsqu’au début des années 2000, le plan présidentiel US de Georges Bush a envoyé des antirétroviraux en Afrique subsaharienne durement frappée par le Sida, les économistes étaient extrêmement sceptiques.
cgdev.org/blog/how-econo… 2/5 - Reconnaissant le caractère humanitaire de vouloir traiter l’infection VIH, l’économiste Emily Oster, Brown University (Forbes en 2005) discutait alors son efficience économique « la même somme investie dans la prévention sauverait plus de vies ».
forbes.com/forbes/2005/07…

1/8 - Nous nous faisons beaucoup d’idées reçues à propos de la virulence et la transmissibilité du #SARSCoV2.
Parcourons ici les principales, très didactiquement développées dans ce papier sur l’évolution du coronavirus.
Paru dans Nature Rev Microbiol.
nature.com/articles/s4157… 2/8 - Non, la virulence d’un virus ne décroît pas dans le temps grâce au processus d’évolution. La virulence a pu décroître avec le temps durant les trois premières années de cette pandémie, essentiellement en raison de l’immunité acquise par la vaccination et les réinfections.

1/7 - 730’000 nouveaux décès du #COVID19 ont été rapportés dans le monde en 12 mois (250’000 en Europe). Il y en a eu probablement 3 à 4 fois plus dans le monde, 2 à 3 millions/12 mois (beaucoup de décès omis en Afrique).
Ne devient-on pas trop complaisants vis-à-vis du #COVID19? 2/7 - Y-a-t-il une raison objective de croire que la mortalité, les hospitalisations, l’absentéisme, et les Covid longs liés au #SARSCoV2 ralentissent ces prochaines années?
Peut-on - doit-on - accepter le scénario des 12 derniers mois comme celui d’une nouvelle normalité?

1/4 - "Le PEPFAR est le plus important financement public venant d’un Etat jamais réalisé en santé globale. Plus de 100 Mds de $ ont été injectés par l’administration US en l’espace de 20 ans pour lutter contre le Sida dans les pays à ressources limitées."
atlantico.fr/article/decryp… 2/4 - "Les mouvements activistes du Sida ont fait pression sur l'administration de George W. Bush, et notamment sur Anthony Fauci qui dirigeait alors le NIAID au NIH aux Etats-Unis. C’est ainsi que se sont dessinés les contours de ce qui allait devenir le futur PEPFAR, en 2003."

1/16 - “When China suddenly scrapped onerous #ZeroCOVID in Dec, the country wasn’t ready for a massive onslaught of cases. Hospitals turned away ambulances, crematoriums burned bodies around the clock, hauled them to warehouses for lack of storage space.”
apnews.com/article/zero-c… 2/16 - “Chinese state media claimed the decision to open up was based on “scientific analysis and shrewd calculation,” and “by no means impulsive.” But in reality, Communist Party ignored repeated efforts by top medical experts to kickstart exit plans until it was too late.”