Analyse du grand portrait que consacré à Bastien Vivès, dans Le Monde, signé @FredPotet et @y_bouchez (des journalistes confirmés). Très instructive, leur longue enquête confirme par exemple : 1. L'obsession de Vivès pour l'inceste, via cette histoire qui n'était pas sortie cet hiver au moment de la polémique au Festival d'Angoulême :

Nous sommes des millions à avoir subi des viols et des agressions sexuelles. Les personnes qui nous les ont infligées sont presque toujours des hommes. Donc #MeToo, #MeTooGay, #MeTooInceste, même combat, même question: COMMENT FAIRE POUR QUE LES HOMMES CESSENT DE VIOLER ? Pour avoir osé formuler cette question, @TwitterFrance et @instagram depuis 48h suppriment nos posts et suspendent nos comptes : qu'est-ce que vous refusez d'entendre, qu'est-ce qui vous est si insupportable pour que votre seule réaction soit de nous bâillonner ?

Réflexion sur mes mythes amoureux : ce soir j'écoute des chansons avec lesquelles j'ai grandi et qu'on m'a présentées comme étant le comble du romantisme et/ou de l'érotisme ; alors qu'en fait... c'est tout pété. 1er exemple : "Je t'aime, moi non plus", de Serge Gainsbourg.👇 Je comprends bien que la chanson a été sulfureuse et audacieuse à l'époque de sa sortie (1969) où on ne parlait pas publiquement de sexe, mais quand je la réécoute en 2020 ce qui me saute aux oreilles c'est d'abord la relation de pouvoir déséquilibré entre elle et lui :