Si j’ai regretté qu’il n’y ait pas ses grandes peintures mystiques du Prado toutes tendues vers le ciel, on trouvera dans cette rétrospective, l’évolution du peintre au gré de ses pérégrinations (Crête, Italie, Espagne) et les emprunts successifs à ses différents maîtres. (1/2)
On peut bien aussi saisir ses audaces en termes de couleurs (les drapés notamment), ses obsessions thématiques et ses grands traits cadavériques qui parcourent ses toiles post-Italie.
Bref je ne me lasse pas de ce peintre et j’encourage à se rendre à son exposition. (2/2)
Bref je ne me lasse pas de ce peintre et j’encourage à se rendre à son exposition. (2/2)
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