Le dossier #Balkany est de retour devant la cour d'appel de Paris. Cet après-midi, pas de demande de remise en liberté, mais le début de leur procès en appel pour blanchiment de fraude fiscale.
Patrick #Balkany toujours incarcéré à la prison de la Santé, "n'est pas en état de comparaître" selon son avocat. I n'est donc pas présent l'audience.
Pas plus que son épouse, Isabelle, qui lui rend en ce moment visite au parloir.
Isabelle #Balkany qui a par ailleurs indiqué vouloir faire usage de son droit au silence.
Sont encore absents, les enfants #Balkany , Alexandre et Vanessa. Mais leurs avocats ont annoncé leur intention de déposer une #QPC pour contester la saisie par la justice du moulin de Giverny dont ils sont propriétaires depuis une donation de leurs parents en 1997.
Mais pour l'instant, on en est au rappel des condamnations de Patrick et Isabelle #Balkany en première instance dans ce dossier : 5 et 4 ans de prison, 10 ans d'inéligibilité et la confiscation de leurs biens.
Examen d'une QPC : il, y est question de biens indivis, de démenbrement et de nu-propriété. Avec, de temps à autres, un phrase plus compréhensible du grand public : "Le seul tort de Vanessa #Balkany c’est peut-être d’avoir porté le mauvais nom de famille."
L'audience est suspendue le temps que la cour délibère sur la question prioritaire de constitutionnalité qui vient d'être plaidée. #Balkany
Pendant la suspension, Isabelle #Balkany est arrivée au palais de justice. Devant les caméras, elle a confirmer vouloir faire usage de son droit au silence : "c'est méritoire de ma part mais je vais essayer."
L'audience reprend et la cour rejette la question prioritaire de constitutionnalité déposée par les avocats d'Alexandre et Vanessa #Balkany sur la saisie du moulin de Giverny dont ils sont propriétaires depuis une donation de leurs parents.
L'audience peut donc véritablement commencer, avec la lecture du rapport sur les faits de la présidente.
Puisqu’Isabelle #Balkany a décidé de garder le silence, c’est son avocat, Me Pierre-Olivier Sur qui répond aux questions de la présidente. Mais la 1ère adjointe de Levallois-Perret ne peut s’empêcher de lui souffler les réponses.
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Palais de justice de Paris, salle Diderot.
Au procès dit du #VioleurdeTinder l'heure est au réquisitoire de l'avocat général, Philippe Courroye.
Rappelons que Salim Berrada est jugé pour 17 viols et agressions sexuelles et encourt 20 ans de réclusion.
"Vous les avez vues, entendues. Vous avez entendu le récit des viols et des agressions sexuelles subies par ces 17 victimes. Vous avez vu ici, à cette barre, celles qui ont eu la force de venir raconter leurs souillures", entame l'avocat général dans son réquisitoire.
"Et lui, les a-t-il seulement vues, entendues ? La question se pose tellement, tout au long de cette audience est resté imperturpable, comme bunkérisé dans le béton de ses dénégations", poursuit l'avocat général.
Bonjour à tous,
De retour salle Diderot au palais de justice de Paris. Procès dit du #VioleurdeTinder
Dernier jour des débats aujourd'hui avant les plaidoiries et réquisitoire prévus demain.
Ce matin, la dernière partie civile s'exprime à la barre. Nous l'appellerons "Rania".
"Rania" raconte à son tour la prise de contact sur Tinder, le rendez-vous pour une séance photo. "J’avais apporté des vêtements dans un sac, on a commencé à discuter. Il m’a proposé un shot d’alcool, puis il m’a parlé des fêtes qu’il faisait, de la drogue … ça m’a paru étrange"
"Je me sentais totalement euphorique", se souvient Rania. Puis, alors que je regardais les photos qu'on venait de faire, il s'assied à côté de moi et m'embrasse. Je l'ai repoussé et lui ai dit :"je ne veux pas ça, tu ne m'attires pas". Mais il revient vers moi et dit "essaie".
Bonjour à tous,
Salle Diderot, palais de justice.
De retour au procès dit du #VioleurdeTinder : Salim Berrada comparaît devant la cour criminelle départementale pour les viols et agressions sexuelles de 17 femmes lors de séances photo à son domicile.
Celle que nous appellerons Charline est la neuvième victime dont les faits dénoncés sont examinés par la cour. Elle a aujourd'hui 26 ans et est comédienne, explique-t-elle.
"Je vous laisse la parole", déclare le président à "Charline"
Long silence de la jeune femme.
"Quand j’ai découvert le travail de monsieur Salim Berrada, j’étais mineure à l’époque. Mais j’étais déjà modèle. Je faisais principalement du portrait."
Retour au procès dit du #VioleurdeTinder devant la cour criminelle départementale de Paris.
Salim Berrada, ancien photographe de mode, comparaît depuis hier pour les viols et agressions sexuelles de 17 jeunes femmes qu'il avait contactées pour de séances photo.
Cet après-midi les premières parties civiles témoignent à la barre. Louise (le prénom a été modifié) a tout d'abord raconté l'agression sexuelle qu'elle dit avoir subie de l'accusé. "Soudainement, il s'est jeté sur moi, il m'a embrassée avec la langue. Je ne voulais pas"
A la barre en ce moment, Caroline, maquilleuse qui a travaillé avec l'accusé.
"Avec l’affaire Salim Berrada, il y a eu un avant et un après : les gens ont commencé à parler"
"C’est un peu le #MeToo de la photographie ?" relève le président.
- C’était avant MeToo, mais oui.
Bonjour à tous,
Palais de justice de Paris, île de la Cité.
Dans la (petite) salle Diderot s'ouvre aujourd'hui le procès de Salim Berrada, ancien photographe de mode de 38 ans. Surnommé le #VioleurdeTinder , il comparaît pour les viols et agressions sexuelles de 17 femmes.
L'accusé, petites lunettes rondes, coupe afro, collier de barbe, est installé dans le box vitré.
Il avait été remis en liberté après un peu plus de deux ans de détention provisoire ... avant d'être réincarcéré à la suite de nouvelles plaintes pour viol.
Sur les bancs de bois de la salle d'audience criminelle départementale, plusieurs parties civiles. Ce femmes qui ne se connaissaient pas dénoncent toutes un scénario très similaire sur ces rendez-vous pour une séance photo qui ont tourné au viol.
Aujourd'hui, nous sommes au tribunal judiciaire, quartier des Batignolles. Une salle du 4e étage pour le procès de l'influenceur d'extrême-droite Papacito devant la 17e chambre correctionnelle.
Le Youtubeur toulousain encourt sept ans d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende pour provocation publique, propos homophobes et incitation à commettre une atteinte à l'intégrité physique d'une personne.
En l'occurrence, la personne visée dans 2 vidéos du youtubeur est le maire de Montjoi, village de 169 habitants où un banal litige sur l'usage d'un chemin rural a viré au règlement de compte sur les réseaux sociaux.
Harcelé et menacé de morts, le maire du village a porté plainte