Thread by @Aurelie_Solans

Bilan d'étape assurée par les associations de surveillance de la qualité de l’air partout en France:
La baisse du trafic routier lié au confinement a pour impact une baisse globale des NOx
-70% à Paris
-72% à Grenoble
-75% à Nantes
Plus d'info ⤵️atmo-france.org
#COVID19

Pourquoi choisir les oxydes d’azote comme indicateur ?
Ils sont en majorité produit par le trafic routier, particulièrement toxiques, et sont précurseur de l'ozone troposphèrique ou de particules fines (avec l'ammoniac liés aux épandages), pollutions observées dans la période.

En region parisienne le long des axes routiers, la baisse
de NO2 peut atteindre jusqu’à -50%, c'est a dire des niveaux observés d'habitude dans les parcs. Du jamais vu en 40 ans de mesure par @Airparif.
Avec un impact positif immédiat pour la santé des riverains en #confinement

Les études s'accumulent sur les liens entre #COVID19 et pollution de l'air. Ici une nouvelle étude allemande qui rappelle l'évident : lorsque notre corps subit un stress respiratoire chronique, sa capacité à se défendre contre les infections est limitée. amp.theguardian.com/environment/20…

Le déconfinement ne doit surtout pas s'accompagner d'une hausse brutale du trafic routier et donc d'un épisode de pollution: il doit s'accompagner d'un grand plan pour la qualité de l’air!
1 urgence sur laquelle nous nous réunissons avec les villes françaises de l' @Alliance__air

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