A partir des taux de #glyphosate retrouvés dans les urines on en déduit notre exposition en partant du principe que 20% du glyphosate passe dans les urines.
Cette valeur est celle donnée par l'#EFSA. Pourquoi ? Parce qu'elle est "bien au milieu" des valeurs des études.
Mais aucun calcul sérieux n'étaye cette valeur dans le rapport de l'#EFSA qui, de plus, repose sur des études portant sur des rats.
A l'opposé une étude récente vient d'étudier le taux de glyphosate qui passe dans les urines chez des humains. doi.org/10.1016/j.ijhe…
Résultat : beaucoup moins (entre 0,57% et 1,68% sur les 12 participants).
Taux de passage dans les urines surestimé ➡️ exposition sous-estimée
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Les chauves-souris ont décliné à cause d'une maladie (WNS) due à un champignon pathogène introduit dans le nord-est des USA. L'auteur de l'étude défend que les comtés victimes du déclin des chauves-souris l'ont été de manière quasi aléatoire, la rapprochant d'une étude randomisée
Et sur les indicateurs qui permettent de mesurer son échec.
On le sait, Woessner ne rechigne pas à utiliser les arguments les plus spécieux ou malhonnêtes. Elle en fait encore une démonstration éclatante pour tenter de démolir l'IFT et le NODU.
Thread ⤵️
Le plan Ecophyto vise à diminuer l'utilisation des pesticides. Pour mesurer cela, on pourrait se contenter de regarder la quantité achetée chaque année. Mais la quantité est peu représentative de la toxicité.
Un peu comme avec l'alcool : 25cl de bière ce n'est pas la même chose que 25cl de whisky. Et donc on compare les alcools par rapport à des doses de référence.
Une dose d'alcool c'est par exemple un verre de bière (25cl) ou un verre de whisky (2,5cl).
L'officine de désinformation scientifique, nommée AFIS, vient de publier sur le glyphosate un communiqué indigent, y compris à l'aune de leurs propres standards.
1⃣ Déni de connaissances scientifiques
2⃣ "Oubli" d'expertises pertinentes
3⃣ Doubles standards à tous les étages
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Ces critiques sont plus détaillées dans l'article de blog correspondant :
Alimentation bio et cancers : une nouvelle étude est sortie en janvier dernier, elle ne confirme pas les résultats précédents d'une baisse de cancers chez les personnes mangeant plus bio.
Qu'est-ce que ça nous dit sur le sujet ?
Explications…
À l'automne 2018, une étude de Baudry et al avait défrayé la chronique. Elle avait suivi près de 70 000 personnes pendant un peu moins de 5 ans, en moyenne, et avait identifié que le quart mangeant le plus bio avait 25% de cancers en moins.
En regardant séparément pour différents cancers, une baisse significative ressortait pour les cancers du sein post-ménopause et les lymphomes non-hodgkiniens.
3/
L'association des ultras du nucléaire, les @voixdunucleaire, est connue pour avoir produit un "scénario" énergétique irresponsable car tablant sur un prolongement des centrales ☢️ après 70 ans.
Là, elle vient de produire cette infographie parfaitement fallacieuse.
Car…
Car le choix des données prises en compte est discutable mais, pire, même pour les mesures choisies, l'infographie est très malhonnête.
Dans le graphique d'origine, on a donc deux sources de données différentes, aux résultats très différents. Une seule est retenue pour l'infographie des Voix du Nuke : celle qui les arrange le plus car montrant la différence la plus marquée.