⚠️⚠️Suite à des discours complotistes relancés aux États-Unis la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (@SPILF_) rappelle sa position très claire sur l'#hydroxychloroquine HCQ avec ou sans #azithromycine AZI pour #COVID__19
En s'appuyant sur les données solides disponibles à ce jour qui regroupent plusieurs essais cliniques randomisés, on peut affirmer que :
- la prescription d'HCQ aux patients atteints par la Covid-19 n’a pas fait la preuve de son efficacité, seule ou en association avec l'AZI
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- les nombreuses études rigoureuses réalisées par des équipes sans a priori, au niveau international, ont toutes
conclu sur l’absence de bénéfice, tandis que le risque de décès lié à un mauvais usage est lui parfaitement avéré.
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La chloroquine et l’hydroxychloroquine disposant d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) dans d’autres indications peuvent être prescrits hors AMM sous la responsabilité des prescripteurs.
A la suite de communications démesurées et irresponsables, cette disposition a entrainé en France un déferlement de leur prescription. Nous alertons sur les risques immédiats de santé publique de cette situation.
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Un premier risque potentiellement fatal est directement lié aux cas de contre-indications, de mésusages et surdosages, d’interactions médicamenteuses, de survenue d’effets indésirables graves, surtout lorsque l'HCQ est associée à l'AZI
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Le risque indirect, d’ores et déjà établi, est de provoquer une tension d’approvisionnement et d’exposer les malades atteints de pathologies chroniques comme le lupus, à une rupture de traitement, en dépit des circuits dédiés mis à disposition par l’industrie pharmaceutique.
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En médecine, en sciences, il est toujours irresponsable et dangereux de se concentrer sur un seul "protocole" proposé à partir d'études bâclées et d'une simple croyance.
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Bonjour à toutes et à tous et bonne rentrée ! C'est @Barbusceptique aux commandes. Je suis de retour pour vous présenter un thread sur le Virus de l’Immunodéficience Humaine (VIH) en 2021. Vous êtes prêts ? Alors sans plus attendre, commençons 👇
Saviez-vous que l’infection à VIH n’était plus mortelle et qu’elle ne se traduit plus par des altérations majeures de l’espérance et de la qualité de vie ?
Cela est rendu possible grâce aux traitements qui ont considérablement évolué ces dernières décennies. Faisons un point sur les avancées thérapeutiques et sociales concernant le VIH en 2021.
Bonjour à vous , durant l'été nous continuons notre série avec @Barbusceptique. Avant de partir vadrouillé dans un coin sans 5G bien qu'il soit vacciné nous a préparé un Thread "Tropical"
Il a eu le temps d'interviewé le Dr Loïc Epelboin Infectiologue et chercheur en épidémiologie des maladies infectieuses et tropicales à l’unité des maladies infectieuses et tropicales du #CHAR de #Cayenne et au Centre d’Investigation clinique INSERM des Antilles.
Les maladies infectieuses sont une grande famille de maladies regroupant toujours trois éléments : l’hôte, le pathogène et l’environnement. Les maladies tropicales n'échappent pas à cette règle.
Bonjour à tous, c'est @Barbusceptique à la manoeuvre ! Saviez-vous que la vaccination contre les papillomavirus humains (HPV) était désormais recommandée pour les jeunes garçons ? Faisons le point sur la découverte du caractère oncogène de ces virus et sur la vaccination !
Tout commence dans les années 70, où des scientifiques émettent l’hypothèse que des infections virales sont à l’origine du cancer du col de l’utérus. Une hypothèse qui sera confirmée la décennie suivante par les travaux de Harald zur Hausen, médecin et virologue allemand.
Les scientifiques qui étudient ces virus ont répertorié 200 génotypes de HPV. Leurs infections sont asymptomatiques dans 90 % des cas. Dans les 10 % restants, certaines entraînent des lésions bénignes appelées condylomes et d’autres se traduisent en cancer des années plus tard.
Bonjour à tous, c'est @Barbusceptique ! Je prends le contrôle de la @SPILF_ quelques instants pour vous parler d'un sujet très important : les mutilations sexuelles féminines (MSF). 👇👇👇 1/11
On commence avec un chiffre qui fait froid dans le dos :
200 millions. C’est le nombre de femmes concernées par les MSF dans le monde, principalement en Afrique et en Asie du Sud-Est. 2/11
Pour aider ces femmes lorsqu’elles arrivent en France, il faut agir. Premièrement, il faut que les praticiens de première ligne soient au courant de l’existence du problème et qu’ils soient formés à aborder le sujet. C'est, malheureusement, encore trop peu le cas. 3/11
Bonjour à tous, c'est @Barbusceptique ! Je prends le contrôle du Twitter de la @SPILF_ pendant quelques minutes pour vous servir un petit thread vulgarisé afin de rappeler pourquoi les essais cliniques et la randomisation c'est important. Vous êtes prêt ? C'est parti ! 👇
Vous êtes chez vous, à votre domicile, avec deux convives. Tout à coup, une quinte de toux, dont ne connait pas la cause, s’empare de vous et de vos invités. Qu'à cela ne tienne, vous avez tous les trois vos astuces et remèdes contre ce genre de désagrément.
Vous privilégiez la tisane au miel. Votre premier convive est un grand fan des petites granules homéopathiques. Le second soutient que « ça va passer tout seul ». En l’espace de quelques minutes, vos quintes de toux sont derrière vous.
⚠️⚠️Communiqué de presse de la @SPILF_ et de toutes les instances de maladies infectieuses et tropicales représentant l'ensemble des médecins infectiologues français
"Une crise sanitaire ne justifie pas qu’on dise, ou qu’on fasse, n’importe quoi !"
Contact presse en DM
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Nos instances, représentant les médecins spécialisés en maladies infectieuses en France, souhaitent dénoncer les affirmations sans fondement qui ont été diffusées sur des chaînes de radio-télévision nationales au cours des derniers jours.
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Elles sont d’autant plus graves qu’elles sont l’œuvre d’un médecin, chef de service dans un hôpital. Selon ses propos, 25 000 morts liées à la COVID-19 auraient pu être évitées en France si la combinaison hydroxychloroquine et azithromycine avait été prescrite massivement.
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