Selon @BrunoLeMaire la #dette colossale de l'Etat sera remboursée par de la croissance.
Croit-il lui-même ce qu'il raconte alors que l'État dépense plus qu'il n'encaisse depuis 46 ans ?!
Il n'évoque pas un instant que la dette publique détenue par la #BCE peut être annulée.
Quand un État est endetté, ses créanciers ont contrôle sur lui et peuvent lui imposer des réformes. La #BCE étant le principal créancier de l'État à hauteur de 20%, le gouverneur de la Banque de France conditionne l'action de la BCE à de l'austérité budgétaire de l'État.
La #BCE, via la Banque de France qui est son deuxième actionnaire le plus important, et les créanciers privés, ont ainsi un contrôle sur l'État. @BrunoLeMaire le sait et il doit leur montrer patte blanche. D'où son intervention sur @franceinter où il donne des gages à ses maîtres
D'abord @BrunoLeMaire leur annonce que l'État continuera à être soumis au diktat de la dette en promettant un remboursement par la croissance, alors qu'il sait pertinemment que ce remboursement ne pourra se faire que par une reconduite de la dette dans le temps.
Ensuite, le Ministre de l'économie promet aux créanciers de l'État de réformer les retraites, encore un gage donné en signe de soumission à leur volonté.
A-t-il vraiment dans la situation actuelle où l'État n'a pas de contrôle sur la création monétaire ?
L'État a abandonné le pouvoir de la création monétaire. Seules les banques commerciales peuvent créer de la monnaie lors de l'octroi d'un crédit, et la #BCE, supposée agir dans l'intérêt général, mais qui est en réalité entre les mains d'un lobby bancaire puissant.
Ainsi, vous êtes obligé de vous soumettre quand vous êtes Ministre de l'économie.
Vous n'avez pas le contrôle sur votre monnaie, et les traités européens vous obligent à vous financer auprès de créanciers privés, et interdit à la #BCE de vous financer directement. @BrunoLeMaire
Les créanciers de la France ne veulent surtout pas perdre le contrôle qu'ils ont sur l'État. Ce contrôle se fait par la dette, qui agit comme une laisse au cou de l'État et de ceux qui nous dirigent. Celui qui tient la laisse et celui qui donne aussi la direction à prendre.
Cette laisse au cou qui prend en otage notre démocratie n'est pas prête de disparaître, car la France a signé les traités européens de Maastricht et de Lisbonne qui ont inscrit dans le marbre l'interdiction du financement des États par la banque centrale !
D'où le sentiment anti-européen de plus en plus répandu au sein de la population. Les gens, même sans connaître les rouages, sentent que l'UE les trahit. En réalité, cette union n'est pas une union des européens, mais union au service des banques et des marchés.
Si l'Union Européenne échoue à se réformer, notamment en changeant ses traités qui étouffent les États par la dette privée, elle sera amenée à disparaître. Il faut urgemment rééquilibrer les forces en place, trop au service de la finance, et pas assez dans l'intérêt général.
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Il est vivement conseillé de ne pas passer à côté de cette analyse ultra lucide d'Emmanuel Todd sur les États-Unis :
"La classe politique américaine est vide de morale, de religion, etc. Ne reste que la préférence pour l'argent et la guerre, une sorte de jouissance à mettre le désordre en Eurasie.
On se dit : qu'allons-nous devenir si les États-Unis ne nous protègent plus ? Au contraire de ce que tout le monde pense, on sera paix !
La meilleure chose qui pourrait arriver à l'Europe, c'est la disparition des États-Unis.
Les États-Unis sont nihilistes : vous n'avez plus de religion, vous avez un état zéro des croyances, mais l'homme reste l'homme, il est angoissé, il n'y a plus rien, et tout ce que vous obtenez, c'est une déification du rien, et ça s'appelle le nihilisme."
La puissance des États-Unis repose sur sa monnaie, le dollar, qui ne repose que sur la dette et les guerres impérialistes.
La "déification du rien" est nécessaire pour permettre à la caste usuraire de maintenir son pouvoir sur le peuple américain et les peuples du monde.
Car dès que la morale reprend le dessus, il est difficile d'accepter un système monétaire qui consiste dans son essence à favoriser le riche, et à écraser les plus démunis, et qui finit par semer le chaos social, le chaos géopolitique, et le chaos écologique.
La morale et la religion sont les ennemis des usuriers. Tous ceux qui ringardisent la morale sont leurs alliés, et seront toujours mis sur le devant de la scène médiatique.
C'est pour cette raison qu'aucun des économistes qui sont mis en avant n'introduisent de morale dans leur modèle économique !
La semaine dernière l'Express titrait " Mélenchon, le désastre" par rapport à sa position sur la tragédie au Moyen-Orient.
L'Express est sous le contrôle d'Altice et de son Président Alain Weill.
Altice est la propriété de Patrick #Drahi, qui possède la chaine de propagande franco-israélienne du gouvernement #Netanyahu : @i24NEWS_FR
Peut-on croire que l'Express est neutre dans sa couverture du conflit en cours ?
Voilà un exemple concret où un seul homme, Patrick #Drahi, peut emprunter 60 milliards d'euros créés de nulle part par les banques commerciales, pour s'acheter des sociétés en utilisant l'effet de levier à outrance et en détruisant des emplois (#LBO), puis s'acheter nos médias pour influencer les hommes politiques et l'opinion publique.
Ceux qui ont un accès privilégié au robinet monétaire pour s'endetter à outrance auprès des banques, ont un avantage certain pour manipuler l'opinion publique et influencer la vie politique française.
Patrick #Drahi possède aussi @BFMTV et @RMCInfo, deux médias qui couvrent le conflit en cours de manière unilatérale en faveur d'Israël et de Netanyahu.
Je ne pense pas que Patrick Drahi dicte aux journalistes leur ligne éditoriale. Il les paye, et c'est plus que suffisant !
Tant que les citoyens ne reprendront pas le contrôle sur la création monétaire et sur le fléchage de la monnaie créée, nous continuerons de vivre dans une pseudo démocratie sous le contrôle des milliardaires et de leurs intérêts !
"La presse est libre quand elle ne dépend ni de la puissance gouvernementale ni des puissances d’argent mais de la seule conscience des journalistes et des lecteurs."
Conseil National Révolutionnaire, 1944
Dans une interview sur CNN, Wesley Clark, ancien général américain et commandant suprême des forces alliées de l'OTAN, explique que DAECH/ISIS a été créé par les États-Unis et leurs alliés pour détruire le Hezbollah.
Les dirigeants des États-Unis sont la source de nos malheurs !
"Si vous voulez quelqu'un qui se battra jusqu'à la mort contre le Hezbollah, vous ne diffusez pas d'affiche de recrutement disant 'engagez-vous pour nous, nous allons rendre le monde meilleur'. Il faut demander aux fanatiques religieux. Ce sont eux qui combattront le Hezbollah."
Ils appellent "terroristes", les créatures qu'ils financent pour en faire des alliés de circonstance, et qui se retournent ensuite contre les civils.
Ne jamais oublier l'appel de #Netanyahu a financer et favoriser le Hamas pour affaiblir le Fatah.
Qui sont les "méchants" depuis 1971 jusqu'à aujourd'hui ?
Les sanguinaires russes, les mollahs d'Iran, les frères musulmans du Qatar, les islamistes d'Arabie Saoudite, les communistes du Venezuela, le tyran de Bagdad, etc.
Maintenant, prenez 2 minutes pour regarder ces 2 listes
À chaque fois, le pays visé est un pays riche en pétrole ou en gaz !
N'y a-t-il pas là un signe pour ceux qui réfléchissent ?
Qui sont les satanistes prêts à détruire le monde pour s'accaparer ces richesses ?
Qui sont leurs complices ?
Qui sont les naïfs qui les suivent ?
Ce vol des satanistes est drapé dans un narratif du bien contre le mal, de la lumière contre les ténèbres, de la démocratie contre les dictatures, etc...
Leurs mensonges sont gobés depuis 50 ans par une opinion publique sans boussole, se rendant ainsi complice de leurs méfaits !
Plusieurs populations civiles souffrent dans le monde, mais aucune n'a subi autant d'injustices sur une durée aussi longue que les Palestiniens : 75 ans !
Plusieurs populations civiles souffrent dans le monde, mais aucune ne s'est faite voler ses terres et ses maisons avec l'appui de la communauté internationale et de l'ONU (en 1948).
Plusieurs populations civiles souffrent dans le monde, mais dans aucun cas l'oppresseur a une carte blanche offerte par notre Président, notre gouvernement, nos alliés.